Titre : Le Monde colonial illustré : revue mensuelle, commerciale, économique, financière et de défense des intérêts coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1940-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34459430v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 avril 1940 01 avril 1940
Description : 1940/04/01 (A18,N202)-1940/04/30. 1940/04/01 (A18,N202)-1940/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9759224s
Source : CIRAD, 2016-192274
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/12/2016
88
Une politique économiqu2 très spéciale s'est développée dans les régions
iraniennes : la politique du pétrole qui doit son caractère à ce que le pétrole est,
par excellence, le combustible de guerre, d'une époque où la guerre semble,
comme aux siècles obscurs du passé, redevenir l'état le plus fréquent de l'huma-
nité. Or l'Iran est avec l'Irâq l'un des plus grands centres de production du pétrole.
Les meilleurs pétroles russes sont au Caucase. Et la rivalité anglo-russe a été
transportée sur les champs de pétrole du Proche-Orient, depuis qu'en 1901 le
Néo-zélandais William d'Arcy obtint du gouvernement téhérani la concession
des pétroles persans. Or, tandis que la politique de pénétration ferroviaire n'est
pratiquée facilement que par des voisins immédiats (le « Drang nach Osten » n'a
jamais eu que des succès précaires), les Allemands et les Américains ont pu rivali-
ser avec les Anglais et les Russes pour la possession des puits de pétrole de l'Iran.
Au contraire, on remarque que les éléments anthropogéographiques occupent
la première place dans la politique britannique qui, plus que toute autre, joue le
double rôle. d'effet et de cause dans l'évolution des États musulmans depuis un
demi-siècle.
n
Les zones de rencontre ouest-asiatiques des politiques anglaise et russe sont
entre l'Arabie, saint des saints du monde musulman, l'Inde où vivent plus du tiers
des Musulmans du monde entier, l'Égypte où l'Islam africain se soude à l'Islam
asiatique. Or cet Islam, qu'avec tant de légèreté l'Europe supposa irrémédiable-
ment sclérosé, s'est montré parfaitement capable d'être la religion de peuples
progressistes. La République turque, modelée par les mains puissantes d'Ata-
turk, l'empire d'Iran sauvé et réhabilité par Riza Shah Pahlevi, sont maintenant
des états modernes. En reconquérant son indépendance, l'Iran a su faire du
pétrole — qui pouvait lui coûter sa liberté — un pactole qui remplit son trésor.
Si un essai étourdi de modernisation de l'Afghanistan a obligé un prince impru-
dent à l'abdication, l'évolution a été reprise sur un rythme raisonnable.
La Turquie, l'Iran, l'Afghanistan sont les États musulmans à longue tradition
historique. Mais une autre série d'États islamiques apportent une vie nouvelle
dans la zone entre les Empires britannique et russe. Sur des territoires que la
politique moderne avait relégués à une position subordonnée, des États ont été
produits par évolution ou par synthèse. Or ces États : Irâq, Égypte, Arabie Saou-
dieh, Yémen — et, dans un avenir indéterminé, Transjordanie, — sont entrés dans
la vie internationale, sous l'égide de la Commonwealth britannique.
L'Irâq est le type de l'État synthétique ; territoire de mandat A, la puissance
mandatée y a soigneusement construit avec les vilayets de Mossoul, Bagdad et
Bassorah, une Mésopotamie moderne, organisant un État indépendant qu'elle fit
entrer en 1932 à la Société des Nations. Après le plus jeune, le plus ancien des
États, l'Égypte, est devenu en 1936, par traité signé avec l'Angleterre, un État
. souverain. En Arabie, dès 1927, le royaume de Nedjd et Hedjaz — dont le nom
officiel est depuis 1932 Arabie Saoudieh — avait été reconnu de la même manière
état indépendant. Et, dans le Sud-Ouest de la péninsule, l'Iman du Yémen (déjà
en relations diplomatiques avec l'Angleterre, l'Italie et la Russie) a signé en 1934
un traité d'amitié avec le gouvernement britannique qui l'a reconnu roi du Yémen ;
ainsi a été régularisée la situation d'un centre d'intrigues dangereux pour la route
de l'Inde et de l'Indochine ; puis le protectorat d'Aden a été constitué et le
Hadramaout pourvu lui aussi d'un statut régulier.
