Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-09-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 septembre 1929 01 septembre 1929
Description : 1929/09/01-1929/09/30. 1929/09/01-1929/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97431301
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Les Annales Coloniales
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de trois jours et une nuit de traversée, ce qui
est un avantage, car, à partir de ce moment,
il se trouverait dans une zone très tempérée et
même fraîche. Au contraire, en partant de la
Colombie ou de la Jamaïque, le même bateau
naviguera pendant 8 à 10 jours dans la zone
torride de la mer des Antilles.
La Guadeloupe est, à proprement parler,
un archipel. Les deux principales îles présen-
tent une dissemblance totale. A la Grande
Terre, les hauteurs ne dépassent pas 150 m.,
l'eau fait défaut en maints endroits, et le ter-
rain n'est, à notre avis, exploitable que pour
la canne à sucre, le coton, et en général les
cultures pour climat très sec, sauf dans les cou-
lées appelées Grands-Fonds, où la culture de
la banane serait possible après achèvement d'un
programme commun d'irrigations.
L'autre île, au contraire, qui a la forme
d'une ellipse, est de formation volcanique, très
montagneuse : les sommets sont d'une altitude
de 1.000 à 1.200 mètres. Cette partie de
l'archipel, plus spécialement dénommée Gua-
deloupe, est couverte en presque totalité de
forêts où les terrains, d'une grande fertilité,
n'ont jamais été exploités en aucune façon.
Climat
Chaleur tempérée et humide. Les maxima
moyens ne dépassent pas 35°, et les minima
oscillent entre 20 et 22°. Ces données ne sont
que des moyennes générales et changent sen-
siblement avec l'altitude.
Le climat est tempéré par deux brises régu-
lières également chargées d'humidité : celle
de la mer qui souffle depuis le lever jusqu'au
coucher du soleil, et celle de la terre qui
commence à souffler au coucher du soleil et
dure toute la nuit.
Deux saisons partagent l'année : l'une plus
fraîche et relativement plus sèche, de décem-
bre à mai ; l'autre, plus chaude et plus hu-
mide, de juin à novembre, époque où il pleut
très abondamment. Ces deux saisons ne sont
pas extrêmement sensibles, et on enregistre
seulement une différence de quelques degrés.
Le régime des vents est en général régu-
lier. La Guadeloupe est placée dans le cou-
rant des alizés, allant de l'est à l 'ouest. L île
étant elle-même orientée du sud au nord et la
chaîne de montagnes qui la couvre suivant^ la
même direction, tout le versant ouest de 1 île
se trouve à l'abri du vent. De temps immémo-
riaux, les découpures nombreuses de la côte
ouest de l'île ont servi de refuge aux navires
surpris dans les eaux guadeloupéennes par les
tornades fréquentes à certaines époques de
l'année, comme chacun sait, dans la mer des
Antilles.
Configuration du terrain
La pente allant du sommet de la chaîne
centrale à la mer est sensiblement régulière
et coupée de plateaux souvent très étendus,
et offrant de grands avantages pour toutes les
cultures. Pour aller, par exemple, de Basse-
Terre à Saint-Claude, soit une distance de 7
kilomètres environ, il faut gravir une altitude
de 500 mètres. Toute cette portion de terrain,
à partir de 150 mètres d'altitude, est plantable
en bananiers.
On peut pratiquement compter que, sur le
versant Ouest de l'île, il y a une bande de
terrain de 7 à 8 kilomètres de large sur 40
kilomètres environ de longueur, qui serait très
favorable à la culture que nous envisageons.
A noter, de plus, que cette zone est en grande
partie couverte de forêts inexploitées, enfin un
grand nombre de petits cours d'eau descendant
des montagnes sont facilement captables pour
l'irrigation des plantations si besoin en était.
Situation actuelle
et production éventuelle
Il existe en ce moment, sur la partie de
l'île qui nous intéresse, sept bourgades ou ha-
meaux peu peuplés, entourés de quelques plan-
tations de café et cacao. Les moyens d'exploi-
tation sont des plus sommaires, et les routes
consistent surtout en des pistes reliant les dif-
férentes agglomérations. Le principal trafic se
fait par mer à l'aide de petits canots à rames
ou à voiles.
