Titre : Le Monde colonial illustré : revue mensuelle, commerciale, économique, financière et de défense des intérêts coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34459430v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 mai 1929 01 mai 1929
Description : 1929/05/01 (A7,N69)-1929/05/31. 1929/05/01 (A7,N69)-1929/05/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97457314
Source : CIRAD, 2016-192274
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/10/2016
No 69. — MAI 1929 LE MONDE COLONIAL ILLUSTRE 121
L'OUVERTURE D'AGADIR
AU COMMERCE EUROPÈEN
De Mogador à Agadir en auto.
A vol d'oiseau, Agadir n'est qu'à 120 kilomètres de
Mogador, alors qu'il faut 187 bons kilomètres pour y
arriver par une route contournant tous les caps,
montagnes et obstacles que la nature a semés à
profusion dans la région, sans doute pour la faire plus
désirée, plus mystérieuse. En auto, le trajet se fait
normalement en quatre à cinq heures.
En quittant Mogador, c'est le pays Haha, vallonné,
couvert de champs d'orge, de maïs, peu de blé. Parmi
les essences forestières, le thuya et l'arganier viennent
bien. Bientôt commencent les contreforts de l'Atlas
par les djebels Meredema et Amsitten.
A 71 kilomètres, Tamanar, limite de territoire civil,
les autos et cars sont détournés sur un mince raidillon
pour grimper au contrôle, montrer aux autorités mili-
taires l'autorisation pour leurs passagers de pénétrer
« en territoire hors la zone de sécurité », comme il est
écrit.
Il faut admirer et louer l'excellente politique des
officier ,de renseignements, qui, sans tirer un coup de
fusil, ont assagi les Ida ou Tanan, hier encore irréduc-
tibles et pacifiant ainsi des contrées où jamais les
sabots du cheval du Sultan, même le plus glorieux,
n'avaient pu passer.
A mi-chemin d'Agadir, les dunes qui désolent
presque toute la côte du Maroc disparaissent. Mainte-
nant , la montagne finit à la mer, et la vague éclabousse
par gros temps de minuscules champs enclavés entre
les rochers et cultivés par quelques fellahs avares de
leurs terres.
La chaîne du Haut ou Grand Atlas vient plon-
ger dans l'Atlantique sur une base de plus de 80 kilo-
mètres de largeur, embrassant le littoral des Aït
Ameur et celui des Ida ou Tanan, Agadir la limitant au
sud. La pointe la plus avancée est le cap Ghit (Ras
Aferni). Les montagnes sont revêtues d'une végéta-
tion d'un vert foncé qui monte jusqu'à leurs cimes
disparaissant à travers les brumes. La plus grande alti-
tude est atteinte par le djebel Tazenarkt (1 350 mètres)
en territoire Ida ou Tanan, dont le versant du côté
littoral est couvert de thuyas. En bordure de la mer,
près des sources' Imin Fratine, Aïn Tinerte, Aman
Tiratene, qui jaillissent à l'ombre d'orgueilleux pal-
miers escaladant la montagne, il est des sites ravis-
sants. De sombres grottes qui servent de repaires aux
animaux sauvages ont dû abriter l'homme primitif,
celui de l'Atlantide.
Un point attrayant de la route est le défilé appelé
Taalt N'teurfakt,qui commence quelque 20 kilomètres
au nord de l'embouchure de l'oued Aït Ameur ; la
route dévale de hauts plateaux de 400 mètres et plus.
C'est la trouée vers la mer par une descente vertigi-
neuse, en lacets, bordant des gouffres obscurs et boisés,
chemin extrêmement dangereux pendant 10 kilomètres
et tortueux à l'excès, permettant à peine, par ses vi-
rages en épingle à cheveux, la vue à quelques mètres.
Pour traverser cinq ou six torrents et oueds à sec
la plupart du temps, des ponts si étroits qu'il faut
les viser avec justesse pour ne pas les manquer et
sur lesquels les cars à roues jumelées frôlent les para-
pets. Lors de leur construction, quelques décimètres
de plus n'étaient pas beaucoup plus coûteux.
Quoiqu'elle soit bien entretenue, on dit la route
mauvaise ; c'est dangereuse qu'il faut dire, à cause
de son développement dans des régions très accidentées.
Il faut un conducteur à l'esprit attentif, voyant de
loin, et de bons freins.
Après avoir grimpé le dernier escarpement à
Abouda, voici Agadir ; par sa conformation, le
Gibraltar marocain. Une montagne ronde, surplom-
bant la route impériale qui relie le vieux royaume
de Fez à celui du Souss, un simple chemin de cor-
niche large de quelques mètres pour faire communi-
quer tout l'ouest du Maroc avec le royaume du Sud.