Ainsi quatre nouveaux États musulmans sont arrivés à leur majorité politique,
et tous sous l'égide de la Grande-Bretagne. Un jour viendra où l'Inde prendra
rang parmi les Dominions. Mais le Raj est un monde beaucoup plus complexe,
musulman seulement pour un cinquième de sa population ; il est vrai que ces Mu-
sulmans sont parmi les plus évolués, on pourrait même dire parmi les plus britan-
niques. La culture occidentale a été apportée à l'Inde en langue anglaise et cette
langue est la seule avec laquelle on puisse se mettre en contact sans interprète avec
tous les Indiens cultivés. Les idées politiques modernes, au nom même desquelles *
l'Inde combat ce qui reste encore d'autoritaire dans son gouvernement, lui vien-
nent des universités anglaises : comme l'Irlande, l'Inde n'est jamais plus britan-
nique que dans ses mouvements d'indépendance. C'est pourquoi elle regarde
avec le mépris d'un gentleman de l'opposition le grossier mélange de pseudo-
science allemande et d'incohérence que les bolchévistes offrent aux peuples
d'Asie. L'Inde musulmane a donc une influence très particulière sur le monde
musulman et aussi sur la politique musulmane britannique ; quand on en fera une
étude historique avec le recul suffisant, son rôle apparaîtra beaucoup plus
grand qu'on ne le voit aujourd'hui.
m
L'étude objective de l'évolution et de la multiplication des États musulmans
libres sous l'influence britannique révèle dans cet Empire l'originalité d'avoir
un intérêt matériel — politique et économique — aussi bien que moral à être
composé et entouré de nations indépendantes : de là une politique libérale, pour
ainsi dire spontanée, qui le différencie profondément de certaines autres grandes
puissances. Mais pourquoi l'Empire britannique est-il entraîné pour ainsi dire
par la force des choses à pratiquer cette politique libérale spécialement dans le
cas des pays musulmans ?
On vient de dire les réactions mutuelles du monde musulman indien et des
autres pays d'Islam. Les réactions des États musulmans et de l'Empire résultent
aussi - il va de soi — d'interdépendances naturelles dues en premier lieu aux
positions géographiques. En outre, les États musulmans se sont sentis menacés,
dans leur indépendance économique et politique, par certaines grandes puis-
sances, au moment même où leur évolution leur faisait comprendre la valeur de
cette indépendance. De même on a vu comment les événements d'Europe, depuis
quelque deux ans, ont amené les Musulmans de l'Afrique du Nord à se serrer
autour de la France protectrice et libérale.
La politique britannique au Proche-Orient est celle d'une thalassocratie plutôt
que d'un empire. Or la vocation d'une thalassocratie est moins de gouverner des
territoires que de commercer sur les mers qui les entourent ; et plus les popu-
lations de ces territoires seront évoluées et libres, plus ce commerce aura de
valeur. La thalassocratie britannique a donc une frontière commune avec tous
les États qui possèdent une côte maritime et son intérêt est qu'au long de cette
frontière les États et les peuples soient avec elle en relations d'amitié. Or, sur la
voie impériale de Londres aux Indes et à l'Extrême-Orient, les navires anglais
longent de Gibraltar à l'océan Indien des côtes musulmanes. L'un des centres
de figure de la puissance britannique est dans la mer d'Oman, entre le cap Guar-
dafui et le cap Comorin ; c'est précisément l'un des centres de la puissance mari-
time et commerciale des brillantes périodes arabes d'autrefois. Parmi les noyaux
les plus radiants de l'Empire britannique, sont la mer Rouge et le golfe Persique,
car celui-ci est non seulement partie d'une route impériale, mais centre d'action
politique : c'est là que la politique maritime se joint à la politique de la péninsule
où bat le cœur de l'Islam. On connaît trop peu — même en Angleterre — l'excel-
lence des services arabes britanniques d'Asie, comparables à nos services arabes
d'Afrique ; et il est souhaitable que ces services collaborent de plus en plus
étroitement.
Pourtant, dès maintenant, l'entente anglo-française en Asie occidentale et en
Afrique septentrionale et orientale est pratiquée, par exemple pour la défense
de notre commune route maritime impériale. La France a apprécié comme l'An-
gleterre le traité avec le Yémen dans un temps où notre commune garde du Bab-
el-Mandeb, d'Aden et Djibouti, est la garantie de la libre pratique de la route de
nos colonies pendant la guerre. De même, les ententes de nos deux pays avec la
République turque. De même, encore la garde de la frontière occidentale de
l'Inde aux passes de Khyber et de G.omal.
Mais, en Afrique comme en Asie, dans les pays français comme dans les terri-
toires britanniques, la puissance des deux Empires alliés est fondée sur une solide
base humaine, sur la compréhension de la pensée islamique, sur la conviction
des populations musulmanes que le drapeau tricolore et l'Union Jack sont les
plus sûres garanties pour la liberté des hommes et pour l'indépendance des
États. Y.-M. GOBLET.
