- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE
- INDUSTRIE, COMMERCE, FINANCES, STATISTIQUES
- .......... Page(s) .......... 357
- .......... Page(s) .......... 395
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 406
- .......... Page(s) .......... 406
- .......... Page(s) .......... 406
- .......... Page(s) .......... 407
- .......... Page(s) .......... 407
- .......... Page(s) .......... 407
- .......... Page(s) .......... 408
- .......... Page(s) .......... 408
- .......... Page(s) .......... 408
- .......... Page(s) .......... 409
- .......... Page(s) .......... 410
- .......... Page(s) .......... 410
- .......... Page(s) .......... 410
- .......... Page(s) .......... 410
LUTTE CONTRE LES MALADIES ET LES PARASITES
DU RIZ EN CULTURE
Il y a dix ans, par arrêté du Gouverneur général, en date du 1er juillet
1927, la police sanitaire végétale était établie en Indochine avec pour
objectifs :
a) La recherche des maladies des plantes cultivées et des insectes nui-
sibles à ces dernières et l'étude des moyens de les combattre ;
b) L'application, tant à l'importation et à l'exportation, que dans l'in-
térieur des pays de l'Union, des règlements de police sanitaire végétale.
Les mesures de protection phytosanitaire à l'importation furent fixées,
peu après, par arrêtés en date du 28 mars 1928. C'est à cet ensemble de
textes qu'on doit — entre autres avantages économiques — l'introduction
en Cochinchine et au Cambodge, de clones d'hévéa hauts producteurs
créés en Malaisie et aux Indes-Néerlandaises.
La conception d'une police phytosanitaire intérieure ne fut pas suivie
d'une réalisation aussi prompte.
C'est pourtant là chose souhaitable.
En effet :
Quatre obligations dominent la lutte contre les parasites des plantes
cultivées. Ce sont :
t
1°) la connaissance du parasite ;
2°) la connaissance des moyens à lui opposer ;
3°) la rapidité d'exécution ;
4°) la coordination des efforts.
Ces quatre obligations sont-elles actuellement satisfaites ? non, car :
1°) Le praticien, sollicité par d'autres travaux et ne pouvant déceler les
premiers signes de parasitisme .- souvent peu visibles — hésite ou se
méprend sur les causes de dépérissement de ses cultures.
2°) Dans ces conditions, il lui est impossible d'établir un programme
rationnel de lutte.
3°) L'impossibilité où il est de reconnaître les premiers dégâts l'em-
pêche naturellement d'y parer sur-le-champ, avant leur extension.
DU RIZ EN CULTURE
Il y a dix ans, par arrêté du Gouverneur général, en date du 1er juillet
1927, la police sanitaire végétale était établie en Indochine avec pour
objectifs :
a) La recherche des maladies des plantes cultivées et des insectes nui-
sibles à ces dernières et l'étude des moyens de les combattre ;
b) L'application, tant à l'importation et à l'exportation, que dans l'in-
térieur des pays de l'Union, des règlements de police sanitaire végétale.
Les mesures de protection phytosanitaire à l'importation furent fixées,
peu après, par arrêtés en date du 28 mars 1928. C'est à cet ensemble de
textes qu'on doit — entre autres avantages économiques — l'introduction
en Cochinchine et au Cambodge, de clones d'hévéa hauts producteurs
créés en Malaisie et aux Indes-Néerlandaises.
La conception d'une police phytosanitaire intérieure ne fut pas suivie
d'une réalisation aussi prompte.
C'est pourtant là chose souhaitable.
En effet :
Quatre obligations dominent la lutte contre les parasites des plantes
cultivées. Ce sont :
t
1°) la connaissance du parasite ;
2°) la connaissance des moyens à lui opposer ;
3°) la rapidité d'exécution ;
4°) la coordination des efforts.
Ces quatre obligations sont-elles actuellement satisfaites ? non, car :
1°) Le praticien, sollicité par d'autres travaux et ne pouvant déceler les
premiers signes de parasitisme .- souvent peu visibles — hésite ou se
méprend sur les causes de dépérissement de ses cultures.
2°) Dans ces conditions, il lui est impossible d'établir un programme
rationnel de lutte.
3°) L'impossibilité où il est de reconnaître les premiers dégâts l'em-
pêche naturellement d'y parer sur-le-champ, avant leur extension.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Auteurs similaires Indochine française Indochine française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Indochine française" or dc.contributor adj "Indochine française")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 198/260
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6536993v/f198.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6536993v/f198.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6536993v/f198.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6536993v
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6536993v