Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-01-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1929 01 janvier 1929
Description : 1929/01/01-1929/01/31. 1929/01/01-1929/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743138b
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Paye 6
Les Annales Coloniales
LES VISAGES DU MAROC
Si l'existence de l'Atlantide avait été une
réalité, le pays fastueux célébré par Platon,
chanté par François Bacon, aurait relié 1 Eu-
rope à l'Afrique et les privilégiés conviés au
beau voyage, organisé par la Compagnie des
Chemins de Fer du Maroc, seraient parvenus
à Casablanca sans user du moindre esquif.
Mais de là Terre des Atlantes, il ne reste
qu'une légende qui s'égrène « comme un col-
lier de perles d'Occident »... et ce formidable
détroit-forteresse de Gibraltar, pourfendu à la
mesure des muscles d'Hercule.
Nul, parmi les passagers à bord de VAnja,
ne songe à regretter le Paradis englouti, tant
la vie est douce sur l'excellent bateau de
la Compagnie Paquet, grâce à l'exquise hospi-
talité de M. A. Nunzi, administrateur-directeur
qui a tenu à nous accompagner, et au distingué
commandant, M. Juliani.
J'ai appris, durant ce trop
court voyage, le rôle décisif
que des chefs énergiques
avaient fait jouer à la Com-
pagnie Paquet dans la con-
quête marocaine. Ouvriers
de la première heure, ils
établirent à l'aube même de
notre Protectorat Ul1e chaîne
sans fin reliant la France au
Maroc, et par laquelle arri-
vaient à Casablanca des
hommes, des matériaux de
construction, du charbon, du
pétrole, des vivres!... tous
les éléments indispensables
à notre occupation. La va-
gue peut être rude, l'A nf a
tient bien la mer, alors que
sur tant d'autres paquebots
appartenant pourtant à d'aris-
tocratiques sociétés, les voya-
geurs ne sont guère plus à
l'aise que Jonas dans le corps
de la baleine. Ainsi, depuis
Marseille, les heures passent
rapides entre la gymnastique
lumineuse de l'Orient et de
l'Occident — qui ordonnent
de féeriques mouvements de nuances au rythme
de la vague et du vent — et sous un voile de
brume la vision estompée de l'Espagne tel un
tableau de Carrière. La nuit, la côte apparaît,
collier dont le fil se brise ; des gemmes de
lumières bondissent, roulent isolées, disparais-
sent tandis que l'Anfa s'éloigne des feux de
Carthagène.
Nous autres « la caravane sans chameau »
des journalistes, la plume au repos, nous hu-
mons l'air marin, dépouillé de nouvelles sensa-
tionnelles.
A l'entrée du pont des premières, sur une
mince feuille dactylographiée, les fluctuations
de la Bourse et les vicissitudes de la politique
s'inscrivent. A l'anxiété de leurs visages, on
reconnaît les puissants du jour, que des ambi-
tions toujours en éveil enchaînent au char de
la renommée et de la fortune.
Trois religieux capucins, riches seulement
d'un rosaire en poche, stockent à force de bré-
viair*es-* toutes les ressources du royaume de
Dieu. Que restera-t-il, Seigneur, à ceux qui
négligent de thésauriser' ici-bas -ou pour le
ciel ? Le tourisme peut-être L Ainsi, la terre
saura récompenser ses amoureux fervents. De-
puis l'évanouissement du quai de la Joliette,
j'ai amassé de précieuses visions ; forte de ce
trésor dont je suis le seul .banquier, je puis,
sans risque, lever le pied et emporter le monde
enchante de mes' belles Images.
« Vous changerez, dit l'Imitation, et vous ne
serez pas mieux. »
Cette pensée chère à beaucoup d 'explora-
teurs désabusés par snobisme, manque de jus-
tesse, appliquée au voyage. Il est excellent
d'abandonner, quelques heures, la mobilité d'un
paquebot pour la terre, disons ferme, puisque
cette boule hospitalière, roule, si bien capi-
tonnée par la loi de gravitation universelle,
que notre équilibre est parfaitement stable.
Aussi, nous voudrions être assurés que MM.
les astronomes prédisent la tempête, afin de
pouvoir compter sur un temps favorable qui
nous permettrait de faire escale à Tanger.