DANS LE PROCHE-ORIENT
Le haut commissaire, M. Gabriel PUAUX, reçu par les Chefs Bédouins.
LE MONDE COLONIAL ILLUSTRÉ
N° 202 .......... AVRIL 1940
Une politique économiqu2 très spéciale s'est développée dans les régions
iraniennes : la politique du pétrole qui doit son caractère à ce que le pétrole est,
par excellence, le combustible de guerre, d'une époque où la guerre semble,
comme aux siècles obscurs du passé, redevenir l'état le plus fréquent de l'huma-
nité. Or l'Iran est avec l'Irâq l'un des plus grands centres de production du pétrole.
Les meilleurs pétroles russes sont au Caucase. Et la rivalité anglo-russe a été
transportée sur les champs de pétrole du Proche-Orient, depuis qu'en 1901 le
Néo-zélandais William d'Arcy obtint du gouvernement téhérani la concession
des pétroles persans. Or, tandis que la politique de pénétration ferroviaire n'est
pratiquée facilement que par des voisins immédiats (le « Drang nach Osten » n'a
jamais eu que des succès précaires), les Allemands et les Américains ont pu rivali-
ser avec les Anglais et les Russes pour la possession des puits de pétrole de l'Iran.
Au contraire, on remarque que les éléments anthropogéographiques occupent
la première place dans la politique britannique qui, plus que toute autre, joue le
double rôle. d'effet et de cause dans l'évolution des États musulmans depuis un
demi-siècle.
n
Les zones de rencontre ouest-asiatiques des politiques anglaise et russe sont
entre l'Arabie, saint des saints du monde musulman, l'Inde où vivent plus du tiers
des Musulmans du monde entier, l'Égypte où l'Islam africain se soude à l'Islam
asiatique. Or cet Islam, qu'avec tant de légèreté l'Europe supposa irrémédiable-
ment sclérosé, s'est montré parfaitement capable d'être la religion de peuples
progressistes. La République turque, modelée par les mains puissantes d'Ata-
turk, l'empire d'Iran sauvé et réhabilité par Riza Shah Pahlevi, sont maintenant
des états modernes. En reconquérant son indépendance, l'Iran a su faire du
pétrole — qui pouvait lui coûter sa liberté — un pactole qui remplit son trésor.
Si un essai étourdi de modernisation de l'Afghanistan a obligé un prince impru-
dent à l'abdication, l'évolution a été reprise sur un rythme raisonnable.
La Turquie, l'Iran, l'Afghanistan sont les États musulmans à longue tradition
historique. Mais une autre série d'États islamiques apportent une vie nouvelle
dans la zone entre les Empires britannique et russe. Sur des territoires que la
politique moderne avait relégués à une position subordonnée, des États ont été
produits par évolution ou par synthèse. Or ces États : Irâq, Égypte, Arabie Saou-
dieh, Yémen — et, dans un avenir indéterminé, Transjordanie, — sont entrés dans
la vie internationale, sous l'égide de la Commonwealth britannique.
L'Irâq est le type de l'État synthétique ; territoire de mandat A, la puissance
mandatée y a soigneusement construit avec les vilayets de Mossoul, Bagdad et
Bassorah, une Mésopotamie moderne, organisant un État indépendant qu'elle fit
entrer en 1932 à la Société des Nations. Après le plus jeune, le plus ancien des
États, l'Égypte, est devenu en 1936, par traité signé avec l'Angleterre, un État
. souverain. En Arabie, dès 1927, le royaume de Nedjd et Hedjaz — dont le nom
officiel est depuis 1932 Arabie Saoudieh — avait été reconnu de la même manière
état indépendant. Et, dans le Sud-Ouest de la péninsule, l'Iman du Yémen (déjà
en relations diplomatiques avec l'Angleterre, l'Italie et la Russie) a signé en 1934
un traité d'amitié avec le gouvernement britannique qui l'a reconnu roi du Yémen ;
ainsi a été régularisée la situation d'un centre d'intrigues dangereux pour la route
de l'Inde et de l'Indochine ; puis le protectorat d'Aden a été constitué et le
Hadramaout pourvu lui aussi d'un statut régulier.
