Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-07-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juillet 1929 01 juillet 1929
Description : 1929/07/01-1929/07/31. 1929/07/01-1929/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743132v
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Page 8
Les Annales Coloniales
DMrPRIESSDONS TU) [Ml S DE [MIME S
Après avoir visité, avec quelques détails,
les trois régions qui constituent notre empire
de l'Afrique du Nord : Le Maroc, l'Algé-
rie, la Tunisie, me voilà tenté de médire un
peu des géographes. Nos trois territoires ne
présentent pas entre eux une ressemblance
aussi grande que veulent bien le dire les au-
teurs de manuels de géographie pour les pe-
tits ou pour les grands. Chacun d'eux a
une physionomie particulière, des lignes ori-
ginales, une activité qui lui est propre, bref
un accent qui n'est pas celui du voisin.
C'est la constatation que je faisais, il v
a quelques semaines encore, en parcourant,
trop vite à mon gré, la grande plaine orien-
tale de Tunisie, depuis Tunis jusqu'à Gabès.
Ce qui m'a frappé surtout, c'est de voir
combien ce pays est fortement marqué par
notre civilisation. Pourtant, l'occupation
française ne date pas encore de cinquante
ans, et pourtant il faut faire un véritable
effort pour s'en souvenir quand on voit les
transformations opérées dans le pays pen-
dant cette courte période.
A Tunis, la ville européenne, aux larges
avenues bordées d'édifices solidement bâtis
et cossus d'apparence, couvre un vaste
espace qui, lors de l'arrivée des Français,
n'était qu'un marécage salé en bordure du
lac. Déjà la banlieue immédiate avec ses
jardins maraîchers, ses vergers et ses mai-
sons blanches disséminées dans la verdure.
rappelle, par plus d'un trait. les environs de
Marseille, de Toulon ou de Nice.
Les grandes exploitations agricoles qui
entourent Enfidaville, montrent à perte de
vue de magnifiques vignobles et des champs
de blé travaillés avec un outillage perfec-
tionné qu'envieraient nos grandes fermes de
F rance.
Plus au sud, la forêt d'oliviers de Sfax
qui déploie sur 200.000 hectares les lignes
rigides de ses beaux arbres, plantés à 30 mè-
tres les uns des autres, me semble le vrai
svmbole de l'effort français en Tunisie. A sa
place, il y a cinquante ans, on ne vovait que
des steppes nues, parcourues par des pas-
teurs nomades qui poussaient devant eux
leurs troupeaux de moutons à grosse queue.
Les plantations, tentées avec succès par des
colons français pleins d'initiative, s'étendi-
rent peu à peu, donnant une valeur inesti-
mable à des terres ladis stériles. Cette riche
forêt est, en même temps. une des merveilles
de la beauté tunisienne. Il faut la voir des
hauteurs de Toual-el-Cheridi où se dresse
un blanc belvédère pareil à un minaret.
Aussi loin que s'étend l'horizon, iusnu'à la
ligne bleue de la mer à l'est, s'étend l'Oli-
vette dont les arbres séparés par des bandes
de terre rouge travaillées soigneusement des-
sinent des géométries impeccables. La ver-
dure sombre paraît, à première vue, mono-
tone. mais qu'un souffle de brise passe sur
les oliviers aeritant leurs feuilles, et la forêt
prend une teinte argentée qui lui donne un
aspect presque irréel.
Malgré des conditions naturelles favora-
bles. il y a encore beaucoup à faire pour
mettre en valeur les magnifiques plaines du
Sahel. Leur sol de loëss ne demande, pour
produire des récoltes merveilleuses, oue de
l'eau, de la main-d'œuvre et des capitaux.
Autant de problèmes difficiles à résoudre
mais nl1i seront très près d'être tranchés le
jour où les Français connaîtront mieux nos
magnifiques possessions de l'Afrique du
Nord et s'v intéresseront davantage.
La Tunisie possède également des riches-
ses minières appréciables: j'ai eu le regret,
dans ma course trop rapide, de ne pas voir
les gisements de phosphates qui abondent
autour de Tebessa et de Gafsa. Je ne les
connais que par leurs produits entassés sur
les quais de Sfax, où ils sont amenés par un
chemin de fer spécial pour être embarqués à
destination de tous les pays d'Europe. L'ou-
tillage du port, qui permet, comme nous
l'avons constaté nous-mêmes, de procéder
automatiquement au chargement des navires,
est d'une perfection remarquable que pour-
rait envier plus d'un grand port de la mé-
tropole.
Je n'ai pas la prétention d'énumérer ici
toutes les richesses de la Tunisie, mais il en
est une particulièrement intéressante : le tou-
risme qui se développe davantage chaque
année.
