Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-05-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 mai 1929 01 mai 1929
Description : 1929/05/01-1929/05/31. 1929/05/01-1929/05/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743134p
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Page 10
: Les Annales Coloniales :
Vue générale de Saint-Pierre, prise de la rade.
banques sont : celle des Iles Saint-Pierre et
Miquelon, établie en 1899, à Saint-Pierre,
et « The Canadian Bank of Commerce »,
dans la même localité.
La population
La population dénombrée en 1926 s'élève
à 4. °30 habitants presque tous Français. Ce
chiffre croît dans une notable proportion au
moment des pêches.
La majorité des Français provien-
nent surtout de la Normandie, de la Bre- .
tagne et du pays basque.
Miquelon et l'île aux Chiens pratiquent
presque exclusivement la petite pêche. A la
saison, montés à deux sur des doris, les habi-
tants partent au matin, pêchent toute la
journée et rentrent le soir, après avoir laissé
au large des lignes tendues pour la nuit.
Les Saint-Pierrais, au contraire, préfè-
rent la grande pêche. D'avril à octobre, ils
se rendent sur le Grand Banc de Terre-
Neuve, sur des goélettes de 5° à 80 tonneaux,
dont l'équipage, de 15 à 20 hommes, est
placé sous les ordres d'un patron. Chaque
goélette est munie de plusieurs doris. Une
fois arrivés sur le banc; les hommes sont ré-
partis par deux ou trois sur ces frêles bar-
ques qui regagnent, le soir, la goélette où
le poisson est vidé et salé.
La vie de ces pêcheurs est d'autant plus
pénible qu'il leur est difficile de l'amélio-
rer. Point n'est besoin d'insister sur les con-
ditions mêmes de la pêche. L'on sait combien
elles sont rudes. Mais, en outre, le chômage
étant général de novembre à avril, c'est une
existence précaire que mênent les marins à
terre. Presque toujours, durant la période
de chômage, les commerçants leur avancent
les produits alimentaires ou autres nécessai-
res à leur subsistance. L'alcool, par malheur,
n'est pas omis, et il arrive trop générale-
ment que les Saint-Pierrais, au début de la
campagne, doivent plus qu'ils ne peuvent ga-
gner sur le banc, si fructueuse que soit la
pêche.
Il est malaisé d'instruire et d'éduquer la
population mâle. Jusqu'à douze ans, les jeu-
nes garçons vont à l'école et montrent doci-
lité et intelligence. Mais à treize ans au
plus tard, ils commencent l'apprentissage de
la, pêche et, il faut l'avouer, de l'alcool....
sous le regard et avec l'exemple de leurs
aînés. Leur cerveau, deux ou trois ans après,
semble s'obscurcir, et c'est une infime mino-
rité qui peut profiter d'un enseignement se-
condaire. L'essai a du reste été tenté sans
grand succès : la plupart des jeunes garçons
qui avaient été envoyés avec une bourse dans
ces lycées de France sont revenus sans ache-
ver leurs études, pris par la nostalgie de
leur rocher battu des tiots.
On ne saurait trop déplorer que la mère
n'ait pas assez d'autorité pour empêcher
l'enfant de prendre le goût de l'alcool.
Un éminent observateur, le Dr Alliot, mé-
decin des troupes coloniales, écrivait na-
guère : « Chez la femme (de Saint-Pierre),
t instruction est plus soignée et plus com-
plète. La jeune fille va à l'école jusqu'à
quinze, seize et même dix-sept ans. intelli-
gente, elle apprend avec beaucoup de faci-
lité; il est en France nombre de hllettes de
la bourgeoisie qui pourraient envier l'instruc-
tion de ces enfants de pêcheurs. Aussi cette
solide instruction primaire, cette négligence
des travaux pénibles, cette vie au-dedans fe-
ront-elles de la femme une compagne déli-
cate et supérieure à ce marin ignorant et si
souvent alcoolique. Cette supériorité et cette
délicatesse chez la femme se manifestent dans
tous les rapports sociaux ».
Quel regret n'éprouve-t-on pas à l'idée
de la bienfaisante influence que pourraient
exercer et que n'exercent pas ces femmes
sur leur entourage!
