a) 3 extensions de surfaces égales, plantées dans les mêmes conditions en 1927, 192, 1929 ; - b) 4 possibilités différentes sont suivies : Cas C. - La régénération totale est entreprise avec le système, du garrot et réalisée entièrement en yxi seul exercice.
Cas A. — Disposant des mêmes moyens de main-d'œuvre de greffage que dans le cas C, la régénération est entreprise par la méthode usuelle, avec ligature de toile paraffinée, et la réalisation est poussée au maximum de vitesse possible, c'est-à-dire, la plantation étant divisée en 99 parties, dont 33 pour chaque extension, on régénère, suivant les chapitres précé- dents sur les, rendements : 45 parties une première année ; 45 parties une seconde année ; , -- "9 parties une troisième année.
Cas B. ---.!. La régénération est entreprise par la même méthode que A mais réalisée en trois étapes, une extension par an.
Cas D. — La plantation de seedlings tout venant n'est pas régénérée.
- i c) La régénération est entreprise lorsque l'extension la plus ancienne a quatre ans de plantation. Aucun arbre ne dépasse quatre ans de plan- tation sans être régénéré. On peut régénérer simultanément des arbres ayant deux, trois et quatre ans de plantation. - - d) La mise en saignée se fait après un délai de quatre années révolues, compté de l'époque de la régénération. D'accord avec les faits connus ; Les arbres de la première extension sont saignés l'année 9, avec deux <' ans de retard ; Les arbres de la deuxième extension sont saignés l'année 8, avec un an de retard ;
Les arbres de la troisième extension sont saignés l'année 7, sans aucun retard. l
e) Les rendements des arbres régénérés, par rapport aux seedlings, sont ceux correspondant à des saignées spécifiques relativement modérées, n'ayant pas pour conséquence le développement du brown bast, et non pas les valeurs relevées ordinairement dans les revues spéciales.
Il n'est pas fait de différence entre la production première des régé- nérations sur des arbres de quatre, trois ou deux ans. Un peu forte pour les uns, un peu faible pour les autres, on admet, avec la moyenne mo- dérée adoptée pour le chiffrage, qu'il y a compensation.
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