La Tunisie, à trente-six heures de la
France, offre aux hivernants un climat d'une
douceur idéale, un exotisme d'une qualité
rare, des villes et des monuments dont l'ima-
ge ne s'efface plus. Il est impossible de
songer à décrire tant de splendeurs diverses,
Sfax. — La forêt d'oliviers.
mais chacun peut trouver, là-bas, ce qu'il
préfère. Les amateurs d'exotisme découvrent
dans les souks de Tunisie de quoi satisfaire
leur goût particulier. Ces souks, compara-
bles, dit-on, à ceux du Caire, présentent le
spectacle le plus pittoresque : souk des vê-
tements tout chatoyants d'étoffes aux cou-
leurs vives relevées encore par des broderies
d'or et d'argent ; souk des orfèvres, tout
bourdonnant du battement des marteaux
frappant les métaux précieux; souk des cuirs,
paré somptueusement de larges pièces de ma-
roquin couleur safran ou rouge vif ; souk
des tapis qui déferlent dans la rue en mon-
ceaux bariolés de toutes les teintes du brun
et du blanc; souk des parfums d'où s'exhale
l'odeur entêtante de la rose et du jasmin. Et
partout, grouillante et pourtant silencieuse,
la foule oriental?, femmes mystérieuses et
voilées, dont on ne voit que les yeux de jai
brillant, hommes superbement drapés dans
des burnous semblables aux toges romaines,
gamins aux guenilles pittoresques. Les visi-
teurs qu'intéresse l'histoire trouvent ici une
matière abondante pour l'étude ou la médi-
tation. Toutes les civilisations ont laissé en
Tunisie leurs traces qui se superposent ou
se mêlent.
La colline de Byrsa rappelle le souvenir
de Carthage dont les monuments couvraient
ses pentes. Il n'en reste plus que quelques
pierres et, dans le musée des Pères Blancs,
des inscriptions, des objets familiers, des
tombeaux, des statues funéraires.
Rome a laissé, en mémoire de sept siècles
de domination, des monuments impérissables
qui dressent leur silhouette altière au milieu
des espaces vides : ruines de Dougga, de Za-
ghouan, et peut-être, plus impressionnantes
que toutes les autres, celles du colisée d'El-
Djem, qui rivalisait en grandeur avec celui
de Rome; il s'élève dans la steppe déserte
qui s'étend, immense, au sud-ouest de Sous-
se. On l'aperçoit à 30 kilomètres, dominant
l'horizon comme une forme gigantesque vers
laquelle tend le ruban clair d'une route toute
droite. Quand on est tout près, on se sent
accablé par cette masse de pierre que le so-
leil du sud a roussi pendant des siècles. Le
temps n'a pas eu raison de ses arcades ni de
ses voûtes puissantes; il a fallu le vanda-
lisme des hommes pour ouvrir dans ses flancs
la largé déchirure qu'on y voit aujourd'hui.
On a peine à s'imaginer, tant la solitude est
grande, que sur ses gradins se pressaient
plus de 50.000 spectateurs, tout un peuple.
De la ville qui l'entourait il n'y a plus trace;
seul, un village arabe, tapi au pied de la mu-
raille, montre quelques maisons blanches.
Veut-on une image de l'Orient? Il suffit
d'aller vers le sud comme nous-mêmes et, de
distance en distance, on voit s'élever sur
des promontoires dominant la mer des villes
blanches ceintes de murailles crénelées :
Sousse, Madhia, Monastir, Sfax. A l'inté-
rieur, Kairouan surveille toute une steppe
désolée où miroitent des 0 sedkas salées »;
cette ville mériterait qu'on fasse le voyage
pour elle seule, ne serait-ce que pour visi-
ter ses mosquées qui, par exception, sont ou-
vertes aux Européens, mosquée du Barbier,
avec une délicieuse cour intérieure dont les
galeries sont parées de céramiques ancien-
nes, mosquée des Sabres, Grande Mosquée
avec des centaines de colonnes empruntées
à des temples antiques. Nous visitâmes Kai-
rouan au moment où s'y tenait la foire des
tapis qui sont fabriqués par les femmes du
pays dans les humbles gourbis avoisinant la
ville. Une foule énorme de visiteurs et d'ache-
teurs venus de tous les points de l'Europe
se pressait dans la salle trop étroite où les
marchands exposaient des montagnes de ta-
pis roulés, déployés, ou accrochés aux mu-
railles. Nous eûmes là un des spectacles les
plus intéressants de notre voyage.
