Titre : La Dépêche coloniale illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1908-02-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327559237
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 15 février 1908 15 février 1908
Description : 1908/02/15 (A8,N3). 1908/02/15 (A8,N3).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9742997n
Source : CIRAD, 2016-191284
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
LA DEPECHE COLONIALE ILLUSTREE 59
rentrai en France, mais j'eus par la suite la
satisfaction de voir que le léger sillon que
j'avais tracé était de quelque utilité. Vous
n'avez certainement pas oublié l'occupation
d'Agadez en 1904, puis celle de l'oasis de
Bilma qui eut lieu en 1906.
C'était à la région de Tombouctou que de-
vait revenir l'honneur d'établir la première
une liaison entre les troupes de l'Afri-
que Occidentale Française et celles de
l'Algérie. En 1904, le capitaine Theve-
niaut de l'infanterie coloniale, chargé
de faire une reconnaissance dans
l'Adrar de l'Est ou Adrar des Ifoghass,
rencontrait à Tinliaouin, à 500 kilomè-
tres environ au Nord du Niger, le chef
d'escadrons Laperrine, commandant
supérieur des Oasis sahariennes.
Cependant, toutes ces reconnaissan-
ces faites dans les régions désertiques
montraient que nous n'avions pas en-
core en main l'outil indispensable pour
mener à bonne fin la lâche que nous
avions entreprise. - A Tombouctou
comme à Zinder, on avait bien essayé
d'organiser des troupes de méharistes,
mais ce n'avait pu. être fait qu'avec des
moyens de fortune, et le budget ne
prévoyant pas semblable dépense, on
n'avait pu arriver à une organisation
rationnelle.
Dès 1898, le chef d'escadrons Klobb
avait fait à Tombouctou une première
tentative à laquelle restèrent attachés
les noms des lieutenants de cavalerie
Rampont et de Gail, mais qui aboutit
malheureusement à un échec, et pen-
dant quelques années, on crut qu'il
était impossible de rien faire dans cet
ordre d'idées.
L expérience de 1902 dans le terri-
toire de Zinder continuée les années
suivantes avait cependant attiré l'atten-
tion. En 1904, le général commandant
supérieur des troupes de l'Afrique Oc-
cidentale Française invitait les com-
mandants des territoires militaires de
l ombouctou et de Zinder à étudier la
question de l'organisation des Compa-
gnies montées à méhara.
Les rapports fournis concluant favorable-
ment la question fut soumise au Ministère
des Colonies qui l'accepta en principe. A la
fin de 1904, le gouverneur général, dans un
discours prononcé au Conseil de gouverne-
ment et reproduit dans de nombreux jour-
naux, annonçait que le projet était à l'étude
et recevrait bientôt une solution.
Désigné pour ètre chargé de cette organi-
satilon, j arrivai en Afrique Occidentale au
J l'année J905, et au mois de mai, aus-
sitôt rendu à Tombouctou, je me mis au tra-
vail. Ce que furent les derniers mois de l'an-
née 1905, passés, soit à parcourir la région
pour y faire des achats de chameaux et de
matériel, soit à recruter et à instruire le per-
sonnel européen et indigène nécessaire et au-
quel il y avait tout à appren.
dire, il ne m'appartient pas
de le raconter ici : qu'il me
suffise de dire que ce fut une
œuvre toute de patience et de
volonté dans le cours de la-
quelle la foi que j'avais dans
le succès final me fui souvent
nécessaire. Enfin, grâce au
concours dévoué des officiers
et sous-officiers qui m'a-
vaient été adjoints, grâce au
bon esprit et à la bonne vo-
lonté de tous, Européens et
indigènes, le mois de décem-
bre voyait enfin la compa-
gnie de méharistes de Tom-
bouctou prête à marcher, et
chacun, confiant dans l'ave-
nir, n'attendait plus que l'or-
dre de partir.
Il y avait cependant lieu de
faire quelques réserves, car,
malgré toute la peine que l'on
avait pu prendre, il n'avait
pas été possible encore de
parer à certaines imperfec-
tions. Le crédit accordé étant
assez faible, L'effectif des animaux était infé-
rieur à ce qu'il aurait dû être et la période
d'instruction intensive par laquelle on venait
de passer les avait forcément un peu affaiblis.
