Titre : La Dépêche coloniale illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-08-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327559237
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 15 août 1903 15 août 1903
Description : 1903/08/15 (A3,N15). 1903/08/15 (A3,N15).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743157p
Source : CIRAD, 2016-191284
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
LA DÉPÊCHE COLONIALE ILLUSTRÉE 209
de cet établissement qui n'a pascoûtédes millions,
mais qui aura déjà, au seuil de son existence,
contribué à accroître la richesse nationale par des
découvertes importantes.
Monsieur le Ministre, cette inauguration qui a
lieu alors que la première promotion d'élèves va
sortir de cette Ecole, vient bien à son heure.
Sa date, qui aurait.pu paraître tardive, nous
permet, non de vous parler de nos espérances,
mais ce qui vaut mieux, de vous montrer les résul-
tats acquis. En effet, notre première promotion a
compté 26 inscriptions d'élèves. Par eux, toutes
nos grandes écoles ont été représentées et l 'Ins-
titut national agronomique a, à lui seul, fourni le
tiers de la promotion et il me plaît d'ajouter que
l'élève sorti le premier de l'Institut l'année der-
nière compte parmi mes auditeurs.
Dès que ces élèves auront, le mois prochain, fini
ici leurs études, la plus grande partie d'entre eux
va aller occuper aux colonies des postes qui les
attendent et qui, je le dis avec une réelle satisfac-
tion, dépendent surtout, non de l'Administration,
mais des entreprises privées.
Les encouragements de toute sorte ne nous ont
pas fait défaut: la presse n'a cessé de nous fournir
des marques de bienveillante approbation ; les
savants des établissements de haute science nous
aident et. nous encouragent; enfin, plusieurs délé-
galions de l'étranger sont venues, officiellement
accréditées, étudier notre fonctionnement, car, ]a
première parmi les nations colonisatrices, la
France possède un établissement technique d'en-
seignement de l'agriculture coloniale.
Qu'il me soit permis, eu terminant, d'adresser
un public témoignage de gratitude à tous ceux
qui nous ont aidés clans l'accomplissement de
cette tâche; qu'ils soient assurés que leur dévoue-
ment n aura
pas été inu-
tile, car il
contribuera
au dévelop-
pement de la
définitive ri-
cliesse de
nos colonies.
En excel-
lents ter-
mes,M.Dou-
mergue ré-
pond que
depuis un
andéjà qu'il
est à la têle
du minis-
tère des Co-
lonies, il n'a
J ,u disposer
comme il le
désirait du
temps né-
cessaire à la
visite du
Jardin Colo-
nial. Il a été
heureux de
saisir pour
cette visite
l'occasion
qui lui était
offerte. Ce
n'est pas à
lui que doi-
vent être
adressés des remerciements pour ce qui a été
fait au Jardin Colonial, mais à son zélé direc-
teur. Grâce à son activité et à sa compréhension
nette et pratique des choses de l'agriculture
coloniale, il n'a eu qu'à donner son assentiment
aux différents projets présenLéspar M. Dybowski.
La visite faite ce jour au Jardin Colonial n'a
rien de solennel et si des discours ont été pro-
noncés, c'est qu'il était indispensable que le
directeur -pût retracer les étapes de la création
de l'Ecole et que le ministre pût dire l'impor-
tance qu'il attache au développement de l'agri-
culture dans nos colonies.
Si jadis il était terrible de partir dans les ré-
gions d'outre-mer, et d'y faire fortune sans
posséder un bagage de connaissances précises,
il n'en est plus de même à l'heure actuelle. La
concurrence est telle que c'est aux peuples les
plus fortement instruits des choses coloniales,
qui posséderont les méthodes les plus précises,
qu'il appartiendra de conquérir pacifiquement
et d'une façon durable et rémunératrice les ré-
gions nouvelles.
C'est à l'initiative privée que doit revenir ce
rôle. Et M. le Ministre espère voir à la tête
de toutes nos grandes plantations coloniales,
quelles qu'elles soient, de coton, de cacao, de
café, de caoutchouc, etc., les anciens élèves de
l'Ecole supérieure d'agriculture coloniale.
C'est à eux, en effet, que doit être dévolu ce
rôle, car ils auront acquis dans l'enseignement
qui leur est donné à l'Ecole tous les éléments
nécessaires.