Cependant, autour de Basse-Terre, plus
spécialement sur les terrains des communes de
Saint-Claude, de Gourbeyre et les hauteurs
du Baillif, on peut compter 1.000 hectares
environ plantés ou plantables en bananiers. En
nous basant sur les indications données par
M. l'ingénieur d'agriculture Chillou, nous sa-
vons : qu'à la Jamaïque on peut obtenir jus-
qu'à 100.000 kilogrammes de bananes à l'hec-
tare. Beaucoup plus modestement, parce que
moins bien outillés et manquant de l'expé-
rience acquise par les planteurs anglais, nos
voisins immédiats, nous pensons obtenir :
40.000 kilogs de bananes à l'hectare.
Nous pouvons, d'autre part, certifier qu 'à
la Guadeloupe, l'espèce de bananier plantée
couramment croît en 9 ou 10 mois. Nous en
tirons les chiffres suivants :
En un an, 1 hectare fournit 2.600 régimes
de 15 kgs environ, soit 40.000 kilos.
100 hectares fournissent 260.000 régimes
de 15 kilos environ, soit 4.000.000 de kilos.
1.000 hectares fournissent 2.600.000 régi-
mes de 15 kilos environ, soit 40.000.000 de
kilos, soit, par mois, la deuxième année,
216.000 régimes.
La darse de la Pointe -à-Pitre. (CI. Boisel.)
Si, avec des capitaux suffisants, on envisage
la culture intensive de ce fruit, en plantant
500 hectares par an, ce qui est pratiquement
réalisable en employant des procédés modernes
de culture, on peut compter, au bout de dix
ans, sur 5.000 hectares de bananeraies, soit
une augmentation de la production de 13 mil-
lions de régimes.
Il est à noter que ce ne serait pas, fà en-
core, la limite des possibilités, car, sur la zone
que nous avons signalée, plus haut, de 7 kilo-
mètres de large, sur environ 40 de long (soit
28.000 hectares), en admettant, ce qui n'est
pas, en réalité, que les accidents du terrain
rendent inutilisable la moitié de la superficie,
il resterait encore 14.000 hectares cultivables,
ce qui paraît, à première vue, être un chiffre
respectable.
En l'état actuel des plantations existantes,
nous pouvons assurer à un transporteur, avec
un préavis de dix jours, un minimum de 12.000
beaux régimes de bananes, emballés et à un
degré de maturité donnant le maximum de
garantie quant à la conservation du fruit. Ce
ne serait là qu'un petit début d'affaires pou-
vant être beaucoup plus importantes, et nous
choisirions de préférence comme date le mois
de novembre 1929, nous réservant un délai,
afin de mettre la dernière main aux planta-
tions endommagées par le cyclone de l'année
écoulée.
Les essais de transport dy fruit que nous
avons tentés jusqu'à ce jour nous ont donné
des résultats assez satisfaisants pour nous en-
courager fortement à continuer nos efforts.
Nous croyons devoir insister sur le fait que
nos caisses de fruits sont embarquées à bord
des navires de la Compagnie Générale Trans-
atlantique qui ne comportent aucun aménage-
ment spécial. Elles sont placées dans des cales
à marchandises ordinaires, sans aération, où la
chaleur est souvent considérable, surtout pen-
dant la période où le navire se trouve dans
les eaux tropicales.
Il n'est pas douteux qu'avec des moyens de
transport et des aménagements analogues à
ceux dont dispose l'United Fruit Co, nous
arriverons à expédier nos produits pratiquement
sans risques de déchet. A ce sujet, d 'ailleurs,
nous nous étions mis en rapport avec des ingé-
nieurs de la Compagnie d'Assurances « le
Lloyd », qui nous garantissaient l'assurance du
fruit contre tous risques, même la maturation
anticipée, à condition toutefois que les aména-
gements à bord des navires transporteurs soient
exécutés sur les données et sous la surveillance
de la Compagnie d'Assurances.
Résultats obtenus à ce jour
Depuis bientôt dix ans, et avec des moyens
des plus précaires, nous avons expédié aussi
régulièrement que le permettait la seule Compa-
gnie transporteuse, la Transatlantique, des petits
lots de fruits. Cette Compagnie, non seulement
ne peut garantir, avant l'arrivée du vapeur à
la Guadeloupe, le chargement d'une quantité
importante de bananes, mais fort souvent
même, après avoir indiqué un certain tonnage
comme susceptible d'être embarqué, refuse à
la dernière heure d'en charger la totalité.
A l'heure actuelle, nous avons renouvelé
l'expérience plus de cent cinquante fois, les
résultats ont toujours été encourageants, nous
pouvons assurer que les pertes par maturation
anticipée ne dépassent jamais 10 ;6 et n 'attei-
gnent, au contraire, presque jamais ce chiffre.
