Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-09-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 septembre 1929 01 septembre 1929
Description : 1929/09/01-1929/09/30. 1929/09/01-1929/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97431301
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Les Annales Coloniales
Pane 9
IL A ©iMPiiL©ypi TOURUSTUGUE
Esquisse historique
et géographique
La Guadeloupe, véritable émeraude an-
tillaise, fut découverte le 2 novembre
1493 par Christophe Colomb, à son se-
cond voyage. Elle se divise en deux mas-
ses insulaires bien distinctes par leur confi-
guration et par leur constitution géologique,
séparées par un bras de mer, appelé Rivière
Salée, à cause de ses apparences, se diri-
geant du Nord au Sud, long de six milles
environ et large de trente mètres, pouvant
atteindre même, à certains endroits, une lar-
geur de cent vingt mètres. C'est au fond
du cul-de-saç que forme son embouchure
sud que se trouve la ville de la
Pointe-à-Pitre dont le port, à
l'abri des vents du large et des
raz-de-marée, grâce à la multitude
d'îlots qui l'entourent et le protè-
gent, est assez vaste et assez pro-
tond pour contenir, en toute sécu-
rité, pendant la mauvaise saison,
un grand nombre de vaisseaux du
plus fort tonnage. L'une de ces
îles, montagneuse, de nature vol-
canique, occidentale par rapport à
ce détroit, canal naturel, coupant
l'isthme qui, selon toute probabi-
lité, devait les unir anciennement,
s'appelle Guadeloupe proprement
dite ou, d'une façon bien impro-
pre, Basse-Terre. L'autre, plate,
de formation calcaire, orientale,
porte le nom de Grande-Terre.
Elles sont reliées par un pont
tournant ayant remplacé le bac qui
servait au passage de l'une à
l'autre.
La Basse-Terre
Le voyageur qui arrive de la
haute mer en rade de la Basse-
Terre, capitale de la Colonie,
siège du Gouvernement, est saisi
d'admiration à la vue du tableau
ravissant que lui offre le panorama
de paysages parés des atours de la
végétation luxuriante des tropi-
ques.
La ville, bâtie en amphithéâtre,
d'un aspect des plus pittoresques,
semble vouloir, sauf la ligne de
constructions s allongeant le long
du rivage, dissimuler aux regards,
sous le feuillage de leurs jardi-
nets, ses maisons capricieusement
construites et s'élevant d'étage en
étage, sur les mornes environ-
nants, masqués sous un tapis de
verdure se déployant jusqu'au
pied môme de la soufrière.
Il y existe quatre promenades :
I ° Le Cours Nolivos, ombragé
par de frais tamariniers, dont
quelques-uns sont séculaires, mal-
gré les violentes attaques des cyclones, en-
cadré par l'Hôtel de Ville, petit édifice de
bonne mine, un pâté de maisons en pierre de
taille à double étage et la grande Bleue sur
laquelle s'avance un Warf agréable et com-
mode, tout en fer.
20 Un square de nouvelle création, aux
frais ombrages, dans le grand Parc de la
résidence antique des premiers Gouverneurs
ou Hauts Commissaires.
30 Le Champ d'Arbaud, aux allées, magni-
fiques de palmistes géants, de manguiers, de
poiriers et de mahoganys, transformé par-
fois en hippodrome et où se clôture la fête
nationale, le. quatorze juillet, par de bril-
lants feux d'artifice.
4° Le Jardin botanique, dit jardin public.
offrant à ses visiteurs le spectacle reposant
de ses fleurs .variées, renfermant un coquet
hôtel, résidence du Secrétaire général du
Gouvernement.
Tantôt sur l'une, tantôt sur l'autre de
ces prpnjtenades, principalement dans le
kiosqué polygonal du jardin botanique, se.
fait entendre, de temps à autre, une fanfare,
Il La Lyre Guadeloupéenne » ou « L'Etoile
Mandoliniste, dite aussi l'Estudiantina »,
orchestre formé uniquement d'instruments
à cordes ou de la musiqua des navires ami-
raux de passage sur la rade.
Il s'y trouve deux églises et, par suite,
deux paroisses . la cathédrale formant la
paroisse de Notre-Dame de Guadeloupe ou
de Saint-François et celle du Mont-CarmeL
Le voyageur pourra descendre dans des
pensions de famille ou dans l'un des hôtels
qui, sans être de premier ordre, peuvent
lui donner, en attendant son installation
Saint-Claude. — La cascade Vauchelet. (CI. Boisel.)
dans l'une des localités d'altitude, grâce à
une certaine facilité de l'existence, un con-
fort dont la simplicité reste tributaire du
bon goût et conforme aux règles de
l'hygiène.
