Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1931-02-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1931 01 février 1931
Description : 1931/02/01 (A32,N2)-1931/02/28. 1931/02/01 (A32,N2)-1931/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97427598
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Page 6
Les Annales Coloniales
taire, ni le traité, ni la situation nouvelle qu'il
créait ne soulevèrent aucune objection, aucune
difficulté de la part des puissances européennes.
Gambetta, alors président de la Chambre et dont
l'approbation était acquise depuis le début, écrit
à Jules Ferry : « Il faudra bien que les esprits
chagrins en prennent leur parti un peu partout :
la France reprend son rang de grande puis-
sance. ib
Les « esprits chagrins », ...ce mot visait, en
France, les partis politiques qui s'étaient opposés
avec une passion extraordinaire à la réalisation
si simple et en quelque sorte si modeste, d'une
mesure de sécurité devenue indispensable et
accomplie sans porter la moindre atteinte à la
sécurité générale du pays, bien au contraire.
A Clemenceau, qui dénonçait avec une violence
farouche, cette œuvre de haute précaution patrio-
tique et qui s'écriait, dans une incompréhensible
méconnaissance des réalités : « En cas de guerre
européenne, est-ce que l'échiquier militaire ne
sera pas modifié? » le ministre répondait: « Oui,
il sera modifié, mais à notre profit, en fermant
une porte par laquelle on peut entrer chez nous...
Ces choses ne sont point des choses de l'heure
Ancien bagne de la Goulette (1881) (d'après une aquarelle de Ch. Lallemarut).
et du moment; ce sont des choses et des œuvres
d'avenir. Eh bien je prie ceux qui s'occupent
de politique étrangère (se tournant vers la
droite) de réfléchir à ce qui pourrait arriver dans
un temps donné, — éloigné, j'en suis sûr, —
dans un cas de conflit à propos de la question
d'Orient (quelle puissance de divination!) ; ce
jour-là, vous direz qu'il s'est trouvé, en 1881,
un ministre qui a pris une initiative périlleuse
pour lui, — nous le voyons aujourd'hui, —
mais heureuse pour la patrie! »
Cette prophétie, Jules Ferry eut pu la répéter
devant les mêmes incriminations et devant une
justice plus cruelle encore,, quelques années après,
au lendemain de Lang-Son.
En fait, par l'intervention si heureusement
décidée et accomplie, la Régence était mise à
l'abri des compétitions étrangères. La sécurité
de notre établissement algérien était hors d'at-
teinte à l'Ouest. Quelques velléités de résistance
dans le Sud, infiniment grossies par la polé-
mique, furent vite étouffées. S'il était nécessaire
de prouver à quel point le consentement universel
à ces mesures de stabilité et de propreté poli-
tique était acquis, il suffirait de rappeler que,
très rapidement, toutes les puissances, sans
exception, donnèrent des mains à la suppression
des capitulations.
Organisation du Srclcclcral
La France avait accompli avec mesure et tact
une œuvre diplomatique difficile : il fallait,
maintenant,' qu'elle réalisât la seconde partie de
sa tâche et qu'elle offrît à la Tunisie, les bien-
faits que notre civilisation devait lui apporter.
Ce fut l'œuvre de la nouvelle institution, l'ins-
titution du protectorat.
Mais ici, il faut distinguer deux périodes
encore :
La première, toute de prudence et de mise
au point, coïncide avec la présence à Tunis de
M. Paul Cambon en qualité de résident général
auprès du bey. L'habile diplomate qu'était Paul
Cambon, l'administrateur averti qu'il était éga-
lement, s'appuyant d'une part, sur un collabo-
rateur de haut mérite choisi par lui, M. Bom
pard, et, d'autre part, sur un agent consulaire,
M. Roy, expert, plus que personne, dans les
affaires tunisiennes, a su, dans ses années d'inau-
guration, faire fonctionner avec un tact supé-
rieur les rouages de cette délicate collaboration
entre le gouvernement protecteur et le gouver-
nement protégé. M. Massicault, qui lui succéda,
développa cette œuvre initiale avec une non
moins grande efficacité.
L'autorité du bey est ménagée; les contacts
des résidents locaux, les contrôleurs, avec l'élite
indigène sont réglés ; les mœurs, la religion du
pays sont respectées ; une touche à peine sensible
imprime à la marche des affaires une orientation
nouvelle ; les transitions entre le passé et l'avenir
sont si heureusement graduées que les obstacles
sont aplanis avant qu'on les aborde. La situation
financière s'éclaircit, la législation se codifie,
l'Act Torrens, transporté pour la première fois,
sous ces climats, assure les conditions de la
propriété et donne l'essor à la nouvelle coloni-
sation : la colonisation, elle-même, s'esquisse sous
les plus heureux auspices. Personnel et capitaux
affluent sous la garantie de la sécurité.
