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- SOMMAIRE DU N° 20
- Le marché du sucre en Extrême-Orient L'industrie et le commerce du sucre à Hongkong, par M. Réau, Vice-consul de France, à Hongkong.
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- Renseignements:
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- Isobares du mois de juillet 1903.
- Observations météorologiques de l'Indo-Chine pendant le mois de juin 1903.
RAPPORT
SUR LES
GISEMENTS ALLUVIONNAIRES D'OR DU MÉKHONG
Au cours de notre récent voyage d'étude au Laos, qui a eu lieu en mars-avril
dernier, nous avons recueilli des renseignements auprès de diverses personnes,
tant françaises qu'indigènes, sur les gisements alluvionnaires d'or de ce pays
qui sont, assurément, très nombreux. Il nous a été donné de voir quatre de ces
gisements, deux sur les bords du fleuve Mékhong près de Vientiane et de Nong
kay, le troisième au lieu dit Va-pha-Sanane, sur la rivière de Nam-sang, en nous
rendant de Borrikan à Xieng-khouang; le quatrième dans le lit d'un ruisseau,
près du village de Moung-pane, à 15 kilomètres au nord de Xhieng-khouang.
Nous décrirons dans ce rapport les gîtes que nous avons vus sur les bords du
Mékhong et nous présenterons, à ce sujet, quelques observations ayant trait au
prolongement, que nous considérons comme très certain, de ces gîtes sur la
rive droite du fleuve.
Nous ajouterons à notre description quelques réflexions, au point de vue
économique, sur l'avenir possible de ces gîtes, et plus généralement de tous les
gîtes similaires qui peuvent exister, et qui existent au Laos.
SITUATION DES GITES
Le premier des gîtes que nous avons reconnu exister sur le fleuve Mékhong,
est situé au lieu appelé dans le pays llat-khon-Kheng, et qui est marqué sur la
carte au 1/500. 000e, dont nous reproduisons un extrait ci-après, sous le nom de
Dong-khieu, à 20 kilomètres environ en aval de Vientiane; nous avons mis près
de quatre heures, en sampan, pour descendre de Vientiane à Dong-khieu.
Le second point est à moins d'une heure de sampan de Nong-khay, en des-
cendant le Mékhong ; il est connu sous le nom de Hat-kham.
BULLETIN ÉCONOMIQUE 35
SUR LES
GISEMENTS ALLUVIONNAIRES D'OR DU MÉKHONG
Au cours de notre récent voyage d'étude au Laos, qui a eu lieu en mars-avril
dernier, nous avons recueilli des renseignements auprès de diverses personnes,
tant françaises qu'indigènes, sur les gisements alluvionnaires d'or de ce pays
qui sont, assurément, très nombreux. Il nous a été donné de voir quatre de ces
gisements, deux sur les bords du fleuve Mékhong près de Vientiane et de Nong
kay, le troisième au lieu dit Va-pha-Sanane, sur la rivière de Nam-sang, en nous
rendant de Borrikan à Xieng-khouang; le quatrième dans le lit d'un ruisseau,
près du village de Moung-pane, à 15 kilomètres au nord de Xhieng-khouang.
Nous décrirons dans ce rapport les gîtes que nous avons vus sur les bords du
Mékhong et nous présenterons, à ce sujet, quelques observations ayant trait au
prolongement, que nous considérons comme très certain, de ces gîtes sur la
rive droite du fleuve.
Nous ajouterons à notre description quelques réflexions, au point de vue
économique, sur l'avenir possible de ces gîtes, et plus généralement de tous les
gîtes similaires qui peuvent exister, et qui existent au Laos.
SITUATION DES GITES
Le premier des gîtes que nous avons reconnu exister sur le fleuve Mékhong,
est situé au lieu appelé dans le pays llat-khon-Kheng, et qui est marqué sur la
carte au 1/500. 000e, dont nous reproduisons un extrait ci-après, sous le nom de
Dong-khieu, à 20 kilomètres environ en aval de Vientiane; nous avons mis près
de quatre heures, en sampan, pour descendre de Vientiane à Dong-khieu.
Le second point est à moins d'une heure de sampan de Nong-khay, en des-
cendant le Mékhong ; il est connu sous le nom de Hat-kham.
BULLETIN ÉCONOMIQUE 35
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