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- Table des Matières
- ARACHIDES
- PALMIER A HUILE
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- LE TOME IV DES MÉMOIRES ET RAPPORTS SUR LES MATIÈRES GRASSES:
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- COCOTIER
- OLIVIER
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- Compte rendu du XI e Congrès International d'Oléiculture. Tunis-Sousse-Sfax, octobre-Novembre 1928.
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- AUTRES MATIERES GRASSES
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- LE COMMERCE ET L'INDUSTRIE DES MATIERES GRASSES
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- NOTES ET INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES
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limite les déductions mathématiques qu'on peut tirer de cette méthode
employée conjointement avec les anciens procédés d'analyse.
Au point de vue général de l'analyse des corps gras, certains passages
sont à retenir. Au point de vue des constituants du beurre de palmiste,
ils semblent rassembler tout ce que nous pouvons en connaître actuel-
lement.
Traduisons :
Il a été récemment démontré (flilditsch and Lea J. C. S. 1927, 3.106)
que lorsqu'un corps gras naturel composé d'un mélange de glycerides neutres
est oxydé prudemment en solution acétonique par du permanganate de
potasse, tous les groupes non saturés présents sont décomposés; ils sont
dégradés jusqu'à former un mélange d'acides gras légers et de dérivés
glycériques semi-acides de l'acide azélaïque.
Par contre les glycérides complètement saturés restent inaltérés.
Par exemple représentons respectivement par S.COOH les acides saturés
et par N.COOH les acides non saturés : un glycéride de la forme C'H"
(O.COS)' restera inaltéré. Mais les mono, di et tri-glycécides non saturés de
la forme :
donneront des dérivés acides de la forme :
en mème temps que des acides libres nonoïques et hexoïques.
La réaction est presque quantitative.
Les auteurs ajoutent quelques considérants sur son emploi général d
sur les données qu'ils en ont tirées touchant la répartition des acides
gras dans certains glycérides courants.
Collin et Hilditch limitent aussi à l'examen des glycérides complè-
tement saturés la portée de leur réaction :
L'analyse directe des glycérides saturés-insaturés ne peut être faite en
partant des produits acides de l'oxydation. Elle est compliquée par la pré-
sence des acides nonoïques et azélaïques qui sont difficiles à séparer quanti-
tativement. Les éthers méthyliques de ces acides distillent à peu près en
même temps que le caprylate et le myristate de méthyle et mêlés avec, ce
qui rend 1 analyse impraticable sur la fraction correspondante.
Passant en revue la méthode de Boemer dont nous avons parlé plus
haut, ils en font une large critique. Ils citent les résultats obtenus par
lui, l'identification qu'il a faite des caprylomyristooléine, dilauromyris-
tine, laurodimyristine, dimyristopalmitine, myristodipalmitine, dans le
gras de palmiste, et celle des corps gras du coprah, puis :
Les résultats que nous allons publier ci-après montrent que le présent
mélange de glycérides offre probablement le maximum de difficultés dans la
séparation par cristallisations fractionnées, en raison de la répartition extrê-
mement régulière des acides gras entre les divers glycérides du corps gras.
Partant de là, il n'est pas surprenant que Boemer n'ait découvert avec
ce système qu'un nombre de composants relativement petits, qu'ils soient
pour la plupart d'un point de fusion relativement élevé, et d'une solubilité
correspondante faible. Nous irons même jusqu'à admettre qu'il a fait rendre
à cette méthode le maximum de ce qu'on peut obtenir avec ces recherches
ennuyeuses et pénibles.
Le procédé de cristallisation fractionnée dans les mains de Boemer a indi-
qué de la sorte qualitativement la présence de composés certains.
limite les déductions mathématiques qu'on peut tirer de cette méthode
employée conjointement avec les anciens procédés d'analyse.
Au point de vue général de l'analyse des corps gras, certains passages
sont à retenir. Au point de vue des constituants du beurre de palmiste,
ils semblent rassembler tout ce que nous pouvons en connaître actuel-
lement.
Traduisons :
Il a été récemment démontré (flilditsch and Lea J. C. S. 1927, 3.106)
que lorsqu'un corps gras naturel composé d'un mélange de glycerides neutres
est oxydé prudemment en solution acétonique par du permanganate de
potasse, tous les groupes non saturés présents sont décomposés; ils sont
dégradés jusqu'à former un mélange d'acides gras légers et de dérivés
glycériques semi-acides de l'acide azélaïque.
Par contre les glycérides complètement saturés restent inaltérés.
Par exemple représentons respectivement par S.COOH les acides saturés
et par N.COOH les acides non saturés : un glycéride de la forme C'H"
(O.COS)' restera inaltéré. Mais les mono, di et tri-glycécides non saturés de
la forme :
donneront des dérivés acides de la forme :
en mème temps que des acides libres nonoïques et hexoïques.
La réaction est presque quantitative.
Les auteurs ajoutent quelques considérants sur son emploi général d
sur les données qu'ils en ont tirées touchant la répartition des acides
gras dans certains glycérides courants.
Collin et Hilditch limitent aussi à l'examen des glycérides complè-
tement saturés la portée de leur réaction :
L'analyse directe des glycérides saturés-insaturés ne peut être faite en
partant des produits acides de l'oxydation. Elle est compliquée par la pré-
sence des acides nonoïques et azélaïques qui sont difficiles à séparer quanti-
tativement. Les éthers méthyliques de ces acides distillent à peu près en
même temps que le caprylate et le myristate de méthyle et mêlés avec, ce
qui rend 1 analyse impraticable sur la fraction correspondante.
Passant en revue la méthode de Boemer dont nous avons parlé plus
haut, ils en font une large critique. Ils citent les résultats obtenus par
lui, l'identification qu'il a faite des caprylomyristooléine, dilauromyris-
tine, laurodimyristine, dimyristopalmitine, myristodipalmitine, dans le
gras de palmiste, et celle des corps gras du coprah, puis :
Les résultats que nous allons publier ci-après montrent que le présent
mélange de glycérides offre probablement le maximum de difficultés dans la
séparation par cristallisations fractionnées, en raison de la répartition extrê-
mement régulière des acides gras entre les divers glycérides du corps gras.
Partant de là, il n'est pas surprenant que Boemer n'ait découvert avec
ce système qu'un nombre de composants relativement petits, qu'ils soient
pour la plupart d'un point de fusion relativement élevé, et d'une solubilité
correspondante faible. Nous irons même jusqu'à admettre qu'il a fait rendre
à cette méthode le maximum de ce qu'on peut obtenir avec ces recherches
ennuyeuses et pénibles.
Le procédé de cristallisation fractionnée dans les mains de Boemer a indi-
qué de la sorte qualitativement la présence de composés certains.
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