Entraves a l'cKercice du isro#eclor«i
Cependant, une fois ces premiers pas faits et
cette première stabilisation obtenue, voici que des
difficultés, d'abord peu sensibles, se présentent et
s'aggravent, soit dans l'ordre économique soit
dans l'ordre politique et militaire. Après quel-
ques années écoulées, des perspectives plus vastes
se découvrant, on sent que les précautions prises
pour faire accepter sans heurt par les puissances
la politique de l'intervention sont, finalement,
des entraves. En se détournant de la solution,
un peu rigide mais simple, de l'annexion, la
France s'est engagée à respecter les traités ac-
cordés de longue date par les beys de Tunis
aux puissances étrangères; or, ces traités, dont
l'un au moins, celui qui a été conclu avec l'An-
gleterre, est sine die (l'Angleterre dit perpétuel),
sont en opposition avec la volonté de la France
de donner à la Tunisie une physionomie nou-
velle.
Rappelons les principaux empêchements à une
bonne marche des affaires résultant de ce passé
survivant :
La situation, au point de vue de la souverai-
neté, reste obscure. Quand le protectorat a été
établi, les puissances se sont tues : ont-elles
adhéré?
La liquidation financière indispensable n'est
pas réalisable tant que les puissances auront,
par leurs traités, un droit de regard dans les
affaires tunisiennes. Or, comment alléger le far.
deau des dettes tunisiennes sans procéder à des
conversions? Et sous quelles garanties y pro-
céder ? Le crédit de la Tunisie est nul; s'agit-il
d'apporter, sans contre-partie de contrôle, l'ap-
point décisif du crédit de la France? Question
vitale, s'il en fut.
Poursuivons : faute de ces opérations finan-
cières, comment procéder aux grands travaux
publics nécessaires pour donner à la Régence
figure de pays civilisé; comment établir un pro.
gramme de chemins de fer, et, en particulier,
comment construire cette voie ferrée qui doit
réunir la Tunisie à l'Algérie et qui deviendra
l'indispensable artère de notre sécurité africaine?
Or. le front de terre réclame absolument et rapi-
dement cette création.
Et le front de mer en réclame une autre : l'a
fondation à Bizerte d'une base d'opération na-
vale, d'un arsenal et d'un point d'appui pour la
flotte; mais une phrase de M. Barthélémy Saint-
H il aire dans les échanges de vues avec l'Angle-
terre, contemporains de l'expédition, est oppo-
sée à la France et les puissances en font état
pour retarder indéfiniment l'ouverture de ces
travaux.
Conséquence non moins grave : la vie écono-
mique de la Régence est rendue, pour ainsi dire,
impossible par l'enchevêtrement des avantages
économiques et autres que les puissances tirent
du texte des traités. La France, qui ouvre ses
portes aux produits tunisiens, ne jouit, dans la
Régence, pour ses propres produits, d'aucun
avantage compensateur de ses sacrifices. Rien
n'étant au point, tout végète. L'indigène souf-
fre et le colon hésite.
D'autres précisions et d'autres clartés sont
nécessaires, par exemple pour régler la situa-
tion des étrangers, lie régime judiciaire, le ré-
gime de l'a naturalisation, le régime des Ecoles,
etc., etc. Et tout cela est subordonné à la valeur
assez arbitraire attribuée à de vieux accords re-
montant aux temps où la Régence était consi-
dérée comme un pays « barbaresque » — ne
disons pas « barbare ». Ce poids-mort de quinze
ou vingt traités, dont quelques-uns remontent au
temps de Louis XIV, arrête l'élan qui doit por-
ter la Tunisie à un degré de civilisation supé-
rieure.
'Comment la Tunisie lût lîkérce
des traités internationaux
Ces difficultés, confirmées par la volonté dé-
clarée des puissances de ne laisser porter aucune
atteinte au statu quo conventionnel, troublaient
les nuits du nouveau directeur du service des
Protectorats au ministère des Affaires Etran-
gères, qui, héritier de la tradition, de Jules
Ferry, était rentré au Quai d'Orsay avec le
dessein bien arrêté de faire tout le possible pour
achever l'œuvre coloniale à peu près interrompue
depuis Lang-Son.