Le grand nombre de rivières et de sources
qui affluent aux alentours de la ville a per-
mis de faire une large distribution d'eau po-
table dans les maisons. Aussi, exceptionnel-
les sont celles qui n'ont pas une chambre à
bains et un bassin à l'eau courante pour les
besoins du ménage.
L'eau de Malanga, surtout, est limpide,
légère, fraîche et agréable à boire; mais il
est préférable d'user pour la table de l'eau
de pluie filtrée, car, dans l'hivernage, sai-
son pluvieuse, l'eau de fontaine est polluée
dans son parcours de mille impuretés.
Le marché couvert est- enjolivé et rafraî-
chi par une fontaine artistique surmontée
de trois gracieuses statues. Bien approvi-
sionné en vivres, il offre à bon compte et
en abondance des oeufs et du lait excellent,
mais il est toujours préférable de s'en pro-
curer chez des foui nisseurs dignes de con-
fiance. La viande de boucherie, avant la
guerre, au prix de o fr. 90 centimes la livre,
aujourd'hui avec la cherté de vie toujours
croissante, de 2 fr. 50 à 3 fr., est en général
de bonne qualité, car les bœufs acceptés à
la tuerie, soumis à l'inspection d'un vétéri-
naire, viennent, presque tous, de l'île de
Porto-Rico, si justement réputée pour l'éle-
vage des bestiaux.
Le mouton se vend au même prix.
Le prix des dindes variant autrefois de 6 à
10 francs, la volaille, en général, qui reve-
nait à peu près à un franc la livre, de beaux
et succulents poissons de toutes
les tailles dont le kilo ne dépas-
sait pas, en dehors des temps de
grosse mer. 1 fr. 10, tous ces prix
ont subi une hausse en rapport
avec la valeur actuelle de notre
monnaie.
Le marché offre encore des tor-
tues, des langoustes, de magnifi-
ques écrevisses, des crabes de terre
et de mer, des coquillages de tou-
tes sortes, depuis le lambi gigan-
tesque jusqu'aux clovisses minus-
cules, sans omettre les huîtres et
les palourdes. La morue qui est
ici, on peut dire, la viande de l'in-
digent, est toujours fort belle et
fort bonne et se vend au prix du
poisson frais. A côté des produits
coloniaux si variés (bananes, igna-
mes, patates, concombres, choux
de palmistes, avocats, etc.) figu-
rent quelques-uns des légumes et
fruits d'Europe ; les uns depuis
longtemps acclimatés, tels que les
aubergines, les grosses et les peti-
tes tomates, les concombres gros et
petits, les les citrouilles, les choux,
es laitues, les melons, etc., etc.,
les auties, cultivés spécialement,
étant plus résistants à l'acclimata-
tion, sur les hauteurs qui dominent
la ville, tels que la pomme de
terre, les petits pois, les haricots
rouges et blancs, les asperges, les
artichauts, les fraises, les pêches.
Cette dernière culture prendrait
certainement plus d'extension s'il
y avait, par le fait du séjour des
étrangers, un écoulement plus con-
sidérable et mieux assuré.
Un pensionnat de jeunes filles
est tenu par la Congrégation des
Sœurs de Saint-Joseph de Cluny et
une institution libre conduit les
élèves jusqu'à l'obtention des bre-
vets élémentaire et supérieur.
Les lycées, établissements d'ins-
truction secondaire pour les gar-
çons et les filles, sont à la Pointe-
à-Pitre.
Il y a en outre :
Des écoles primaires publiques
et libres ;
Deux stations télégraphiques, l'une an-
glaise, l'autre française, reliant la colonie
avec les deux continents et les îles voisines ;
Une ligne télégraphique entre la Basse-
Terre et la Pointe-à-Pitre;
Le téléphone qui met le chef-lieu en rela-
tions avec toutes les localités de l'île ;
Des services postaux, réguliers et quoti-
diens de transports de voyageurs en com-
mun par auto-chars entre Basse-Terre,
Pointe-à-Pitre et le Camp Jacob. La voiture
qui va de Basse-Terre à la Pointe-à-Pitre et
réciproquement, fait arrêt dans chaque loca-
lité du trajet. Le prix des places est par
voyageur de 25 francs pour l'aller ou le
retour et de 50 fr. pour l'aller et retour.
Les départs de Basse-Terre et de Pointe-
à-Pitre ont lieu, dans chacune de ces villes,
tous les jours, à 6 heures, avec retour à
0 heures et à 15 heures avec retour à 18
heures.