Après avoir rendu hommage au zèle éclairé
du président du Conseil d'administration, M. Tis-
serand, le ministre est heureux de constater
combien est complète, 1 organisation de cet éta-
blissemen l qui, tout en étant doté de puissants
moyens d'enseignement, réunit encore dans ses
cultures, dans son parc tout ce qu'il faut pour en
faire un milieu instructif et charmant à la fois,
grâce à l'activité de l'homme distingué qui a
présidé a
sa créa-
tion, qui
en assure
lamarche.
et qui ycil-
le à son
dévelop-
pement
progressif.
Au s si,
ne veut-il
pas rete-
nir plus
longtemps
l'attention
LE LABORATOIRE DE BOTANIQUE
de Fauditoire,et il prie les nombreuses personnes
qui ont bien voulu se rendre à son invitation
de vouloir bien l'accompagner dans la visite à
travers les différents services.
Les applaudissements qui accueillent les pa-
roles aimables du ministre sont à peine calmés
que la visite commence par les laboratoires, les
archives, la bibliothèque.
Puis l'assemblée parcourt les serres, cerLaÍ-
nement très curieuses pour beaucoup de visi-
teurs qui ont pu se faire une idée très précise
des cultures coloniales, en entrant successive-
ment dans la serre à café, puis dans celle du
cacao, où ils ont vu des vanilles en fruit, dans la
serre à multiplication, la serre à bananiers.
Enfin, on se rend dans le bâtiment où se trouvent
l'amphithéâtre et les laboratoires de chimie.
Par une chance très appréciable, le temps
est resté beau pendant toute la visite, ce qui a
permis au ministre de parcourir le superbe parc
que tous les coloniaux connaissent; cette pro-
menade parmi les magnificences de la flore tro-
picale s'est terminée par un lunch servi dans le
pavillon de la Réunion auquel était attenante
une tente décorée de fleurs. Les dames, nom-
breuses, en toilettes claires et élégantes, rece-
vaient un programme artistement illustré par
M. Léon Colmet d'Aage; la musique du 26e ba-
taillon de chasseurs à pied, sous la direction de
son habile chef, M. Pernet, prêtait son concours
à celte fête charmante, très réussie, pleine d'en-
train et de bienveillante cordialité.
Le ministre des Colonies s'est retiré à cinq
heures et demie, en renouvelant encore une fois
au directeur du Jardin Colonial l'excellente
impression qu'il emportait de sa visite.
Telle est l'œuvre, jeune encore, mais déjà tra-
pue, robuste, assise sur des bases solides. Puisse
celui qui a été le promoteur de l'idée et qui
aura eu la rare fortune de la voir éclore, gran-
air, prendre
consistance
et s'impo-
ser, rester
pendant de
nombreuses
années à la
tête de ce
service. Car
s'il est bon
d'enfanter
une idée, il
est meilleur
encore d'en
assurer
l'existence
quand une
part de la
fortune de
la nation
doit en dé-
pendre.
Car il est
hors de
doute que
si le Jardin
Colonial
continue à se développer, à grandir
comme il l'a fait depuis son origine,
il deviendra en bien peu de temps
une des créations les plus inté-
ressantes, les plus complètes et
les plus utiles que nous possédions.
L'action heureuse qu'il exercera
sur le développement économique
de nos colonies sera pour elle de la
plus haute importance, car d'elle
naîtra une colonisation nouvelle,
éclairée, raisonnée, méthodique et
par suite définitivement prospère.
11 nous reste, pour terminer, à
reproduire les passages les plus
saillants du rapport fourni par
M. l'Inspecteur général Dybowski
au ministre des Colonies sur la
marche du service du Jardin Colo-
nial pendant l'année 1902.
L'organisation du Jardin Colo-
nial, telle qu'elle a été réglée par
les différents décrets et arrêtés que
nous avons reproduits plus haut,
fonctionne, dit M. Dybowski, non
seulement avec la plus grande
précision; grâce à 1 incontestable compétence
des chefs de service, mais elle se préoccupe
toujours de donner, dans le moins de
temps possible, une solution aux questions po-
sées. Etant donné le nombre considérable de
demandes de renseignements qui réclament des
recherches longues et minulieuses, le Jardin
Colonial fait fréquemment appel au concours
dévoué et à la haute compétence de savants qui
se sont consacrés à l'étude de questions spécin-,
les. Grâce à ces précieux concours, les ques-
tions étudiées reçoivent, dans le moins de
temps possible, les solutions les plus précises
et les meilleures.