UNE VILLE INTERNATIONALE
Dressée en pointe, au-dessus d'une rade ma-
gnifique, dans l'envolée superposée de ses murs
blancs, vert-nil et rose pâle, l'ancienne Tangis
Casablanca. — La rue de Marseille Photo Ch. Mourey.
ressemble à une jolie fille qui aurait mal
tourné. Dotée par la nature d'un emplacement
de premier ordre, sur la terre d'Afrique, dans
ur: carrefour de circulation intense où se mêlent
l'Océan et la Méditerranée, elle vieillit sans
tirer parti de ses avantages et devient une ma-
nière d'entremetteuse, aux regards char bonnes
par trop de conventions, véritable « bon sbirr »
(quartier d'amour) de la contrebande où tous les
échanges sont possibles, sous l'œil de verre
d'une police internationale.
Cela va du sac de blé aux caisses de muni-
tions... Du petit Socco à la place du grand
Socco, c'est l'ambiance de Cannes sans la Croi-
sette. Les indigènes sont très adaptés aux exi-
gences modernes, ils tiennent des boutiques
« couleur locale » consacrées à la pacotille
juive et musulmane ; brûle-parfums-mosquées,
babouches-sultanes, burnous-shéhérazades, ta-
pis — concours hippique ou expositions de pein-
ture. Les banques, les postes sont de premier
ordre et les yeux des femmes voilées, beaucoup
plus « Valencia » qu t « arabes ».
Pour un membre du Touring-Club à la re-
cherche d'une grande vedette, Tanger est une
« girl » à engager. Elle a, ce que l'on appelle,
dans le monde artiste, du tempérament. Un peu
vicieuse mais pleine de charme, elle possède ce
talent de music-hall oui séduit si rapidement le
spectateur et assure le succès du bon numéro.
Nous descendons le long de petites rues, héris-
sées de maisons blanches à pic, toutes ont des
terrasses à l'arabe et des persiennes sculptées
bleu lessive. Quelques rares habitations ont con-
m
servé l'allure espagnole, très reine Isabelle.
Ces Infantes de pierre sombre, aux balcons de
fer forgé, rappellent les galions, l'Inquisition et
les visages altiers ou puérils peints par Vélas-
quez. Tandis que j'envisage le haut col Médi-
cis d'une Dulcinée du seizième siècle en « ro-
be de parade » l'A nja s'impatiente au large,
et nous descendons rapidement vers les canots.
Parmi la chute étoilée de bougainvillées,
couleur de pensée, j entrevois des orangers ;
les hautes, les larges feuilles des bananiers ra-
ment, dans la brise, la lumière gris-perle de
ce jour sans soleil.
CASABLANCA
Une ville « homme d'affairès »
Le ciel seul • est d'Afri-
que, outre-mer, dévoré
de soleil. Des hommes
nouveaux... des villes neu-
ves dont Casablanca à tra-
vers mille formes récentes,
est le plus vivant symbole.
Des cités jaillissent comme
un coup de cartes des doigts
d'un joueur heureux, et le
banco formidable est aux
mains de la France. (La
première carte nous fut don-
née en 1827, par le Dey
d'Alger, dans un coup
d d'éventail. )
Le vent même qui passe
sur cette terre enflammée
ressemble au souffle mira-
culeux des trompettes de Jé-
richo. Seulement, au lieu de
s'écrouler, les murs s'élè-
vent, entre les muscles puis-
sants des treuils, dressés par
la volonté des hommes cons-
tructeurs, fervents de l'aven-
ture marocaine et le levier
indispensable des capitaux.
Dans ce quartier du centre de la ville, le
terrain se vend deux mille trois cents francs le
mètre carré; rien n'est trop cher pour le ciment
armé, la pierre et la brique ; des gratte-ciel
poussent en une saison, augmentant la moissor.
déjà très fertile des immeubles de rapport, des
hôtels, des banques et des cinémas.
A Casablanca-la-neuve, on comprend admi-
rablement ce principe fondamental d'économie
politique : « la fortune d'un peuple dépend en
grande partie de la rapidité de la circulation du
capital dont il dispose ». Ici, entre les phos-
phates de Kourigha (1.198.077 tonnes expor-
tées en 1927) les céréales de Chaouïa, blé dur,
blé tendre, orge, lin, maïs (500.000 hectares
actuellement ensemencés), l'industrie européen-
ne représentant environ 1 milliard de francs et
15.000 ouvriers au travail, j'ai l'impression que
le capital obéissant aux plus récentes concep-
tions en faveur dans le moderne « struggle for
life » fait ici du 300 kilomètres à l'heure. Ain-
si, la nécessité de la rapidité dans la production
et dans l écoulement de cette moduction étant
article de foi à Casablanca, la ville-homme
d affaires perfectionne sans cesse ses méthodes
dp- production, son outillage et développe ses
moyens de transport.
Ceux qui vous accueillent sont en grand
nombre des Marocains de la première heure, ils
conservent la rude fierté d'avoir fait le Maroc
« sous le signe de Lyautey ».