Il faut d'ailleurs que l'on sache que le cha-
meau, bien qu'appelé à vivre dans les pays
pauvres et où les ressources en pâturages sont
médiocres, a besoin d'une nourriture assez
LE MÉHARISTE EN SELLE, TENUE DE ROUTE.
abondante. Beaucoup d'Européens, se fiant
aux racontars plus ou moins fantaisistes de
gens en mal d'invention, ont pu croire que le
chameau était un animal extrêmement rusti-
que et qui, très résistant à la fatigue, marchait
indéfiniment sans boire ni manger. La vérité
est malheureusement assez loin de là ; le cha-
meau est un animal extrêmement délicat, dont
la conduite et l'entretien exigent un long ap-
prentissage et une grande attention. Ces der-
nières qualités manquaient complètement ànos
tirailleurs. Il est compréhensible, en effet, que
des noirs, Bambaras ou Toucouleurs, venant
de régions où le chameau est totalement in-
connu, avaient pu être dressés à se tenir en
selle, mais ignoraient tout de l'hygiène et des
soins nécessaires à leurs montures. Nous pos-
UN CHAMEAU DE BAT, MUNI DE LA HAOUIA, OU BAT,
EN USAGE CHEZ LES MAURES.
sédions cependant un certairi nombre d'an-
ciens esclaves maures que j'avais réussi à en-
gager, et ceux-ci, chameliers depuis-leur en-
fance, rendirent de. très grands sèrvices. Un
recrutement comprenant une certaine propor-
tiQIl de nomades, maures ou touaregs, aurait
été préférable, mais il avait été.impossible de
trouver des volontaires parmi des hommes
qui, ne connaissant à peu près rien de
nous, manquaient complètement de
confiance. Il faut bien reconnaître,
d'ailleurs, qu'un nomade n'aliénera ja-
mais sa liberté pour recevoir la faible
solde dont se contentent les tirailleurs
noirs.
Quoi qu'il en soit, à la fin de janvier
1906, je recevais enfin l'ordre de quitter
le poste de Raz-el-Ma, que j'occupais à
180 kilomètres à l'Ouest de Tombouc-.,
tou. Je devais passer par cette ville et
me diriger ensuite vers le Nord où exis-
taient des terrains de pâturages pour
mes animaux. Je partis de Raz-el-Ma le
5 février. Par suite d'un concours mal-
heureux de circonstances, le--cadre de
ma Compagnie se trouvait extrême-
ment réduit et je ne pus emmener que
deux sous-officiers européens. En arri-
vant à Tombouctou, j'appris avec satis-
faction qu'un lieutenant et deux sous-
officiers qui m'étaient destinés devaient
arriver : je décidai donc de les attendre.
Le lieutenant était M. Cortier qui fit
l'an dernier une conférence sur Tao-
déni à la Société de Géographie de Pa-
ris. Cet officier, tout comme les sous-
officiers qui l'accompagnaient, venait
pour la première fois au Soudan : ils
n'avaient naturellement jamais appris
à monter à chameau.
Nous partîmes le 26 février ; je ne ju-
rerai pas que pendant la première étape
faite ainsi sans entraînement, et qui fut
de plus de 40 kilomètres, mes nouveaux
compagnons ne maudirent pas un peu
leur vaisseau du désert.
Au nord de Tombouctou, pendant
une trentaine de kilomètres, on tra-
verse une zone de sables semée d'ar-
bustes épineux-assez rabougris, à tra-
vers lesquels serpente la piste. Au delà de
cette zone, que l'on appelle pompeusement sur
les cartes la « forêt de Tombouctou », nous
entrons dans la région des dunes.
Nous franchissons une succession de vallon-
nements qui s'étendent à perte de vue, conser-
vant toujours une direction à peu près cons-
tante E. N.-E. et O. S.-O. Ces dunes, qurdomi-
nent le fond des vallées d'une vingtaine de mè-
tres environ, sont couvertes d'herbes ; elles
sont en général inclinées en pente douce vers
le Sud, alors que sur le versant opposé elles
présentent des pentes raides et quelquefois
même des à pic de plusieurs mètres. Le .fond
des vallées est encore souvent garni d'arbus-
tes qui disparaissent peu à peu à mesure que
l'on s'avance vers le Nord, pour faire place à
une sorte de genêt qui cesse
lui-même complètement
quand on approche d'A-
raouan. -
Il existe deux routes de
Tombouctou à Araouan : la
première directe que les ca-
ravanes parcourent en quatre
ou cinq jours, mais dépour-
vue d'eau et de pâturages. Je
choisis .la seconde, plus lon-
gue, il est vrai, mais, comme
rien ne nous pressait, elle
était préférable, -car nous de-
vions y trouver des puits as-
sez rapprochés les uns des
autres. Tout alla bien en effet,
jusqu'au puits d'Inalahi, où
nous séjournâmes -trente-six
heures. A partir de ce point,
nous eûmes plus de 100 kilo-
: mètres à faire sans eau, et
ceux d'entre nous qui fai-
saient leurs premières armes
sahariennes purent se rendre
compte de ce que devient
l'eau conservée dans des
peaux de bouc indigènes.
rentrai en France, mais j'eus par la suite la
satisfaction de voir que le léger sillon que
j'avais tracé était de quelque utilité. Vous
n'avez certainement pas oublié l'occupation
d'Agadez en 1904, puis celle de l'oasis de
Bilma qui eut lieu en 1906.