Il n'est pas chimérique, cependant, d'es-
pérer qu'un progrès social s'accomplira là-
bas. Lentement, l'exemple féminin peut por-
ter des fruits et, surtout, une diminution de
l'effort physique chez les hommes, pendant
la pêche, peut atténuer l'envie d'alcool, qui
est peut-être bien un besoin. (Jack London,
le profond romancier qui vécut longtemps de
métiers manuels, y compris les plus durs, a
montré de façon saisissante, dans l'un de
ses livres, comment l'excès de fatigue con-
duit presque inévitablement à l'usage habi-
tuei de l'alcool.) Aussi faut-il souhaiter que
l'emploi des engins mécaniques, déjà large-
ment commencé, soit poussé aux dernières
limites possibles.
Au demeurant, la population des îles est
composé de braves gens et de braves tout
court, fort attachés à la mère patrie, comme
en témoigne le monument élevé à Saint-
Pierre aux morts de la grande guerre.
Le sol
La formation géologique des îles Saint-
Pierre et Miquelon consiste presque unique-
ment en porphyre pétro-siliceux à pâte d'un
brun violâtre dont les fissures sont remplies
de quartz, généralement opaque, parfois lim-
pide, et, dans ce dernier cas, cristallisé. On
y rencontre surtout à Miquelon, des tour-
Vue générale de Saint-Pierre, prise de l'intérieur des terres.
bières qui ont fait l'objet d'une certaine
exploitation. Sur le territoire de la Petite-
Miquelon, on a découvert des schistes ardoi-
siers. Les ardoises, comparables à celles de
Fumay (Ardennes) sont rouges, violettes et
vertes. En 1874-75, des prospecteurs ont
trouvé à Miquelon des échantillons d'ocre
jaune. En 1867, on avait identifié dans la
même île des pyrites de fer et de cuivre.
A la vue de certaines parcelles brillantes,
on eut l'espoir d'avoir trouvé de l'or. Des
échantillons furent envoyés à l'Ecole des
Mines de Paris, qui conclut à l'absence
totale du précieux métal.
Par contre, le sous-sol renferme des mas-
ses de fer si importantes, qu'en plaçant, dans
certains endroits, une boussole à terre, l'ai-
guille aimantée s'affole et se met à décrire
des arcs de cercle désordonnés; des capitai-
nes de navires assurent même avoir constaté
certaines perturbations dans le fonctionne-
ment de leur compas en approchant du lit-
toral de Miquelon !
Des blocs erratiques, disséminés sur le
rivage, ont dû être apportés par des glaces
flottantes.
Le gibier
Quelques espèces sauvages peuvent con-
courir à l'alimentation des habitants,
Sans parler du gibier de mer et d'eau :
hirondelles de mer, canards sauvages, mau-
bêches, outardes, bécasses et bécassines, on
peut chasser, d'autre part, dans les plaines,
le courlieu, le merle, l'alouette, la grive, l'or-
tolan, le pluvier à collier, le pluvier doré et
surtout un volatile appelé Lagopède, ana-
logue à la perdrix, quoique plus gros, d'une
chair délicate, qui hiverne dans les fourrés
de Langlade et de Miquelon et présente
cette particularité surprenante d'être blanc
en hiver et gris en été.
Il existe également à Saint-Pierre et Mi-
quelon un lapin, ressemblant beaucoup au
lièvre, qui a été importé de Terre-Neuve et
qui s'est multiplié dans nos îles avec une
rapidité extraordinaire.
Les oiseaux de mer non comestibles sont
innombrables et les espèces terrestres sont
encore représentées par l'aigle, le hibou, le -
moineau. Les reptiles sont totalement absents
et les insectes: mouches, punaises, araignées,
fourmis, moustiques, papillons, peu nom-
breux.
Ajoutons qu'on a essayé autrefois d'accli-
mater dans les îles l'espèce de rennes appe-
lée Karibou, mais que cette tentative n'a
donné aucun résultat.
Les poissons d'eau douce
Les rivières et les étangs, assez nombreux,
n'offrent aux pêcheurs qu'un choix, à la vé-
rité assez restreint, de poissons : éperlans,
anguilles et truites, mais celles-ci, générale-
ment saumonnées, sont habituellement de si
belle taille qu'il est, la plupart du temps,
indispensable de ' les noyer pour éviter de
rompre les lignes.
Le climat
Le climat des îles Saint-Pierre et Mique-
lon est froid, humide, presque constamment
influencé par les vents.
Il n'est pourtant pas malsain, et l'indice
proportionnel de mortalité y est même moins
élevé que dans la Métropole.