S'il importe en effet que le service agricole
technique du département des Colonies procède
à l'inventaire méthodique de toutes les riches-
ses naturelles ou culturales du sol de nos pos-
sessions d'outre-mer, qu'il les centralise pour
les cataloguer, les déterminer et les décrire, il
a semblé utile que tous les services spéciaux
scientifiques dont la haùte compétence et la
bonne volonté s'offrent avec la plus grande
bienveillance puissent concourir à l'étude de
ces richesses naturelles.
de cet établissement qui n'a pascoûtédes millions,
mais qui aura déjà, au seuil de son existence,
contribué à accroître la richesse nationale par des
découvertes importantes.
Monsieur le Ministre, cette inauguration qui a
lieu alors que la première promotion d'élèves va
sortir de cette Ecole, vient bien à son heure.
Sa date, qui aurait.pu paraître tardive, nous
permet, non de vous parler de nos espérances,
mais ce qui vaut mieux, de vous montrer les résul-
tats acquis. En effet, notre première promotion a
compté 26 inscriptions d'élèves. Par eux, toutes
nos grandes écoles ont été représentées et l 'Ins-
titut national agronomique a, à lui seul, fourni le
tiers de la promotion et il me plaît d'ajouter que
l'élève sorti le premier de l'Institut l'année der-
nière compte parmi mes auditeurs.
Dès que ces élèves auront, le mois prochain, fini
ici leurs études, la plus grande partie d'entre eux
va aller occuper aux colonies des postes qui les
attendent et qui, je le dis avec une réelle satisfac-
tion, dépendent surtout, non de l'Administration,
mais des entreprises privées.
Les encouragements de toute sorte ne nous ont
pas fait défaut: la presse n'a cessé de nous fournir
des marques de bienveillante approbation ; les
savants des établissements de haute science nous
aident et. nous encouragent; enfin, plusieurs délé-
galions de l'étranger sont venues, officiellement
accréditées, étudier notre fonctionnement, car, ]a
première parmi les nations colonisatrices, la
France possède un établissement technique d'en-
seignement de l'agriculture coloniale.
Qu'il me soit permis, eu terminant, d'adresser
un public témoignage de gratitude à tous ceux
qui nous ont aidés clans l'accomplissement de
cette tâche; qu'ils soient assurés que leur dévoue-
ment n aura
pas été inu-
tile, car il
contribuera
au dévelop-
pement de la
définitive ri-
cliesse de
nos colonies.
En excel-
lents ter-
mes,M.Dou-
mergue ré-
pond que
depuis un
andéjà qu'il
est à la têle
du minis-
tère des Co-
lonies, il n'a
J ,u disposer
comme il le
désirait du
temps né-
cessaire à la
visite du
Jardin Colo-
nial. Il a été
heureux de
saisir pour
cette visite
l'occasion
qui lui était
offerte. Ce
n'est pas à
lui que doi-
vent être
adressés des remerciements pour ce qui a été
fait au Jardin Colonial, mais à son zélé direc-
teur. Grâce à son activité et à sa compréhension
nette et pratique des choses de l'agriculture
coloniale, il n'a eu qu'à donner son assentiment
aux différents projets présenLéspar M. Dybowski.
La visite faite ce jour au Jardin Colonial n'a
rien de solennel et si des discours ont été pro-
noncés, c'est qu'il était indispensable que le
directeur -pût retracer les étapes de la création
de l'Ecole et que le ministre pût dire l'impor-
tance qu'il attache au développement de l'agri-
culture dans nos colonies.
Si jadis il était terrible de partir dans les ré-
gions d'outre-mer, et d'y faire fortune sans
posséder un bagage de connaissances précises,
il n'en est plus de même à l'heure actuelle. La
concurrence est telle que c'est aux peuples les
plus fortement instruits des choses coloniales,
qui posséderont les méthodes les plus précises,
qu'il appartiendra de conquérir pacifiquement
et d'une façon durable et rémunératrice les ré-
gions nouvelles.
C'est à l'initiative privée que doit revenir ce
rôle. Et M. le Ministre espère voir à la tête
de toutes nos grandes plantations coloniales,
quelles qu'elles soient, de coton, de cacao, de
café, de caoutchouc, etc., les anciens élèves de
l'Ecole supérieure d'agriculture coloniale.
C'est à eux, en effet, que doit être dévolu ce
rôle, car ils auront acquis dans l'enseignement
qui leur est donné à l'Ecole tous les éléments
nécessaires.
Après avoir rendu hommage au zèle éclairé
du président du Conseil d'administration, M. Tis-
serand, le ministre est heureux de constater
combien est complète, 1 organisation de cet éta-
blissemen l qui, tout en étant doté de puissants
moyens d'enseignement, réunit encore dans ses
cultures, dans son parc tout ce qu'il faut pour en
faire un milieu instructif et charmant à la fois,
grâce à l'activité de l'homme distingué qui a
présidé a
sa créa-
tion, qui
en assure
lamarche.
et qui ycil-
le à son
dévelop-
pement
progressif.