C'était à la région de Tombouctou que de-
vait revenir l'honneur d'établir la première
une liaison entre les troupes de l'Afri-
que Occidentale Française et celles de
l'Algérie. En 1904, le capitaine Theve-
niaut de l'infanterie coloniale, chargé
de faire une reconnaissance dans
l'Adrar de l'Est ou Adrar des Ifoghass,
rencontrait à Tinliaouin, à 500 kilomè-
tres environ au Nord du Niger, le chef
d'escadrons Laperrine, commandant
supérieur des Oasis sahariennes.
Cependant, toutes ces reconnaissan-
ces faites dans les régions désertiques
montraient que nous n'avions pas en-
core en main l'outil indispensable pour
mener à bonne fin la lâche que nous
avions entreprise. - A Tombouctou
comme à Zinder, on avait bien essayé
d'organiser des troupes de méharistes,
mais ce n'avait pu. être fait qu'avec des
moyens de fortune, et le budget ne
prévoyant pas semblable dépense, on
n'avait pu arriver à une organisation
rationnelle.
Dès 1898, le chef d'escadrons Klobb
avait fait à Tombouctou une première
tentative à laquelle restèrent attachés
les noms des lieutenants de cavalerie
Rampont et de Gail, mais qui aboutit
malheureusement à un échec, et pen-
dant quelques années, on crut qu'il
était impossible de rien faire dans cet
ordre d'idées.
L expérience de 1902 dans le terri-
toire de Zinder continuée les années
suivantes avait cependant attiré l'atten-
tion. En 1904, le général commandant
supérieur des troupes de l'Afrique Oc-
cidentale Française invitait les com-
mandants des territoires militaires de
l ombouctou et de Zinder à étudier la
question de l'organisation des Compa-
gnies montées à méhara.
Les rapports fournis concluant favorable-
ment la question fut soumise au Ministère
des Colonies qui l'accepta en principe. A la
fin de 1904, le gouverneur général, dans un
discours prononcé au Conseil de gouverne-
ment et reproduit dans de nombreux jour-
naux, annonçait que le projet était à l'étude
et recevrait bientôt une solution.
Désigné pour ètre chargé de cette organi-
satilon, j arrivai en Afrique Occidentale au
J l'année J905, et au mois de mai, aus-
sitôt rendu à Tombouctou, je me mis au tra-
vail. Ce que furent les derniers mois de l'an-
née 1905, passés, soit à parcourir la région
pour y faire des achats de chameaux et de
matériel, soit à recruter et à instruire le per-
sonnel européen et indigène nécessaire et au-
quel il y avait tout à appren.
dire, il ne m'appartient pas
de le raconter ici : qu'il me
suffise de dire que ce fut une
œuvre toute de patience et de
volonté dans le cours de la-
quelle la foi que j'avais dans
le succès final me fui souvent
nécessaire. Enfin, grâce au
concours dévoué des officiers
et sous-officiers qui m'a-
vaient été adjoints, grâce au
bon esprit et à la bonne vo-
lonté de tous, Européens et
indigènes, le mois de décem-
bre voyait enfin la compa-
gnie de méharistes de Tom-
bouctou prête à marcher, et
chacun, confiant dans l'ave-
nir, n'attendait plus que l'or-
dre de partir.
Il y avait cependant lieu de
faire quelques réserves, car,
malgré toute la peine que l'on
avait pu prendre, il n'avait
pas été possible encore de
parer à certaines imperfec-
tions. Le crédit accordé étant
assez faible, L'effectif des animaux était infé-
rieur à ce qu'il aurait dû être et la période
d'instruction intensive par laquelle on venait
de passer les avait forcément un peu affaiblis.