Les plus grands frôids, les plus basses
températures, les tempêtes de neige sont
amenés par les vents du nord-ouest et de
l'est, tandis que les brumes apparaissent avec
les vents du sud-ouest et du sud.
: Les Annales Coloniales :
Vue générale de Saint-Pierre, prise de la rade.
banques sont : celle des Iles Saint-Pierre et
Miquelon, établie en 1899, à Saint-Pierre,
et « The Canadian Bank of Commerce »,
dans la même localité.
La population
La population dénombrée en 1926 s'élève
à 4. °30 habitants presque tous Français. Ce
chiffre croît dans une notable proportion au
moment des pêches.
La majorité des Français provien-
nent surtout de la Normandie, de la Bre- .
tagne et du pays basque.
Miquelon et l'île aux Chiens pratiquent
presque exclusivement la petite pêche. A la
saison, montés à deux sur des doris, les habi-
tants partent au matin, pêchent toute la
journée et rentrent le soir, après avoir laissé
au large des lignes tendues pour la nuit.
Les Saint-Pierrais, au contraire, préfè-
rent la grande pêche. D'avril à octobre, ils
se rendent sur le Grand Banc de Terre-
Neuve, sur des goélettes de 5° à 80 tonneaux,
dont l'équipage, de 15 à 20 hommes, est
placé sous les ordres d'un patron. Chaque
goélette est munie de plusieurs doris. Une
fois arrivés sur le banc; les hommes sont ré-
partis par deux ou trois sur ces frêles bar-
ques qui regagnent, le soir, la goélette où
le poisson est vidé et salé.
La vie de ces pêcheurs est d'autant plus
pénible qu'il leur est difficile de l'amélio-
rer. Point n'est besoin d'insister sur les con-
ditions mêmes de la pêche. L'on sait combien
elles sont rudes. Mais, en outre, le chômage
étant général de novembre à avril, c'est une
existence précaire que mênent les marins à
terre. Presque toujours, durant la période
de chômage, les commerçants leur avancent
les produits alimentaires ou autres nécessai-
res à leur subsistance. L'alcool, par malheur,
n'est pas omis, et il arrive trop générale-
ment que les Saint-Pierrais, au début de la
campagne, doivent plus qu'ils ne peuvent ga-
gner sur le banc, si fructueuse que soit la
pêche.
Il est malaisé d'instruire et d'éduquer la
population mâle. Jusqu'à douze ans, les jeu-
nes garçons vont à l'école et montrent doci-
lité et intelligence. Mais à treize ans au
plus tard, ils commencent l'apprentissage de
la, pêche et, il faut l'avouer, de l'alcool....
sous le regard et avec l'exemple de leurs
aînés. Leur cerveau, deux ou trois ans après,
semble s'obscurcir, et c'est une infime mino-
rité qui peut profiter d'un enseignement se-
condaire. L'essai a du reste été tenté sans
grand succès : la plupart des jeunes garçons
qui avaient été envoyés avec une bourse dans
ces lycées de France sont revenus sans ache-
ver leurs études, pris par la nostalgie de
leur rocher battu des tiots.
On ne saurait trop déplorer que la mère
n'ait pas assez d'autorité pour empêcher
l'enfant de prendre le goût de l'alcool.
Un éminent observateur, le Dr Alliot, mé-
decin des troupes coloniales, écrivait na-
guère : « Chez la femme (de Saint-Pierre),
t instruction est plus soignée et plus com-
plète. La jeune fille va à l'école jusqu'à
quinze, seize et même dix-sept ans. intelli-
gente, elle apprend avec beaucoup de faci-
lité; il est en France nombre de hllettes de
la bourgeoisie qui pourraient envier l'instruc-
tion de ces enfants de pêcheurs. Aussi cette
solide instruction primaire, cette négligence
des travaux pénibles, cette vie au-dedans fe-
ront-elles de la femme une compagne déli-
cate et supérieure à ce marin ignorant et si
souvent alcoolique. Cette supériorité et cette
délicatesse chez la femme se manifestent dans
tous les rapports sociaux ».
Quel regret n'éprouve-t-on pas à l'idée
de la bienfaisante influence que pourraient
exercer et que n'exercent pas ces femmes
sur leur entourage!