Au s si,
ne veut-il
pas rete-
nir plus
longtemps
l'attention
LE LABORATOIRE DE BOTANIQUE
de Fauditoire,et il prie les nombreuses personnes
qui ont bien voulu se rendre à son invitation
de vouloir bien l'accompagner dans la visite à
travers les différents services.
Les applaudissements qui accueillent les pa-
roles aimables du ministre sont à peine calmés
que la visite commence par les laboratoires, les
archives, la bibliothèque.
Puis l'assemblée parcourt les serres, cerLaÍ-
nement très curieuses pour beaucoup de visi-
teurs qui ont pu se faire une idée très précise
des cultures coloniales, en entrant successive-
ment dans la serre à café, puis dans celle du
cacao, où ils ont vu des vanilles en fruit, dans la
serre à multiplication, la serre à bananiers.
Enfin, on se rend dans le bâtiment où se trouvent
l'amphithéâtre et les laboratoires de chimie.
Par une chance très appréciable, le temps
est resté beau pendant toute la visite, ce qui a
permis au ministre de parcourir le superbe parc
que tous les coloniaux connaissent; cette pro-
menade parmi les magnificences de la flore tro-
picale s'est terminée par un lunch servi dans le
pavillon de la Réunion auquel était attenante
une tente décorée de fleurs. Les dames, nom-
breuses, en toilettes claires et élégantes, rece-
vaient un programme artistement illustré par
M. Léon Colmet d'Aage; la musique du 26e ba-
taillon de chasseurs à pied, sous la direction de
son habile chef, M. Pernet, prêtait son concours
à celte fête charmante, très réussie, pleine d'en-
train et de bienveillante cordialité.
Le ministre des Colonies s'est retiré à cinq
heures et demie, en renouvelant encore une fois
au directeur du Jardin Colonial l'excellente
impression qu'il emportait de sa visite.
Telle est l'œuvre, jeune encore, mais déjà tra-
pue, robuste, assise sur des bases solides. Puisse
celui qui a été le promoteur de l'idée et qui
aura eu la rare fortune de la voir éclore, gran-
air, prendre
consistance
et s'impo-
ser, rester
pendant de
nombreuses
années à la
tête de ce
service. Car
s'il est bon
d'enfanter
une idée, il
est meilleur
encore d'en
assurer
l'existence
quand une
part de la
fortune de
la nation
doit en dé-
pendre.
Car il est
hors de
doute que
si le Jardin
Colonial
continue à se développer, à grandir
comme il l'a fait depuis son origine,
il deviendra en bien peu de temps
une des créations les plus inté-
ressantes, les plus complètes et
les plus utiles que nous possédions.
L'action heureuse qu'il exercera
sur le développement économique
de nos colonies sera pour elle de la
plus haute importance, car d'elle
naîtra une colonisation nouvelle,
éclairée, raisonnée, méthodique et
par suite définitivement prospère.
11 nous reste, pour terminer, à
reproduire les passages les plus
saillants du rapport fourni par
M. l'Inspecteur général Dybowski
au ministre des Colonies sur la
marche du service du Jardin Colo-
nial pendant l'année 1902.
L'organisation du Jardin Colo-
nial, telle qu'elle a été réglée par
les différents décrets et arrêtés que
nous avons reproduits plus haut,
fonctionne, dit M. Dybowski, non
seulement avec la plus grande
précision; grâce à 1 incontestable compétence
des chefs de service, mais elle se préoccupe
toujours de donner, dans le moins de
temps possible, une solution aux questions po-
sées. Etant donné le nombre considérable de
demandes de renseignements qui réclament des
recherches longues et minulieuses, le Jardin
Colonial fait fréquemment appel au concours
dévoué et à la haute compétence de savants qui
se sont consacrés à l'étude de questions spécin-,
les. Grâce à ces précieux concours, les ques-
tions étudiées reçoivent, dans le moins de
temps possible, les solutions les plus précises
et les meilleures.
S'il importe en effet que le service agricole
technique du département des Colonies procède
à l'inventaire méthodique de toutes les riches-
ses naturelles ou culturales du sol de nos pos-
sessions d'outre-mer, qu'il les centralise pour
les cataloguer, les déterminer et les décrire, il
a semblé utile que tous les services spéciaux
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bonne volonté s'offrent avec la plus grande
bienveillance puissent concourir à l'étude de
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