Ainsi quatre nouveaux États musulmans sont arrivés à leur majorité politique,
et tous sous l'égide de la Grande-Bretagne. Un jour viendra où l'Inde prendra
rang parmi les Dominions. Mais le Raj est un monde beaucoup plus complexe,
musulman seulement pour un cinquième de sa population ; il est vrai que ces Mu-
sulmans sont parmi les plus évolués, on pourrait même dire parmi les plus britan-
niques. La culture occidentale a été apportée à l'Inde en langue anglaise et cette
langue est la seule avec laquelle on puisse se mettre en contact sans interprète avec
tous les Indiens cultivés. Les idées politiques modernes, au nom même desquelles *
l'Inde combat ce qui reste encore d'autoritaire dans son gouvernement, lui vien-
nent des universités anglaises : comme l'Irlande, l'Inde n'est jamais plus britan-
nique que dans ses mouvements d'indépendance. C'est pourquoi elle regarde
avec le mépris d'un gentleman de l'opposition le grossier mélange de pseudo-
science allemande et d'incohérence que les bolchévistes offrent aux peuples
d'Asie. L'Inde musulmane a donc une influence très particulière sur le monde
musulman et aussi sur la politique musulmane britannique ; quand on en fera une
étude historique avec le recul suffisant, son rôle apparaîtra beaucoup plus
grand qu'on ne le voit aujourd'hui.
m
L'étude objective de l'évolution et de la multiplication des États musulmans
libres sous l'influence britannique révèle dans cet Empire l'originalité d'avoir
un intérêt matériel — politique et économique — aussi bien que moral à être
composé et entouré de nations indépendantes : de là une politique libérale, pour
ainsi dire spontanée, qui le différencie profondément de certaines autres grandes
puissances. Mais pourquoi l'Empire britannique est-il entraîné pour ainsi dire
par la force des choses à pratiquer cette politique libérale spécialement dans le
cas des pays musulmans ?
On vient de dire les réactions mutuelles du monde musulman indien et des
autres pays d'Islam. Les réactions des États musulmans et de l'Empire résultent
aussi - il va de soi — d'interdépendances naturelles dues en premier lieu aux
positions géographiques. En outre, les États musulmans se sont sentis menacés,
dans leur indépendance économique et politique, par certaines grandes puis-
sances, au moment même où leur évolution leur faisait comprendre la valeur de
cette indépendance. De même on a vu comment les événements d'Europe, depuis
quelque deux ans, ont amené les Musulmans de l'Afrique du Nord à se serrer
autour de la France protectrice et libérale.
La politique britannique au Proche-Orient est celle d'une thalassocratie plutôt
que d'un empire. Or la vocation d'une thalassocratie est moins de gouverner des
territoires que de commercer sur les mers qui les entourent ; et plus les popu-
lations de ces territoires seront évoluées et libres, plus ce commerce aura de
valeur. La thalassocratie britannique a donc une frontière commune avec tous
les États qui possèdent une côte maritime et son intérêt est qu'au long de cette
frontière les États et les peuples soient avec elle en relations d'amitié. Or, sur la
voie impériale de Londres aux Indes et à l'Extrême-Orient, les navires anglais
longent de Gibraltar à l'océan Indien des côtes musulmanes. L'un des centres
de figure de la puissance britannique est dans la mer d'Oman, entre le cap Guar-
dafui et le cap Comorin ; c'est précisément l'un des centres de la puissance mari-
time et commerciale des brillantes périodes arabes d'autrefois. Parmi les noyaux
les plus radiants de l'Empire britannique, sont la mer Rouge et le golfe Persique,
car celui-ci est non seulement partie d'une route impériale, mais centre d'action
politique : c'est là que la politique maritime se joint à la politique de la péninsule
où bat le cœur de l'Islam. On connaît trop peu — même en Angleterre — l'excel-
lence des services arabes britanniques d'Asie, comparables à nos services arabes
d'Afrique ; et il est souhaitable que ces services collaborent de plus en plus
étroitement.
Pourtant, dès maintenant, l'entente anglo-française en Asie occidentale et en
Afrique septentrionale et orientale est pratiquée, par exemple pour la défense
de notre commune route maritime impériale. La France a apprécié comme l'An-
gleterre le traité avec le Yémen dans un temps où notre commune garde du Bab-
el-Mandeb, d'Aden et Djibouti, est la garantie de la libre pratique de la route de
nos colonies pendant la guerre. De même, les ententes de nos deux pays avec la
République turque. De même, encore la garde de la frontière occidentale de
l'Inde aux passes de Khyber et de G.omal.
Mais, en Afrique comme en Asie, dans les pays français comme dans les terri-
toires britanniques, la puissance des deux Empires alliés est fondée sur une solide
base humaine, sur la compréhension de la pensée islamique, sur la conviction
des populations musulmanes que le drapeau tricolore et l'Union Jack sont les
plus sûres garanties pour la liberté des hommes et pour l'indépendance des
États. Y.-M. GOBLET.
DANS LE PROCHE-ORIENT
Le haut commissaire, M. Gabriel PUAUX, reçu par les Chefs Bédouins.
LE MONDE COLONIAL ILLUSTRÉ
N° 202 .......... AVRIL 1940
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