Le service postal pour le Camp Jacob est
Pane 9
IL A ©iMPiiL©ypi TOURUSTUGUE
Esquisse historique
et géographique
La Guadeloupe, véritable émeraude an-
tillaise, fut découverte le 2 novembre
1493 par Christophe Colomb, à son se-
cond voyage. Elle se divise en deux mas-
ses insulaires bien distinctes par leur confi-
guration et par leur constitution géologique,
séparées par un bras de mer, appelé Rivière
Salée, à cause de ses apparences, se diri-
geant du Nord au Sud, long de six milles
environ et large de trente mètres, pouvant
atteindre même, à certains endroits, une lar-
geur de cent vingt mètres. C'est au fond
du cul-de-saç que forme son embouchure
sud que se trouve la ville de la
Pointe-à-Pitre dont le port, à
l'abri des vents du large et des
raz-de-marée, grâce à la multitude
d'îlots qui l'entourent et le protè-
gent, est assez vaste et assez pro-
tond pour contenir, en toute sécu-
rité, pendant la mauvaise saison,
un grand nombre de vaisseaux du
plus fort tonnage. L'une de ces
îles, montagneuse, de nature vol-
canique, occidentale par rapport à
ce détroit, canal naturel, coupant
l'isthme qui, selon toute probabi-
lité, devait les unir anciennement,
s'appelle Guadeloupe proprement
dite ou, d'une façon bien impro-
pre, Basse-Terre. L'autre, plate,
de formation calcaire, orientale,
porte le nom de Grande-Terre.
Elles sont reliées par un pont
tournant ayant remplacé le bac qui
servait au passage de l'une à
l'autre.
La Basse-Terre
Le voyageur qui arrive de la
haute mer en rade de la Basse-
Terre, capitale de la Colonie,
siège du Gouvernement, est saisi
d'admiration à la vue du tableau
ravissant que lui offre le panorama
de paysages parés des atours de la
végétation luxuriante des tropi-
ques.
La ville, bâtie en amphithéâtre,
d'un aspect des plus pittoresques,
semble vouloir, sauf la ligne de
constructions s allongeant le long
du rivage, dissimuler aux regards,
sous le feuillage de leurs jardi-
nets, ses maisons capricieusement
construites et s'élevant d'étage en
étage, sur les mornes environ-
nants, masqués sous un tapis de
verdure se déployant jusqu'au
pied môme de la soufrière.
Il y existe quatre promenades :
I ° Le Cours Nolivos, ombragé
par de frais tamariniers, dont
quelques-uns sont séculaires, mal-
gré les violentes attaques des cyclones, en-
cadré par l'Hôtel de Ville, petit édifice de
bonne mine, un pâté de maisons en pierre de
taille à double étage et la grande Bleue sur
laquelle s'avance un Warf agréable et com-
mode, tout en fer.
20 Un square de nouvelle création, aux
frais ombrages, dans le grand Parc de la
résidence antique des premiers Gouverneurs
ou Hauts Commissaires.
30 Le Champ d'Arbaud, aux allées, magni-
fiques de palmistes géants, de manguiers, de
poiriers et de mahoganys, transformé par-
fois en hippodrome et où se clôture la fête
nationale, le. quatorze juillet, par de bril-
lants feux d'artifice.
4° Le Jardin botanique, dit jardin public.
offrant à ses visiteurs le spectacle reposant
de ses fleurs .variées, renfermant un coquet
hôtel, résidence du Secrétaire général du
Gouvernement.
Tantôt sur l'une, tantôt sur l'autre de
ces prpnjtenades, principalement dans le
kiosqué polygonal du jardin botanique, se.
fait entendre, de temps à autre, une fanfare,
Il La Lyre Guadeloupéenne » ou « L'Etoile
Mandoliniste, dite aussi l'Estudiantina »,
orchestre formé uniquement d'instruments
à cordes ou de la musiqua des navires ami-
raux de passage sur la rade.
Il s'y trouve deux églises et, par suite,
deux paroisses . la cathédrale formant la
paroisse de Notre-Dame de Guadeloupe ou
de Saint-François et celle du Mont-CarmeL
Le voyageur pourra descendre dans des
pensions de famille ou dans l'un des hôtels
qui, sans être de premier ordre, peuvent
lui donner, en attendant son installation
Saint-Claude. — La cascade Vauchelet. (CI. Boisel.)
dans l'une des localités d'altitude, grâce à
une certaine facilité de l'existence, un con-
fort dont la simplicité reste tributaire du
bon goût et conforme aux règles de
l'hygiène.