Parlerai-je des oasis du sud que nous
avons visitées, de Gabès qui, à quelques cen-
Les Annales Coloniales
DMrPRIESSDONS TU) [Ml S DE [MIME S
Après avoir visité, avec quelques détails,
les trois régions qui constituent notre empire
de l'Afrique du Nord : Le Maroc, l'Algé-
rie, la Tunisie, me voilà tenté de médire un
peu des géographes. Nos trois territoires ne
présentent pas entre eux une ressemblance
aussi grande que veulent bien le dire les au-
teurs de manuels de géographie pour les pe-
tits ou pour les grands. Chacun d'eux a
une physionomie particulière, des lignes ori-
ginales, une activité qui lui est propre, bref
un accent qui n'est pas celui du voisin.
C'est la constatation que je faisais, il v
a quelques semaines encore, en parcourant,
trop vite à mon gré, la grande plaine orien-
tale de Tunisie, depuis Tunis jusqu'à Gabès.
Ce qui m'a frappé surtout, c'est de voir
combien ce pays est fortement marqué par
notre civilisation. Pourtant, l'occupation
française ne date pas encore de cinquante
ans, et pourtant il faut faire un véritable
effort pour s'en souvenir quand on voit les
transformations opérées dans le pays pen-
dant cette courte période.
A Tunis, la ville européenne, aux larges
avenues bordées d'édifices solidement bâtis
et cossus d'apparence, couvre un vaste
espace qui, lors de l'arrivée des Français,
n'était qu'un marécage salé en bordure du
lac. Déjà la banlieue immédiate avec ses
jardins maraîchers, ses vergers et ses mai-
sons blanches disséminées dans la verdure.
rappelle, par plus d'un trait. les environs de
Marseille, de Toulon ou de Nice.
Les grandes exploitations agricoles qui
entourent Enfidaville, montrent à perte de
vue de magnifiques vignobles et des champs
de blé travaillés avec un outillage perfec-
tionné qu'envieraient nos grandes fermes de
F rance.
Plus au sud, la forêt d'oliviers de Sfax
qui déploie sur 200.000 hectares les lignes
rigides de ses beaux arbres, plantés à 30 mè-
tres les uns des autres, me semble le vrai
svmbole de l'effort français en Tunisie. A sa
place, il y a cinquante ans, on ne vovait que
des steppes nues, parcourues par des pas-
teurs nomades qui poussaient devant eux
leurs troupeaux de moutons à grosse queue.
Les plantations, tentées avec succès par des
colons français pleins d'initiative, s'étendi-
rent peu à peu, donnant une valeur inesti-
mable à des terres ladis stériles. Cette riche
forêt est, en même temps. une des merveilles
de la beauté tunisienne. Il faut la voir des
hauteurs de Toual-el-Cheridi où se dresse
un blanc belvédère pareil à un minaret.
Aussi loin que s'étend l'horizon, iusnu'à la
ligne bleue de la mer à l'est, s'étend l'Oli-
vette dont les arbres séparés par des bandes
de terre rouge travaillées soigneusement des-
sinent des géométries impeccables. La ver-
dure sombre paraît, à première vue, mono-
tone. mais qu'un souffle de brise passe sur
les oliviers aeritant leurs feuilles, et la forêt
prend une teinte argentée qui lui donne un
aspect presque irréel.
Malgré des conditions naturelles favora-
bles. il y a encore beaucoup à faire pour
mettre en valeur les magnifiques plaines du
Sahel. Leur sol de loëss ne demande, pour
produire des récoltes merveilleuses, oue de
l'eau, de la main-d'œuvre et des capitaux.
Autant de problèmes difficiles à résoudre
mais nl1i seront très près d'être tranchés le
jour où les Français connaîtront mieux nos
magnifiques possessions de l'Afrique du
Nord et s'v intéresseront davantage.
La Tunisie possède également des riches-
ses minières appréciables: j'ai eu le regret,
dans ma course trop rapide, de ne pas voir
les gisements de phosphates qui abondent
autour de Tebessa et de Gafsa. Je ne les
connais que par leurs produits entassés sur
les quais de Sfax, où ils sont amenés par un
chemin de fer spécial pour être embarqués à
destination de tous les pays d'Europe. L'ou-
tillage du port, qui permet, comme nous
l'avons constaté nous-mêmes, de procéder
automatiquement au chargement des navires,
est d'une perfection remarquable que pour-
rait envier plus d'un grand port de la mé-
tropole.
Je n'ai pas la prétention d'énumérer ici
toutes les richesses de la Tunisie, mais il en
est une particulièrement intéressante : le tou-
risme qui se développe davantage chaque
année.
