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- INDUSTRIE, COMMERCE, FINANCES, STATISTIQUES
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NOTICE SUR LES ROUTES EN TERRE
POSITION DE LA QUESTION.
Le prix d'établissement d'une route empierrée est, pour la chaussée pro-
prement dite, seulement, de l'ordre du millier ou de plusieurs milliers
de piastres, par kilomètre ; on doit y ajouter la dépense des terrassements
qui supportent la chaussée, et des divers ouvrages d'art, dont le prix est
d'autant plus élevé que la route est plus large.
Fréquemment, il arrive que les avantages économiques consécutifs à
l'ouverture de la route ne justifient pas, tout au moins dès le début, des
frais d'investissement aussi élevés. C'est le cas des voies de pénétration
administrative, des voies rurales, des voies d'exploitation forestière.
Il peut paraître préférable de proportionner les dépenses aux besoins
immédiats des régions traversées, de créer des voies de communication
peu coûteuses mais suffisantes pour la faible intensité de circulation qui
s'y produira au début.
On pourrait ainsi, avec la même dépense, ouvrir un plus grand nom-
bre de kilomètres de route ; une surface plus vaste de pays en profiterait,
et sa mise en valeur s'en trouverait hâtée.
Ce n'est que lorsque l'accentuation du développement économique
des régions traversées le justifie que l'on pourra envisager de perfection-
ner ces routes pour en augmenter la capacité de circulation.
On arriverait ainsi progressivement aux routes empierrées normales, là
où elles seront devenues nécessaires. Et la dépense n'en serait engagée que
lorsque cette nécessité se sera fait sentir.
C'est dans cet esprit qu'ont été faits les premiers essais de chaussée
non empierrée dite « route en terre ».
A
BUTS A ATTEINDRE.
1°) Obtenir à un prix de revient beaucoup plus bas que celui de la route
empierrée du type normal, une chaussée offrant le même agrément de
circulation et permettant le passage :
a) En saison sèche, de tous véhicules montés sur pneus, y compris
les poids lourds.
POSITION DE LA QUESTION.
Le prix d'établissement d'une route empierrée est, pour la chaussée pro-
prement dite, seulement, de l'ordre du millier ou de plusieurs milliers
de piastres, par kilomètre ; on doit y ajouter la dépense des terrassements
qui supportent la chaussée, et des divers ouvrages d'art, dont le prix est
d'autant plus élevé que la route est plus large.
Fréquemment, il arrive que les avantages économiques consécutifs à
l'ouverture de la route ne justifient pas, tout au moins dès le début, des
frais d'investissement aussi élevés. C'est le cas des voies de pénétration
administrative, des voies rurales, des voies d'exploitation forestière.
Il peut paraître préférable de proportionner les dépenses aux besoins
immédiats des régions traversées, de créer des voies de communication
peu coûteuses mais suffisantes pour la faible intensité de circulation qui
s'y produira au début.
On pourrait ainsi, avec la même dépense, ouvrir un plus grand nom-
bre de kilomètres de route ; une surface plus vaste de pays en profiterait,
et sa mise en valeur s'en trouverait hâtée.
Ce n'est que lorsque l'accentuation du développement économique
des régions traversées le justifie que l'on pourra envisager de perfection-
ner ces routes pour en augmenter la capacité de circulation.
On arriverait ainsi progressivement aux routes empierrées normales, là
où elles seront devenues nécessaires. Et la dépense n'en serait engagée que
lorsque cette nécessité se sera fait sentir.
C'est dans cet esprit qu'ont été faits les premiers essais de chaussée
non empierrée dite « route en terre ».
A
BUTS A ATTEINDRE.
1°) Obtenir à un prix de revient beaucoup plus bas que celui de la route
empierrée du type normal, une chaussée offrant le même agrément de
circulation et permettant le passage :
a) En saison sèche, de tous véhicules montés sur pneus, y compris
les poids lourds.
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