En haut, un rempart visible de loin entourant une
ville arabe, un nid d'aigle. Sur la pente, un cimetière
bien mal placé au point de vue hygiène, les eaux de
pluie entraînant fatalement des germes vers la ville
basse.
En bas, incrusté dans la montagne, un village :
Fonti. Au-dessus, à mi-hauteur, en escaliers, les ca-
sernements de troupes. Plus loin, des constructions,
murs en briques non cuites, toitures légères, établisse-
ments des quelques heureux privilégiés qui ont su
justifier leur utilité, sous le couvert administratif.
Une rade immense, calme, poissonneuse, bien abri-
tée naturellement, où s'ébauche un quai minuscule,
embryon d'un grand port charbonnier sur la route sud-
atlantique.
Le 23 septembre 1897, Léopold II, roi des Belges, de
passage à Mogador, sur son yacht Clémentine, envi-
sageait, dans une conversation avec les membres du
corps consulaire, la création à Agadir d'un sana-
torium pour ses fonctionnaires et chefs de comptoirs
de l'État libre du Congo, afin d'atténuer par un séjour
dans cette station, dont le climat sec et mi-tempéré
convenait à merveille, les effets funestes d'un brusque
retour en Europe, sans aucune transition.
L'ouverture d'Agadir au commerce européen,
toujours annoncée et toujours reculée, serait proche,
d'après les affirmations du colonel commandant la
région.
Nous examinerons prochainement son oppor-
tunité, ses conséquences et l'avenir qui lui est réservé.
Pascal PROVASOLI.
LA VIEILLE CHINE BLEUE
EN PLEIN MOYEN AGE, A YUNNANFOU
Une porte extérieure de Yunnanfou. — Soldats chinois vêtus de toile'grise, coiffés de casquettes plates, et chaussés — pas tous —
de sandales ^de paille tressée. [(Photo Charrin.)
1
L ne faut pas chercher à 'Shanghaï, Jà
Canton, villes modernisées, la vieille
Chine en sa pittoresque étrangeté. Mais
venez à Yunnanfou, capitale de la pro-
vince du Yunnan ; là, on plonge en plein
moyen âge : ruelles d'artisans, costumes
archaïques, luttes de seigneur à seigneur, avec
bandes de condottieri, pour retrouver cependant la
ville éclairée à l'électricité, les mandarins au télé-
phone, et le virus communiste en vase clos.
A Loa-Kay, en un site montagneux et forestier,
on quitte le Tonkin pour entrer en Chine ; le pont
est, en son milieu, la frontière. Premier contact avec
l'« armée » chinoise : une notabilité militaire prend
le train, une compagnie présente les armes, molle-
ment, les uns, canon vers la terre, et la clique fait en-
tendre :« Fantassin (bis) des nouvelles » en une musique
criarde et lente, point martiale, qui fait songer à la
mort de Turenne...
— A la mort de Turenne, dites-vous ?
Eh oui 1 clique traînante et mousquets renversés...
Dans le train, le contrôleur français appelle un sol-
dat pour faire payer le voyageur récalcitrant. Car au
départ nul contrôle n'est possible; les wagons de qua-
trième sont envahis par une débordante populace.
Alors, passe le contrôleur ; il recueille cinquante
cents. Deux stations après, une piastre vingt cents.
Trois haltes plus Io n, quatre-vingts sous. Et, avec da
la patience, — et l'aide du soldat de douze ans, sa
mousqueterie sous le nez du mauvais payeur, — il
arrive presque toujours à toucher le prix du voyage.
Revolver au poing, doigt sur la gâchette, l'« armée »
défile incessamment dans les compartiments. Mais
un beau gland de soie, pendant près du canon, enlève
à leur arme toute allure belliqueuse. Un chef de bande
monte, à grands cris case ses partisans qui se
couchent partout, si bien qu'on ne peut circuler dans
le couloir et que je reçois une tape sur la jambe pour
avoir voulu glisser un pied — précautionneux —
entre deux corps étendus. Et puis, le revolver, tout
de suite. Le chef est beau : tête mongole, moustache
en noire virgule, cravache en main, beau costume
bleu matelassé de piqûres. Il accepte un bonbon,
en souriant de sa bouche circonflexe... Il y a un mois,
il était contre nous...