Il n'est pas chimérique, cependant, d'es-
pérer qu'un progrès social s'accomplira là-
bas. Lentement, l'exemple féminin peut por-
ter des fruits et, surtout, une diminution de
l'effort physique chez les hommes, pendant
la pêche, peut atténuer l'envie d'alcool, qui
est peut-être bien un besoin. (Jack London,
le profond romancier qui vécut longtemps de
métiers manuels, y compris les plus durs, a
montré de façon saisissante, dans l'un de
ses livres, comment l'excès de fatigue con-
duit presque inévitablement à l'usage habi-
tuei de l'alcool.) Aussi faut-il souhaiter que
l'emploi des engins mécaniques, déjà large-
ment commencé, soit poussé aux dernières
limites possibles.
Au demeurant, la population des îles est
composé de braves gens et de braves tout
court, fort attachés à la mère patrie, comme
en témoigne le monument élevé à Saint-
Pierre aux morts de la grande guerre.
Le sol
La formation géologique des îles Saint-
Pierre et Miquelon consiste presque unique-
ment en porphyre pétro-siliceux à pâte d'un
brun violâtre dont les fissures sont remplies
de quartz, généralement opaque, parfois lim-
pide, et, dans ce dernier cas, cristallisé. On
y rencontre surtout à Miquelon, des tour-
Vue générale de Saint-Pierre, prise de l'intérieur des terres.
bières qui ont fait l'objet d'une certaine
exploitation. Sur le territoire de la Petite-
Miquelon, on a découvert des schistes ardoi-
siers. Les ardoises, comparables à celles de
Fumay (Ardennes) sont rouges, violettes et
vertes. En 1874-75, des prospecteurs ont
trouvé à Miquelon des échantillons d'ocre
jaune. En 1867, on avait identifié dans la
même île des pyrites de fer et de cuivre.
A la vue de certaines parcelles brillantes,
on eut l'espoir d'avoir trouvé de l'or. Des
échantillons furent envoyés à l'Ecole des
Mines de Paris, qui conclut à l'absence
totale du précieux métal.
Par contre, le sous-sol renferme des mas-
ses de fer si importantes, qu'en plaçant, dans
certains endroits, une boussole à terre, l'ai-
guille aimantée s'affole et se met à décrire
des arcs de cercle désordonnés; des capitai-
nes de navires assurent même avoir constaté
certaines perturbations dans le fonctionne-
ment de leur compas en approchant du lit-
toral de Miquelon !
Des blocs erratiques, disséminés sur le
rivage, ont dû être apportés par des glaces
flottantes.
Le gibier
Quelques espèces sauvages peuvent con-
courir à l'alimentation des habitants,
Sans parler du gibier de mer et d'eau :
hirondelles de mer, canards sauvages, mau-
bêches, outardes, bécasses et bécassines, on
peut chasser, d'autre part, dans les plaines,
le courlieu, le merle, l'alouette, la grive, l'or-
tolan, le pluvier à collier, le pluvier doré et
surtout un volatile appelé Lagopède, ana-
logue à la perdrix, quoique plus gros, d'une
chair délicate, qui hiverne dans les fourrés
de Langlade et de Miquelon et présente
cette particularité surprenante d'être blanc
en hiver et gris en été.
Il existe également à Saint-Pierre et Mi-
quelon un lapin, ressemblant beaucoup au
lièvre, qui a été importé de Terre-Neuve et
qui s'est multiplié dans nos îles avec une
rapidité extraordinaire.
Les oiseaux de mer non comestibles sont
innombrables et les espèces terrestres sont
encore représentées par l'aigle, le hibou, le -
moineau. Les reptiles sont totalement absents
et les insectes: mouches, punaises, araignées,
fourmis, moustiques, papillons, peu nom-
breux.
Ajoutons qu'on a essayé autrefois d'accli-
mater dans les îles l'espèce de rennes appe-
lée Karibou, mais que cette tentative n'a
donné aucun résultat.
Les poissons d'eau douce
Les rivières et les étangs, assez nombreux,
n'offrent aux pêcheurs qu'un choix, à la vé-
rité assez restreint, de poissons : éperlans,
anguilles et truites, mais celles-ci, générale-
ment saumonnées, sont habituellement de si
belle taille qu'il est, la plupart du temps,
indispensable de ' les noyer pour éviter de
rompre les lignes.
Le climat
Le climat des îles Saint-Pierre et Mique-
lon est froid, humide, presque constamment
influencé par les vents.
Il n'est pourtant pas malsain, et l'indice
proportionnel de mortalité y est même moins
élevé que dans la Métropole.
Les plus grands frôids, les plus basses
températures, les tempêtes de neige sont
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