La Tunisie, à trente-six heures de la
France, offre aux hivernants un climat d'une
douceur idéale, un exotisme d'une qualité
rare, des villes et des monuments dont l'ima-
ge ne s'efface plus. Il est impossible de
songer à décrire tant de splendeurs diverses,
Sfax. — La forêt d'oliviers.
mais chacun peut trouver, là-bas, ce qu'il
préfère. Les amateurs d'exotisme découvrent
dans les souks de Tunisie de quoi satisfaire
leur goût particulier. Ces souks, compara-
bles, dit-on, à ceux du Caire, présentent le
spectacle le plus pittoresque : souk des vê-
tements tout chatoyants d'étoffes aux cou-
leurs vives relevées encore par des broderies
d'or et d'argent ; souk des orfèvres, tout
bourdonnant du battement des marteaux
frappant les métaux précieux; souk des cuirs,
paré somptueusement de larges pièces de ma-
roquin couleur safran ou rouge vif ; souk
des tapis qui déferlent dans la rue en mon-
ceaux bariolés de toutes les teintes du brun
et du blanc; souk des parfums d'où s'exhale
l'odeur entêtante de la rose et du jasmin. Et
partout, grouillante et pourtant silencieuse,
la foule oriental?, femmes mystérieuses et
voilées, dont on ne voit que les yeux de jai
brillant, hommes superbement drapés dans
des burnous semblables aux toges romaines,
gamins aux guenilles pittoresques. Les visi-
teurs qu'intéresse l'histoire trouvent ici une
matière abondante pour l'étude ou la médi-
tation. Toutes les civilisations ont laissé en
Tunisie leurs traces qui se superposent ou
se mêlent.
La colline de Byrsa rappelle le souvenir
de Carthage dont les monuments couvraient
ses pentes. Il n'en reste plus que quelques
pierres et, dans le musée des Pères Blancs,
des inscriptions, des objets familiers, des
tombeaux, des statues funéraires.
Rome a laissé, en mémoire de sept siècles
de domination, des monuments impérissables
qui dressent leur silhouette altière au milieu
des espaces vides : ruines de Dougga, de Za-
ghouan, et peut-être, plus impressionnantes
que toutes les autres, celles du colisée d'El-
Djem, qui rivalisait en grandeur avec celui
de Rome; il s'élève dans la steppe déserte
qui s'étend, immense, au sud-ouest de Sous-
se. On l'aperçoit à 30 kilomètres, dominant
l'horizon comme une forme gigantesque vers
laquelle tend le ruban clair d'une route toute
droite. Quand on est tout près, on se sent
accablé par cette masse de pierre que le so-
leil du sud a roussi pendant des siècles. Le
temps n'a pas eu raison de ses arcades ni de
ses voûtes puissantes; il a fallu le vanda-
lisme des hommes pour ouvrir dans ses flancs
la largé déchirure qu'on y voit aujourd'hui.
On a peine à s'imaginer, tant la solitude est
grande, que sur ses gradins se pressaient
plus de 50.000 spectateurs, tout un peuple.
De la ville qui l'entourait il n'y a plus trace;
seul, un village arabe, tapi au pied de la mu-
raille, montre quelques maisons blanches.
Veut-on une image de l'Orient? Il suffit
d'aller vers le sud comme nous-mêmes et, de
distance en distance, on voit s'élever sur
des promontoires dominant la mer des villes
blanches ceintes de murailles crénelées :
Sousse, Madhia, Monastir, Sfax. A l'inté-
rieur, Kairouan surveille toute une steppe
désolée où miroitent des 0 sedkas salées »;
cette ville mériterait qu'on fasse le voyage
pour elle seule, ne serait-ce que pour visi-
ter ses mosquées qui, par exception, sont ou-
vertes aux Européens, mosquée du Barbier,
avec une délicieuse cour intérieure dont les
galeries sont parées de céramiques ancien-
nes, mosquée des Sabres, Grande Mosquée
avec des centaines de colonnes empruntées
à des temples antiques. Nous visitâmes Kai-
rouan au moment où s'y tenait la foire des
tapis qui sont fabriqués par les femmes du
pays dans les humbles gourbis avoisinant la
ville. Une foule énorme de visiteurs et d'ache-
teurs venus de tous les points de l'Europe
se pressait dans la salle trop étroite où les
marchands exposaient des montagnes de ta-
pis roulés, déployés, ou accrochés aux mu-
railles. Nous eûmes là un des spectacles les
plus intéressants de notre voyage.
Parlerai-je des oasis du sud que nous
avons visitées, de Gabès qui, à quelques cen-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.48%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.48%.
- Auteurs similaires Ruedel Marcel Ruedel Marcel /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Ruedel Marcel" or dc.contributor adj "Ruedel Marcel")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 10/28
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9743132v/f10.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9743132v/f10.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9743132v/f10.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9743132v
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9743132v
Facebook
Twitter