Le pont en dentelle courbe son élégante précision
entre deux montagnes, œuvre splendide des ingénieurs
français, œuvre que le monde entier devrait connaître
pour l'admirer, et savoir la juger telle qu'elle est :
le roman de l'énergie, du courage, de l'effort humain
Yunnanfou. — La rue du Sud. L'éblouissement de la rue chinoise. Pour nos yeux français, toutes ces taches violentes sont un
continue] étonnement,
7
L'OUVERTURE D'AGADIR
AU COMMERCE EUROPÈEN
De Mogador à Agadir en auto.
A vol d'oiseau, Agadir n'est qu'à 120 kilomètres de
Mogador, alors qu'il faut 187 bons kilomètres pour y
arriver par une route contournant tous les caps,
montagnes et obstacles que la nature a semés à
profusion dans la région, sans doute pour la faire plus
désirée, plus mystérieuse. En auto, le trajet se fait
normalement en quatre à cinq heures.
En quittant Mogador, c'est le pays Haha, vallonné,
couvert de champs d'orge, de maïs, peu de blé. Parmi
les essences forestières, le thuya et l'arganier viennent
bien. Bientôt commencent les contreforts de l'Atlas
par les djebels Meredema et Amsitten.
A 71 kilomètres, Tamanar, limite de territoire civil,
les autos et cars sont détournés sur un mince raidillon
pour grimper au contrôle, montrer aux autorités mili-
taires l'autorisation pour leurs passagers de pénétrer
« en territoire hors la zone de sécurité », comme il est
écrit.
Il faut admirer et louer l'excellente politique des
officier ,de renseignements, qui, sans tirer un coup de
fusil, ont assagi les Ida ou Tanan, hier encore irréduc-
tibles et pacifiant ainsi des contrées où jamais les
sabots du cheval du Sultan, même le plus glorieux,
n'avaient pu passer.
A mi-chemin d'Agadir, les dunes qui désolent
presque toute la côte du Maroc disparaissent. Mainte-
nant , la montagne finit à la mer, et la vague éclabousse
par gros temps de minuscules champs enclavés entre
les rochers et cultivés par quelques fellahs avares de
leurs terres.
La chaîne du Haut ou Grand Atlas vient plon-
ger dans l'Atlantique sur une base de plus de 80 kilo-
mètres de largeur, embrassant le littoral des Aït
Ameur et celui des Ida ou Tanan, Agadir la limitant au
sud. La pointe la plus avancée est le cap Ghit (Ras
Aferni). Les montagnes sont revêtues d'une végéta-
tion d'un vert foncé qui monte jusqu'à leurs cimes
disparaissant à travers les brumes. La plus grande alti-
tude est atteinte par le djebel Tazenarkt (1 350 mètres)
en territoire Ida ou Tanan, dont le versant du côté
littoral est couvert de thuyas. En bordure de la mer,
près des sources' Imin Fratine, Aïn Tinerte, Aman
Tiratene, qui jaillissent à l'ombre d'orgueilleux pal-
miers escaladant la montagne, il est des sites ravis-
sants. De sombres grottes qui servent de repaires aux
animaux sauvages ont dû abriter l'homme primitif,
celui de l'Atlantide.
Un point attrayant de la route est le défilé appelé
Taalt N'teurfakt,qui commence quelque 20 kilomètres
au nord de l'embouchure de l'oued Aït Ameur ; la
route dévale de hauts plateaux de 400 mètres et plus.
C'est la trouée vers la mer par une descente vertigi-
neuse, en lacets, bordant des gouffres obscurs et boisés,
chemin extrêmement dangereux pendant 10 kilomètres
et tortueux à l'excès, permettant à peine, par ses vi-
rages en épingle à cheveux, la vue à quelques mètres.
Pour traverser cinq ou six torrents et oueds à sec
la plupart du temps, des ponts si étroits qu'il faut
les viser avec justesse pour ne pas les manquer et
sur lesquels les cars à roues jumelées frôlent les para-
pets. Lors de leur construction, quelques décimètres
de plus n'étaient pas beaucoup plus coûteux.
Quoiqu'elle soit bien entretenue, on dit la route
mauvaise ; c'est dangereuse qu'il faut dire, à cause
de son développement dans des régions très accidentées.
Il faut un conducteur à l'esprit attentif, voyant de
loin, et de bons freins.
Après avoir grimpé le dernier escarpement à
Abouda, voici Agadir ; par sa conformation, le
Gibraltar marocain. Une montagne ronde, surplom-
bant la route impériale qui relie le vieux royaume
de Fez à celui du Souss, un simple chemin de cor-
niche large de quelques mètres pour faire communi-
quer tout l'ouest du Maroc avec le royaume du Sud.