Programme actuel
Nous sommes en possession d'une produc-
tion de fruits qui tend à croître tous les jours.
nous avons donné plus haut les chiffres de nos
possibilités pour le mois de novembre prochain.
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de trois jours et une nuit de traversée, ce qui
est un avantage, car, à partir de ce moment,
il se trouverait dans une zone très tempérée et
même fraîche. Au contraire, en partant de la
Colombie ou de la Jamaïque, le même bateau
naviguera pendant 8 à 10 jours dans la zone
torride de la mer des Antilles.
La Guadeloupe est, à proprement parler,
un archipel. Les deux principales îles présen-
tent une dissemblance totale. A la Grande
Terre, les hauteurs ne dépassent pas 150 m.,
l'eau fait défaut en maints endroits, et le ter-
rain n'est, à notre avis, exploitable que pour
la canne à sucre, le coton, et en général les
cultures pour climat très sec, sauf dans les cou-
lées appelées Grands-Fonds, où la culture de
la banane serait possible après achèvement d'un
programme commun d'irrigations.
L'autre île, au contraire, qui a la forme
d'une ellipse, est de formation volcanique, très
montagneuse : les sommets sont d'une altitude
de 1.000 à 1.200 mètres. Cette partie de
l'archipel, plus spécialement dénommée Gua-
deloupe, est couverte en presque totalité de
forêts où les terrains, d'une grande fertilité,
n'ont jamais été exploités en aucune façon.
Climat
Chaleur tempérée et humide. Les maxima
moyens ne dépassent pas 35°, et les minima
oscillent entre 20 et 22°. Ces données ne sont
que des moyennes générales et changent sen-
siblement avec l'altitude.
Le climat est tempéré par deux brises régu-
lières également chargées d'humidité : celle
de la mer qui souffle depuis le lever jusqu'au
coucher du soleil, et celle de la terre qui
commence à souffler au coucher du soleil et
dure toute la nuit.
Deux saisons partagent l'année : l'une plus
fraîche et relativement plus sèche, de décem-
bre à mai ; l'autre, plus chaude et plus hu-
mide, de juin à novembre, époque où il pleut
très abondamment. Ces deux saisons ne sont
pas extrêmement sensibles, et on enregistre
seulement une différence de quelques degrés.
Le régime des vents est en général régu-
lier. La Guadeloupe est placée dans le cou-
rant des alizés, allant de l'est à l 'ouest. L île
étant elle-même orientée du sud au nord et la
chaîne de montagnes qui la couvre suivant^ la
même direction, tout le versant ouest de 1 île
se trouve à l'abri du vent. De temps immémo-
riaux, les découpures nombreuses de la côte
ouest de l'île ont servi de refuge aux navires
surpris dans les eaux guadeloupéennes par les
tornades fréquentes à certaines époques de
l'année, comme chacun sait, dans la mer des
Antilles.
Configuration du terrain
La pente allant du sommet de la chaîne
centrale à la mer est sensiblement régulière
et coupée de plateaux souvent très étendus,
et offrant de grands avantages pour toutes les
cultures. Pour aller, par exemple, de Basse-
Terre à Saint-Claude, soit une distance de 7
kilomètres environ, il faut gravir une altitude
de 500 mètres. Toute cette portion de terrain,
à partir de 150 mètres d'altitude, est plantable
en bananiers.
On peut pratiquement compter que, sur le
versant Ouest de l'île, il y a une bande de
terrain de 7 à 8 kilomètres de large sur 40
kilomètres environ de longueur, qui serait très
favorable à la culture que nous envisageons.
A noter, de plus, que cette zone est en grande
partie couverte de forêts inexploitées, enfin un
grand nombre de petits cours d'eau descendant
des montagnes sont facilement captables pour
l'irrigation des plantations si besoin en était.
Situation actuelle
et production éventuelle
Il existe en ce moment, sur la partie de
l'île qui nous intéresse, sept bourgades ou ha-
meaux peu peuplés, entourés de quelques plan-
tations de café et cacao. Les moyens d'exploi-
tation sont des plus sommaires, et les routes
consistent surtout en des pistes reliant les dif-
férentes agglomérations. Le principal trafic se
fait par mer à l'aide de petits canots à rames
ou à voiles.
Cependant, autour de Basse-Terre, plus
spécialement sur les terrains des communes de
Saint-Claude, de Gourbeyre et les hauteurs
du Baillif, on peut compter 1.000 hectares
environ plantés ou plantables en bananiers. En
nous basant sur les indications données par
M. l'ingénieur d'agriculture Chillou, nous sa-
vons : qu'à la Jamaïque on peut obtenir jus-
qu'à 100.000 kilogrammes de bananes à l'hec-
tare. Beaucoup plus modestement, parce que
moins bien outillés et manquant de l'expé-
rience acquise par les planteurs anglais, nos
voisins immédiats, nous pensons obtenir :
40.000 kilogs de bananes à l'hectare.