Un shake hand, cinq doigts gantés de déci-
sion, emprisonnent ma main. J'examine avec
Les Annales Coloniales
LES VISAGES DU MAROC
Si l'existence de l'Atlantide avait été une
réalité, le pays fastueux célébré par Platon,
chanté par François Bacon, aurait relié 1 Eu-
rope à l'Afrique et les privilégiés conviés au
beau voyage, organisé par la Compagnie des
Chemins de Fer du Maroc, seraient parvenus
à Casablanca sans user du moindre esquif.
Mais de là Terre des Atlantes, il ne reste
qu'une légende qui s'égrène « comme un col-
lier de perles d'Occident »... et ce formidable
détroit-forteresse de Gibraltar, pourfendu à la
mesure des muscles d'Hercule.
Nul, parmi les passagers à bord de VAnja,
ne songe à regretter le Paradis englouti, tant
la vie est douce sur l'excellent bateau de
la Compagnie Paquet, grâce à l'exquise hospi-
talité de M. A. Nunzi, administrateur-directeur
qui a tenu à nous accompagner, et au distingué
commandant, M. Juliani.
J'ai appris, durant ce trop
court voyage, le rôle décisif
que des chefs énergiques
avaient fait jouer à la Com-
pagnie Paquet dans la con-
quête marocaine. Ouvriers
de la première heure, ils
établirent à l'aube même de
notre Protectorat Ul1e chaîne
sans fin reliant la France au
Maroc, et par laquelle arri-
vaient à Casablanca des
hommes, des matériaux de
construction, du charbon, du
pétrole, des vivres!... tous
les éléments indispensables
à notre occupation. La va-
gue peut être rude, l'A nf a
tient bien la mer, alors que
sur tant d'autres paquebots
appartenant pourtant à d'aris-
tocratiques sociétés, les voya-
geurs ne sont guère plus à
l'aise que Jonas dans le corps
de la baleine. Ainsi, depuis
Marseille, les heures passent
rapides entre la gymnastique
lumineuse de l'Orient et de
l'Occident — qui ordonnent
de féeriques mouvements de nuances au rythme
de la vague et du vent — et sous un voile de
brume la vision estompée de l'Espagne tel un
tableau de Carrière. La nuit, la côte apparaît,
collier dont le fil se brise ; des gemmes de
lumières bondissent, roulent isolées, disparais-
sent tandis que l'Anfa s'éloigne des feux de
Carthagène.
Nous autres « la caravane sans chameau »
des journalistes, la plume au repos, nous hu-
mons l'air marin, dépouillé de nouvelles sensa-
tionnelles.
A l'entrée du pont des premières, sur une
mince feuille dactylographiée, les fluctuations
de la Bourse et les vicissitudes de la politique
s'inscrivent. A l'anxiété de leurs visages, on
reconnaît les puissants du jour, que des ambi-
tions toujours en éveil enchaînent au char de
la renommée et de la fortune.
Trois religieux capucins, riches seulement
d'un rosaire en poche, stockent à force de bré-
viair*es-* toutes les ressources du royaume de
Dieu. Que restera-t-il, Seigneur, à ceux qui
négligent de thésauriser' ici-bas -ou pour le
ciel ? Le tourisme peut-être L Ainsi, la terre
saura récompenser ses amoureux fervents. De-
puis l'évanouissement du quai de la Joliette,
j'ai amassé de précieuses visions ; forte de ce
trésor dont je suis le seul .banquier, je puis,
sans risque, lever le pied et emporter le monde
enchante de mes' belles Images.
« Vous changerez, dit l'Imitation, et vous ne
serez pas mieux. »
Cette pensée chère à beaucoup d 'explora-
teurs désabusés par snobisme, manque de jus-
tesse, appliquée au voyage. Il est excellent
d'abandonner, quelques heures, la mobilité d'un
paquebot pour la terre, disons ferme, puisque
cette boule hospitalière, roule, si bien capi-
tonnée par la loi de gravitation universelle,
que notre équilibre est parfaitement stable.
Aussi, nous voudrions être assurés que MM.
les astronomes prédisent la tempête, afin de
pouvoir compter sur un temps favorable qui
nous permettrait de faire escale à Tanger.
UNE VILLE INTERNATIONALE
Dressée en pointe, au-dessus d'une rade ma-
gnifique, dans l'envolée superposée de ses murs
blancs, vert-nil et rose pâle, l'ancienne Tangis
Casablanca. — La rue de Marseille Photo Ch. Mourey.
ressemble à une jolie fille qui aurait mal
tourné. Dotée par la nature d'un emplacement
de premier ordre, sur la terre d'Afrique, dans
ur: carrefour de circulation intense où se mêlent
l'Océan et la Méditerranée, elle vieillit sans
tirer parti de ses avantages et devient une ma-
nière d'entremetteuse, aux regards char bonnes
par trop de conventions, véritable « bon sbirr »
(quartier d'amour) de la contrebande où tous les
échanges sont possibles, sous l'œil de verre
d'une police internationale.