Il serait trop long de rappeler ici les mesures
Les Annales Coloniales
taire, ni le traité, ni la situation nouvelle qu'il
créait ne soulevèrent aucune objection, aucune
difficulté de la part des puissances européennes.
Gambetta, alors président de la Chambre et dont
l'approbation était acquise depuis le début, écrit
à Jules Ferry : « Il faudra bien que les esprits
chagrins en prennent leur parti un peu partout :
la France reprend son rang de grande puis-
sance. ib
Les « esprits chagrins », ...ce mot visait, en
France, les partis politiques qui s'étaient opposés
avec une passion extraordinaire à la réalisation
si simple et en quelque sorte si modeste, d'une
mesure de sécurité devenue indispensable et
accomplie sans porter la moindre atteinte à la
sécurité générale du pays, bien au contraire.
A Clemenceau, qui dénonçait avec une violence
farouche, cette œuvre de haute précaution patrio-
tique et qui s'écriait, dans une incompréhensible
méconnaissance des réalités : « En cas de guerre
européenne, est-ce que l'échiquier militaire ne
sera pas modifié? » le ministre répondait: « Oui,
il sera modifié, mais à notre profit, en fermant
une porte par laquelle on peut entrer chez nous...
Ces choses ne sont point des choses de l'heure
Ancien bagne de la Goulette (1881) (d'après une aquarelle de Ch. Lallemarut).
et du moment; ce sont des choses et des œuvres
d'avenir. Eh bien je prie ceux qui s'occupent
de politique étrangère (se tournant vers la
droite) de réfléchir à ce qui pourrait arriver dans
un temps donné, — éloigné, j'en suis sûr, —
dans un cas de conflit à propos de la question
d'Orient (quelle puissance de divination!) ; ce
jour-là, vous direz qu'il s'est trouvé, en 1881,
un ministre qui a pris une initiative périlleuse
pour lui, — nous le voyons aujourd'hui, —
mais heureuse pour la patrie! »
Cette prophétie, Jules Ferry eut pu la répéter
devant les mêmes incriminations et devant une
justice plus cruelle encore,, quelques années après,
au lendemain de Lang-Son.
En fait, par l'intervention si heureusement
décidée et accomplie, la Régence était mise à
l'abri des compétitions étrangères. La sécurité
de notre établissement algérien était hors d'at-
teinte à l'Ouest. Quelques velléités de résistance
dans le Sud, infiniment grossies par la polé-
mique, furent vite étouffées. S'il était nécessaire
de prouver à quel point le consentement universel
à ces mesures de stabilité et de propreté poli-
tique était acquis, il suffirait de rappeler que,
très rapidement, toutes les puissances, sans
exception, donnèrent des mains à la suppression
des capitulations.
Organisation du Srclcclcral
La France avait accompli avec mesure et tact
une œuvre diplomatique difficile : il fallait,
maintenant,' qu'elle réalisât la seconde partie de
sa tâche et qu'elle offrît à la Tunisie, les bien-
faits que notre civilisation devait lui apporter.
Ce fut l'œuvre de la nouvelle institution, l'ins-
titution du protectorat.
Mais ici, il faut distinguer deux périodes
encore :
La première, toute de prudence et de mise
au point, coïncide avec la présence à Tunis de
M. Paul Cambon en qualité de résident général
auprès du bey. L'habile diplomate qu'était Paul
Cambon, l'administrateur averti qu'il était éga-
lement, s'appuyant d'une part, sur un collabo-
rateur de haut mérite choisi par lui, M. Bom
pard, et, d'autre part, sur un agent consulaire,
M. Roy, expert, plus que personne, dans les
affaires tunisiennes, a su, dans ses années d'inau-
guration, faire fonctionner avec un tact supé-
rieur les rouages de cette délicate collaboration
entre le gouvernement protecteur et le gouver-
nement protégé. M. Massicault, qui lui succéda,
développa cette œuvre initiale avec une non
moins grande efficacité.
L'autorité du bey est ménagée; les contacts
des résidents locaux, les contrôleurs, avec l'élite
indigène sont réglés ; les mœurs, la religion du
pays sont respectées ; une touche à peine sensible
imprime à la marche des affaires une orientation
nouvelle ; les transitions entre le passé et l'avenir
sont si heureusement graduées que les obstacles
sont aplanis avant qu'on les aborde. La situation
financière s'éclaircit, la législation se codifie,
l'Act Torrens, transporté pour la première fois,
sous ces climats, assure les conditions de la
propriété et donne l'essor à la nouvelle coloni-
sation : la colonisation, elle-même, s'esquisse sous
les plus heureux auspices. Personnel et capitaux
affluent sous la garantie de la sécurité.