Il faut d'ailleurs que l'on sache que le cha-
meau, bien qu'appelé à vivre dans les pays
pauvres et où les ressources en pâturages sont
médiocres, a besoin d'une nourriture assez
LE MÉHARISTE EN SELLE, TENUE DE ROUTE.
abondante. Beaucoup d'Européens, se fiant
aux racontars plus ou moins fantaisistes de
gens en mal d'invention, ont pu croire que le
chameau était un animal extrêmement rusti-
que et qui, très résistant à la fatigue, marchait
indéfiniment sans boire ni manger. La vérité
est malheureusement assez loin de là ; le cha-
meau est un animal extrêmement délicat, dont
la conduite et l'entretien exigent un long ap-
prentissage et une grande attention. Ces der-
nières qualités manquaient complètement ànos
tirailleurs. Il est compréhensible, en effet, que
des noirs, Bambaras ou Toucouleurs, venant
de régions où le chameau est totalement in-
connu, avaient pu être dressés à se tenir en
selle, mais ignoraient tout de l'hygiène et des
soins nécessaires à leurs montures. Nous pos-
UN CHAMEAU DE BAT, MUNI DE LA HAOUIA, OU BAT,
EN USAGE CHEZ LES MAURES.
sédions cependant un certairi nombre d'an-
ciens esclaves maures que j'avais réussi à en-
gager, et ceux-ci, chameliers depuis-leur en-
fance, rendirent de. très grands sèrvices. Un
recrutement comprenant une certaine propor-
tiQIl de nomades, maures ou touaregs, aurait
été préférable, mais il avait été.impossible de
trouver des volontaires parmi des hommes
qui, ne connaissant à peu près rien de
nous, manquaient complètement de
confiance. Il faut bien reconnaître,
d'ailleurs, qu'un nomade n'aliénera ja-
mais sa liberté pour recevoir la faible
solde dont se contentent les tirailleurs
noirs.
Quoi qu'il en soit, à la fin de janvier
1906, je recevais enfin l'ordre de quitter
le poste de Raz-el-Ma, que j'occupais à
180 kilomètres à l'Ouest de Tombouc-.,
tou. Je devais passer par cette ville et
me diriger ensuite vers le Nord où exis-
taient des terrains de pâturages pour
mes animaux. Je partis de Raz-el-Ma le
5 février. Par suite d'un concours mal-
heureux de circonstances, le--cadre de
ma Compagnie se trouvait extrême-
ment réduit et je ne pus emmener que
deux sous-officiers européens. En arri-
vant à Tombouctou, j'appris avec satis-
faction qu'un lieutenant et deux sous-
officiers qui m'étaient destinés devaient
arriver : je décidai donc de les attendre.
Le lieutenant était M. Cortier qui fit
l'an dernier une conférence sur Tao-
déni à la Société de Géographie de Pa-
ris. Cet officier, tout comme les sous-
officiers qui l'accompagnaient, venait
pour la première fois au Soudan : ils
n'avaient naturellement jamais appris
à monter à chameau.
Nous partîmes le 26 février ; je ne ju-
rerai pas que pendant la première étape
faite ainsi sans entraînement, et qui fut
de plus de 40 kilomètres, mes nouveaux
compagnons ne maudirent pas un peu
leur vaisseau du désert.
Au nord de Tombouctou, pendant
une trentaine de kilomètres, on tra-
verse une zone de sables semée d'ar-
bustes épineux-assez rabougris, à tra-
vers lesquels serpente la piste. Au delà de
cette zone, que l'on appelle pompeusement sur
les cartes la « forêt de Tombouctou », nous
entrons dans la région des dunes.
Nous franchissons une succession de vallon-
nements qui s'étendent à perte de vue, conser-
vant toujours une direction à peu près cons-
tante E. N.-E. et O. S.-O. Ces dunes, qurdomi-
nent le fond des vallées d'une vingtaine de mè-
tres environ, sont couvertes d'herbes ; elles
sont en général inclinées en pente douce vers
le Sud, alors que sur le versant opposé elles
présentent des pentes raides et quelquefois
même des à pic de plusieurs mètres. Le .fond
des vallées est encore souvent garni d'arbus-
tes qui disparaissent peu à peu à mesure que
l'on s'avance vers le Nord, pour faire place à
une sorte de genêt qui cesse
lui-même complètement
quand on approche d'A-
raouan. -
Il existe deux routes de
Tombouctou à Araouan : la
première directe que les ca-
ravanes parcourent en quatre
ou cinq jours, mais dépour-
vue d'eau et de pâturages. Je
choisis .la seconde, plus lon-
gue, il est vrai, mais, comme
rien ne nous pressait, elle
était préférable, -car nous de-
vions y trouver des puits as-
sez rapprochés les uns des
autres. Tout alla bien en effet,
jusqu'au puits d'Inalahi, où
nous séjournâmes -trente-six
heures. A partir de ce point,
nous eûmes plus de 100 kilo-
: mètres à faire sans eau, et
ceux d'entre nous qui fai-
saient leurs premières armes
sahariennes purent se rendre
compte de ce que devient
l'eau conservée dans des
peaux de bouc indigènes.
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