Cela va du sac de blé aux caisses de muni-
tions... Du petit Socco à la place du grand
Socco, c'est l'ambiance de Cannes sans la Croi-
sette. Les indigènes sont très adaptés aux exi-
gences modernes, ils tiennent des boutiques
« couleur locale » consacrées à la pacotille
juive et musulmane ; brûle-parfums-mosquées,
babouches-sultanes, burnous-shéhérazades, ta-
pis — concours hippique ou expositions de pein-
ture. Les banques, les postes sont de premier
ordre et les yeux des femmes voilées, beaucoup
plus « Valencia » qu t « arabes ».
Pour un membre du Touring-Club à la re-
cherche d'une grande vedette, Tanger est une
« girl » à engager. Elle a, ce que l'on appelle,
dans le monde artiste, du tempérament. Un peu
vicieuse mais pleine de charme, elle possède ce
talent de music-hall oui séduit si rapidement le
spectateur et assure le succès du bon numéro.
Nous descendons le long de petites rues, héris-
sées de maisons blanches à pic, toutes ont des
terrasses à l'arabe et des persiennes sculptées
bleu lessive. Quelques rares habitations ont con-
m
servé l'allure espagnole, très reine Isabelle.
Ces Infantes de pierre sombre, aux balcons de
fer forgé, rappellent les galions, l'Inquisition et
les visages altiers ou puérils peints par Vélas-
quez. Tandis que j'envisage le haut col Médi-
cis d'une Dulcinée du seizième siècle en « ro-
be de parade » l'A nja s'impatiente au large,
et nous descendons rapidement vers les canots.
Parmi la chute étoilée de bougainvillées,
couleur de pensée, j entrevois des orangers ;
les hautes, les larges feuilles des bananiers ra-
ment, dans la brise, la lumière gris-perle de
ce jour sans soleil.
CASABLANCA
Une ville « homme d'affairès »
Le ciel seul • est d'Afri-
que, outre-mer, dévoré
de soleil. Des hommes
nouveaux... des villes neu-
ves dont Casablanca à tra-
vers mille formes récentes,
est le plus vivant symbole.
Des cités jaillissent comme
un coup de cartes des doigts
d'un joueur heureux, et le
banco formidable est aux
mains de la France. (La
première carte nous fut don-
née en 1827, par le Dey
d'Alger, dans un coup
d d'éventail. )
Le vent même qui passe
sur cette terre enflammée
ressemble au souffle mira-
culeux des trompettes de Jé-
richo. Seulement, au lieu de
s'écrouler, les murs s'élè-
vent, entre les muscles puis-
sants des treuils, dressés par
la volonté des hommes cons-
tructeurs, fervents de l'aven-
ture marocaine et le levier
indispensable des capitaux.
Dans ce quartier du centre de la ville, le
terrain se vend deux mille trois cents francs le
mètre carré; rien n'est trop cher pour le ciment
armé, la pierre et la brique ; des gratte-ciel
poussent en une saison, augmentant la moissor.
déjà très fertile des immeubles de rapport, des
hôtels, des banques et des cinémas.
A Casablanca-la-neuve, on comprend admi-
rablement ce principe fondamental d'économie
politique : « la fortune d'un peuple dépend en
grande partie de la rapidité de la circulation du
capital dont il dispose ». Ici, entre les phos-
phates de Kourigha (1.198.077 tonnes expor-
tées en 1927) les céréales de Chaouïa, blé dur,
blé tendre, orge, lin, maïs (500.000 hectares
actuellement ensemencés), l'industrie européen-
ne représentant environ 1 milliard de francs et
15.000 ouvriers au travail, j'ai l'impression que
le capital obéissant aux plus récentes concep-
tions en faveur dans le moderne « struggle for
life » fait ici du 300 kilomètres à l'heure. Ain-
si, la nécessité de la rapidité dans la production
et dans l écoulement de cette moduction étant
article de foi à Casablanca, la ville-homme
d affaires perfectionne sans cesse ses méthodes
dp- production, son outillage et développe ses
moyens de transport.
Ceux qui vous accueillent sont en grand
nombre des Marocains de la première heure, ils
conservent la rude fierté d'avoir fait le Maroc
« sous le signe de Lyautey ».
Un shake hand, cinq doigts gantés de déci-
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