Entraves a l'cKercice du isro#eclor«i
Cependant, une fois ces premiers pas faits et
cette première stabilisation obtenue, voici que des
difficultés, d'abord peu sensibles, se présentent et
s'aggravent, soit dans l'ordre économique soit
dans l'ordre politique et militaire. Après quel-
ques années écoulées, des perspectives plus vastes
se découvrant, on sent que les précautions prises
pour faire accepter sans heurt par les puissances
la politique de l'intervention sont, finalement,
des entraves. En se détournant de la solution,
un peu rigide mais simple, de l'annexion, la
France s'est engagée à respecter les traités ac-
cordés de longue date par les beys de Tunis
aux puissances étrangères; or, ces traités, dont
l'un au moins, celui qui a été conclu avec l'An-
gleterre, est sine die (l'Angleterre dit perpétuel),
sont en opposition avec la volonté de la France
de donner à la Tunisie une physionomie nou-
velle.
Rappelons les principaux empêchements à une
bonne marche des affaires résultant de ce passé
survivant :
La situation, au point de vue de la souverai-
neté, reste obscure. Quand le protectorat a été
établi, les puissances se sont tues : ont-elles
adhéré?
La liquidation financière indispensable n'est
pas réalisable tant que les puissances auront,
par leurs traités, un droit de regard dans les
affaires tunisiennes. Or, comment alléger le far.
deau des dettes tunisiennes sans procéder à des
conversions? Et sous quelles garanties y pro-
céder ? Le crédit de la Tunisie est nul; s'agit-il
d'apporter, sans contre-partie de contrôle, l'ap-
point décisif du crédit de la France? Question
vitale, s'il en fut.
Poursuivons : faute de ces opérations finan-
cières, comment procéder aux grands travaux
publics nécessaires pour donner à la Régence
figure de pays civilisé; comment établir un pro.
gramme de chemins de fer, et, en particulier,
comment construire cette voie ferrée qui doit
réunir la Tunisie à l'Algérie et qui deviendra
l'indispensable artère de notre sécurité africaine?
Or. le front de terre réclame absolument et rapi-
dement cette création.
Et le front de mer en réclame une autre : l'a
fondation à Bizerte d'une base d'opération na-
vale, d'un arsenal et d'un point d'appui pour la
flotte; mais une phrase de M. Barthélémy Saint-
H il aire dans les échanges de vues avec l'Angle-
terre, contemporains de l'expédition, est oppo-
sée à la France et les puissances en font état
pour retarder indéfiniment l'ouverture de ces
travaux.
Conséquence non moins grave : la vie écono-
mique de la Régence est rendue, pour ainsi dire,
impossible par l'enchevêtrement des avantages
économiques et autres que les puissances tirent
du texte des traités. La France, qui ouvre ses
portes aux produits tunisiens, ne jouit, dans la
Régence, pour ses propres produits, d'aucun
avantage compensateur de ses sacrifices. Rien
n'étant au point, tout végète. L'indigène souf-
fre et le colon hésite.
D'autres précisions et d'autres clartés sont
nécessaires, par exemple pour régler la situa-
tion des étrangers, lie régime judiciaire, le ré-
gime de l'a naturalisation, le régime des Ecoles,
etc., etc. Et tout cela est subordonné à la valeur
assez arbitraire attribuée à de vieux accords re-
montant aux temps où la Régence était consi-
dérée comme un pays « barbaresque » — ne
disons pas « barbare ». Ce poids-mort de quinze
ou vingt traités, dont quelques-uns remontent au
temps de Louis XIV, arrête l'élan qui doit por-
ter la Tunisie à un degré de civilisation supé-
rieure.
'Comment la Tunisie lût lîkérce
des traités internationaux
Ces difficultés, confirmées par la volonté dé-
clarée des puissances de ne laisser porter aucune
atteinte au statu quo conventionnel, troublaient
les nuits du nouveau directeur du service des
Protectorats au ministère des Affaires Etran-
gères, qui, héritier de la tradition, de Jules
Ferry, était rentré au Quai d'Orsay avec le
dessein bien arrêté de faire tout le possible pour
achever l'œuvre coloniale à peu près interrompue
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