**Maladie de la fève du caféier. (I.-B. WAI.LACF, [Tropical \griculiurisf, vol.
tt, 4, lihi2-\. — Une maladie des fèves de caféiers, signalée au Tanganvika.
en 1931 et dont Nematospora Coryli Peglion avait été jugé responsable, est de n.ou\eau mentionnée, mais, à l'organisme précédent, on a trouvé N. gossypi asso- cié. Les deux espèces sont parasites de diverses récoltes, du cotonnier notamment, et cette plante est une source possible d'infection. L'infection s'est répandue aussi eri Uganda (district de Toco) et dans diverses parties du Kenya ; elle est une menace jTave pour les catélerales un examen à première vue ne permet pas de la déceler A- décrit les cultures qui ont été faites (Je ces organismes.
**Relations entre la présence de corpuscules intracellulaires et la mala- die du Nanisme chez le riz. FUKUSHI T. (Rev. Appl. rnvc., XI, 1932). —
Le riz au Japon est assez souvent sujet à une maladie caractérisée par la présence de taches claires sur les feuilles et une extrême réduction de tout l'appareil végé- tatif. Cette maladie est transmissible par un Cicadellide, Nephotettix apicaulis.
L'A. suppose que l'agent producteur de la maladie est un microorganisme qu'il a trouvé dans les cellules des plantes infectées. Ce microorganisme d'un diamètre e 2,5 à 3,5 u est d'ordinaire situé dans le voisinage immédiat du noyau.
Ni Importation de bois de greffe et de stumps greffés d'Hévéa. R.-K.-S.
(-RRAY (The Tropical Agriculturist, vol. LXXX, n°. 1, January 1933. — 1) Ce rapport a été écrit sur les instructions du « Board of Management of the Rubber search Scheme » qui a émis cette suggestion que l'importation du bois de greffe et des stumps greffés d'Hévéa devrait être interdit afin d'éviter l'introduction à Ceylan de nouvelles maladies ; 2° Ce sujet fut déjà étudié antérieurement en 1929 ;'1 la suite d'une importation de Java suspectée d'avoir introduit Phylophlora !'"h))iVoi-a, Clé champignon à depuis causé de sérieux dommages à de jeunes pousses dans les pépinières à bois de greffe ; 3° Des expériences ont été faites à Ceylan et en Malaisie dans le but de rechercher une méthode de désinfection du bois de greffe qui soit bon marché, facile, efficace et inoffensive. Ce travail n'a pas encore a teint un stade où des recommandations bien définies puissent être faites ; 4° La reglementation actuelle régissant l'importation du matériel d'Hévéa constitue une sauvegarde suffisante contre l'entrée à Ceylan de quelque matériel sur lequel la maladie est développée mais elle n'assure pas l'exclusion d'organismes offensifs ( 'at latent : ;')° l)uoique l'on soupçonne que le « die back » des pousses causé par. Phytophtora palmivora ait eu pour origine du bois de greffe importé, cette maladie est maintenant si largement répandue à Ceylan qu'on ne peut plus envisager les nouvelles importations comme des sources d'introduction ; 6° Il - 8 toujours possibilité d'introduire de nouvelles maladies avec du matériel d'im- putation mais on n'a actuellement aucune raison d'appréhension spéciale à ce :-U.lel jo ()II peut employer l'une des deux méthodes suivantes, pour sauvegarder dans l'avenir l'industrie du caoutchouc de l'introduction de nouvelles maladies ci d'autres pays : a) prohibition absolue d'importation de tout plant ou partie de plante de l'Hévéa. Une mesure aussi énergique ne peut se justifier que par l'exis- tence dans un pays exportateur d'une maladie qui, si elle était introduite à Ceylan, constituerait une sérieuse menace à la santé des plantations ; b) désinfection de tout le matériel d'Hévéa importé. Lorsqu'un traitement approprié de désinfection
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