Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1901-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 août 1901 01 août 1901
Description : 1901/08/01 (A4,N38). 1901/08/01 (A4,N38).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65367935
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/10/2013
La culture du riz
en Haute-Italie
Comme cela ressort de faits précédemment exposés, il y a en
allG deux sortes de rizières : les rizières permanentes (stabile), les
riuères d'assolement (a vicènda).
On reproche à la rizière permanente d'épuiser le sol (ceci est
Surtout vrai avec la vieille culture) et de laisser dans un état tel
qu'on ne puisse faire suivre immédiatement la rizière d'une autre
culture, un repos de 6 mois et même d'un an pouvant être
necessaire pour passer, dans ce cas, de la culture du riz à une
autre. Enfin la rizière permanente a été jugée incompatible avec
Une bonne hygiène publique.
La rizière d'assolement succédant temporairement à d'autres
cultures dans la rotation (pré. froment, maïs, pré surtout) et
n'occupant la terre que 3 ou 4 ans, d'ordinaire, et souvent moins,
offre de moindres inconvénients au point de vue de l'hygiène, tandis
que son intervention dans la rotation joue un rôle très important
en Italie.
D'un côté, en effet, la mise en rizière d'un terrain précédemment
Poteur d'autres cultures fait sûrement périr les mauvaises herbes
fUI, l'ayant envahi, exigeraient de gros frais de sarclage (1). De
l'autre, la survenance de la rizière dans l'assolement est particulière-
ment favorable à la formation des prairies temporaires qui leur
r" ) D'ailleurs lorsque, après quelques années consécutives de culture en
riziè'6' les végétaux palustres devenus trop envahissants, exigeraient, à leur
ur, de trop gros frais de sarclage, le retour des cultures sèches en a immé-
aternent raison.
en Haute-Italie
Comme cela ressort de faits précédemment exposés, il y a en
allG deux sortes de rizières : les rizières permanentes (stabile), les
riuères d'assolement (a vicènda).
On reproche à la rizière permanente d'épuiser le sol (ceci est
Surtout vrai avec la vieille culture) et de laisser dans un état tel
qu'on ne puisse faire suivre immédiatement la rizière d'une autre
culture, un repos de 6 mois et même d'un an pouvant être
necessaire pour passer, dans ce cas, de la culture du riz à une
autre. Enfin la rizière permanente a été jugée incompatible avec
Une bonne hygiène publique.
La rizière d'assolement succédant temporairement à d'autres
cultures dans la rotation (pré. froment, maïs, pré surtout) et
n'occupant la terre que 3 ou 4 ans, d'ordinaire, et souvent moins,
offre de moindres inconvénients au point de vue de l'hygiène, tandis
que son intervention dans la rotation joue un rôle très important
en Italie.
D'un côté, en effet, la mise en rizière d'un terrain précédemment
Poteur d'autres cultures fait sûrement périr les mauvaises herbes
fUI, l'ayant envahi, exigeraient de gros frais de sarclage (1). De
l'autre, la survenance de la rizière dans l'assolement est particulière-
ment favorable à la formation des prairies temporaires qui leur
r" ) D'ailleurs lorsque, après quelques années consécutives de culture en
riziè'6' les végétaux palustres devenus trop envahissants, exigeraient, à leur
ur, de trop gros frais de sarclage, le retour des cultures sèches en a immé-
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