Le grand nombre de rivières et de sources
qui affluent aux alentours de la ville a per-
mis de faire une large distribution d'eau po-
table dans les maisons. Aussi, exceptionnel-
les sont celles qui n'ont pas une chambre à
bains et un bassin à l'eau courante pour les
besoins du ménage.
L'eau de Malanga, surtout, est limpide,
légère, fraîche et agréable à boire; mais il
est préférable d'user pour la table de l'eau
de pluie filtrée, car, dans l'hivernage, sai-
son pluvieuse, l'eau de fontaine est polluée
dans son parcours de mille impuretés.
Le marché couvert est- enjolivé et rafraî-
chi par une fontaine artistique surmontée
de trois gracieuses statues. Bien approvi-
sionné en vivres, il offre à bon compte et
en abondance des oeufs et du lait excellent,
mais il est toujours préférable de s'en pro-
curer chez des foui nisseurs dignes de con-
fiance. La viande de boucherie, avant la
guerre, au prix de o fr. 90 centimes la livre,
aujourd'hui avec la cherté de vie toujours
croissante, de 2 fr. 50 à 3 fr., est en général
de bonne qualité, car les bœufs acceptés à
la tuerie, soumis à l'inspection d'un vétéri-
naire, viennent, presque tous, de l'île de
Porto-Rico, si justement réputée pour l'éle-
vage des bestiaux.
Le mouton se vend au même prix.
Le prix des dindes variant autrefois de 6 à
10 francs, la volaille, en général, qui reve-
nait à peu près à un franc la livre, de beaux
et succulents poissons de toutes
les tailles dont le kilo ne dépas-
sait pas, en dehors des temps de
grosse mer. 1 fr. 10, tous ces prix
ont subi une hausse en rapport
avec la valeur actuelle de notre
monnaie.
Le marché offre encore des tor-
tues, des langoustes, de magnifi-
ques écrevisses, des crabes de terre
et de mer, des coquillages de tou-
tes sortes, depuis le lambi gigan-
tesque jusqu'aux clovisses minus-
cules, sans omettre les huîtres et
les palourdes. La morue qui est
ici, on peut dire, la viande de l'in-
digent, est toujours fort belle et
fort bonne et se vend au prix du
poisson frais. A côté des produits
coloniaux si variés (bananes, igna-
mes, patates, concombres, choux
de palmistes, avocats, etc.) figu-
rent quelques-uns des légumes et
fruits d'Europe ; les uns depuis
longtemps acclimatés, tels que les
aubergines, les grosses et les peti-
tes tomates, les concombres gros et
petits, les les citrouilles, les choux,
es laitues, les melons, etc., etc.,
les auties, cultivés spécialement,
étant plus résistants à l'acclimata-
tion, sur les hauteurs qui dominent
la ville, tels que la pomme de
terre, les petits pois, les haricots
rouges et blancs, les asperges, les
artichauts, les fraises, les pêches.
Cette dernière culture prendrait
certainement plus d'extension s'il
y avait, par le fait du séjour des
étrangers, un écoulement plus con-
sidérable et mieux assuré.
Un pensionnat de jeunes filles
est tenu par la Congrégation des
Sœurs de Saint-Joseph de Cluny et
une institution libre conduit les
élèves jusqu'à l'obtention des bre-
vets élémentaire et supérieur.
Les lycées, établissements d'ins-
truction secondaire pour les gar-
çons et les filles, sont à la Pointe-
à-Pitre.
Il y a en outre :
Des écoles primaires publiques
et libres ;
Deux stations télégraphiques, l'une an-
glaise, l'autre française, reliant la colonie
avec les deux continents et les îles voisines ;
Une ligne télégraphique entre la Basse-
Terre et la Pointe-à-Pitre;
Le téléphone qui met le chef-lieu en rela-
tions avec toutes les localités de l'île ;
Des services postaux, réguliers et quoti-
diens de transports de voyageurs en com-
mun par auto-chars entre Basse-Terre,
Pointe-à-Pitre et le Camp Jacob. La voiture
qui va de Basse-Terre à la Pointe-à-Pitre et
réciproquement, fait arrêt dans chaque loca-
lité du trajet. Le prix des places est par
voyageur de 25 francs pour l'aller ou le
retour et de 50 fr. pour l'aller et retour.
Les départs de Basse-Terre et de Pointe-
à-Pitre ont lieu, dans chacune de ces villes,
tous les jours, à 6 heures, avec retour à
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