En haut, un rempart visible de loin entourant une
ville arabe, un nid d'aigle. Sur la pente, un cimetière
bien mal placé au point de vue hygiène, les eaux de
pluie entraînant fatalement des germes vers la ville
basse.
En bas, incrusté dans la montagne, un village :
Fonti. Au-dessus, à mi-hauteur, en escaliers, les ca-
sernements de troupes. Plus loin, des constructions,
murs en briques non cuites, toitures légères, établisse-
ments des quelques heureux privilégiés qui ont su
justifier leur utilité, sous le couvert administratif.
Une rade immense, calme, poissonneuse, bien abri-
tée naturellement, où s'ébauche un quai minuscule,
embryon d'un grand port charbonnier sur la route sud-
atlantique.
Le 23 septembre 1897, Léopold II, roi des Belges, de
passage à Mogador, sur son yacht Clémentine, envi-
sageait, dans une conversation avec les membres du
corps consulaire, la création à Agadir d'un sana-
torium pour ses fonctionnaires et chefs de comptoirs
de l'État libre du Congo, afin d'atténuer par un séjour
dans cette station, dont le climat sec et mi-tempéré
convenait à merveille, les effets funestes d'un brusque
retour en Europe, sans aucune transition.
L'ouverture d'Agadir au commerce européen,
toujours annoncée et toujours reculée, serait proche,
d'après les affirmations du colonel commandant la
région.
Nous examinerons prochainement son oppor-
tunité, ses conséquences et l'avenir qui lui est réservé.
Pascal PROVASOLI.
LA VIEILLE CHINE BLEUE
EN PLEIN MOYEN AGE, A YUNNANFOU
Une porte extérieure de Yunnanfou. — Soldats chinois vêtus de toile'grise, coiffés de casquettes plates, et chaussés — pas tous —
de sandales ^de paille tressée. [(Photo Charrin.)
1
L ne faut pas chercher à 'Shanghaï, Jà
Canton, villes modernisées, la vieille
Chine en sa pittoresque étrangeté. Mais
venez à Yunnanfou, capitale de la pro-
vince du Yunnan ; là, on plonge en plein
moyen âge : ruelles d'artisans, costumes
archaïques, luttes de seigneur à seigneur, avec
bandes de condottieri, pour retrouver cependant la
ville éclairée à l'électricité, les mandarins au télé-
phone, et le virus communiste en vase clos.
A Loa-Kay, en un site montagneux et forestier,
on quitte le Tonkin pour entrer en Chine ; le pont
est, en son milieu, la frontière. Premier contact avec
l'« armée » chinoise : une notabilité militaire prend
le train, une compagnie présente les armes, molle-
ment, les uns, canon vers la terre, et la clique fait en-
tendre :« Fantassin (bis) des nouvelles » en une musique
criarde et lente, point martiale, qui fait songer à la
mort de Turenne...
— A la mort de Turenne, dites-vous ?
Eh oui 1 clique traînante et mousquets renversés...
Dans le train, le contrôleur français appelle un sol-
dat pour faire payer le voyageur récalcitrant. Car au
départ nul contrôle n'est possible; les wagons de qua-
trième sont envahis par une débordante populace.
Alors, passe le contrôleur ; il recueille cinquante
cents. Deux stations après, une piastre vingt cents.
Trois haltes plus Io n, quatre-vingts sous. Et, avec da
la patience, — et l'aide du soldat de douze ans, sa
mousqueterie sous le nez du mauvais payeur, — il
arrive presque toujours à toucher le prix du voyage.
Revolver au poing, doigt sur la gâchette, l'« armée »
défile incessamment dans les compartiments. Mais
un beau gland de soie, pendant près du canon, enlève
à leur arme toute allure belliqueuse. Un chef de bande
monte, à grands cris case ses partisans qui se
couchent partout, si bien qu'on ne peut circuler dans
le couloir et que je reçois une tape sur la jambe pour
avoir voulu glisser un pied — précautionneux —
entre deux corps étendus. Et puis, le revolver, tout
de suite. Le chef est beau : tête mongole, moustache
en noire virgule, cravache en main, beau costume
bleu matelassé de piqûres. Il accepte un bonbon,
en souriant de sa bouche circonflexe... Il y a un mois,
il était contre nous...
Le pont en dentelle courbe son élégante précision
entre deux montagnes, œuvre splendide des ingénieurs
français, œuvre que le monde entier devrait connaître
pour l'admirer, et savoir la juger telle qu'elle est :
le roman de l'énergie, du courage, de l'effort humain
Yunnanfou. — La rue du Sud. L'éblouissement de la rue chinoise. Pour nos yeux français, toutes ces taches violentes sont un
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