Nous pouvons, d'autre part, certifier qu 'à
la Guadeloupe, l'espèce de bananier plantée
couramment croît en 9 ou 10 mois. Nous en
tirons les chiffres suivants :
En un an, 1 hectare fournit 2.600 régimes
de 15 kgs environ, soit 40.000 kilos.
100 hectares fournissent 260.000 régimes
de 15 kilos environ, soit 4.000.000 de kilos.
1.000 hectares fournissent 2.600.000 régi-
mes de 15 kilos environ, soit 40.000.000 de
kilos, soit, par mois, la deuxième année,
216.000 régimes.
La darse de la Pointe -à-Pitre. (CI. Boisel.)
Si, avec des capitaux suffisants, on envisage
la culture intensive de ce fruit, en plantant
500 hectares par an, ce qui est pratiquement
réalisable en employant des procédés modernes
de culture, on peut compter, au bout de dix
ans, sur 5.000 hectares de bananeraies, soit
une augmentation de la production de 13 mil-
lions de régimes.
Il est à noter que ce ne serait pas, fà en-
core, la limite des possibilités, car, sur la zone
que nous avons signalée, plus haut, de 7 kilo-
mètres de large, sur environ 40 de long (soit
28.000 hectares), en admettant, ce qui n'est
pas, en réalité, que les accidents du terrain
rendent inutilisable la moitié de la superficie,
il resterait encore 14.000 hectares cultivables,
ce qui paraît, à première vue, être un chiffre
respectable.
En l'état actuel des plantations existantes,
nous pouvons assurer à un transporteur, avec
un préavis de dix jours, un minimum de 12.000
beaux régimes de bananes, emballés et à un
degré de maturité donnant le maximum de
garantie quant à la conservation du fruit. Ce
ne serait là qu'un petit début d'affaires pou-
vant être beaucoup plus importantes, et nous
choisirions de préférence comme date le mois
de novembre 1929, nous réservant un délai,
afin de mettre la dernière main aux planta-
tions endommagées par le cyclone de l'année
écoulée.
Les essais de transport dy fruit que nous
avons tentés jusqu'à ce jour nous ont donné
des résultats assez satisfaisants pour nous en-
courager fortement à continuer nos efforts.
Nous croyons devoir insister sur le fait que
nos caisses de fruits sont embarquées à bord
des navires de la Compagnie Générale Trans-
atlantique qui ne comportent aucun aménage-
ment spécial. Elles sont placées dans des cales
à marchandises ordinaires, sans aération, où la
chaleur est souvent considérable, surtout pen-
dant la période où le navire se trouve dans
les eaux tropicales.
Il n'est pas douteux qu'avec des moyens de
transport et des aménagements analogues à
ceux dont dispose l'United Fruit Co, nous
arriverons à expédier nos produits pratiquement
sans risques de déchet. A ce sujet, d 'ailleurs,
nous nous étions mis en rapport avec des ingé-
nieurs de la Compagnie d'Assurances « le
Lloyd », qui nous garantissaient l'assurance du
fruit contre tous risques, même la maturation
anticipée, à condition toutefois que les aména-
gements à bord des navires transporteurs soient
exécutés sur les données et sous la surveillance
de la Compagnie d'Assurances.
Résultats obtenus à ce jour
Depuis bientôt dix ans, et avec des moyens
des plus précaires, nous avons expédié aussi
régulièrement que le permettait la seule Compa-
gnie transporteuse, la Transatlantique, des petits
lots de fruits. Cette Compagnie, non seulement
ne peut garantir, avant l'arrivée du vapeur à
la Guadeloupe, le chargement d'une quantité
importante de bananes, mais fort souvent
même, après avoir indiqué un certain tonnage
comme susceptible d'être embarqué, refuse à
la dernière heure d'en charger la totalité.
A l'heure actuelle, nous avons renouvelé
l'expérience plus de cent cinquante fois, les
résultats ont toujours été encourageants, nous
pouvons assurer que les pertes par maturation
anticipée ne dépassent jamais 10 ;6 et n 'attei-
gnent, au contraire, presque jamais ce chiffre.
Programme actuel
Nous sommes en possession d'une produc-
tion de fruits qui tend à croître tous les jours.
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