Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1931-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 juillet 1931 01 juillet 1931
Description : 1931/07/01 (A34,SECTB)-1931/07/31. 1931/07/01 (A34,SECTB)-1931/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65314673
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/09/2013
— 631 B —
mousson précoces et la présence d'hyperparasites. S'il y a des pluies de
son en juin-juillet, les générations précoces sont plus ou moins
anéanties, car les fleurs et les boutons parasités tombent à terre. ».
Vel~t. Le vent, qui ne sem ble pas avoir une grande influence dans
la V:nt: L vent, qui ne smbe pas avoir une grande influence dans
la dissémination des gros coléoptères, doit en avoir une non négligeable
lorsqu'il s'agit de lépidoptères, de diptères et d'hémiptères. Parmi ces
delIiers certains sont des agents de propagation de maladies cryptoga-
hIqUes des plantes de nos régions (ex. : pucerons dans les maladies de
la canne, dans l'helminthosporiose de l'hévéa, etc.).
Remarque; -— Tous les facteurs qui viennent d'être passés en revue
ont également une grosse importance dans l'élevage des hyperparasites
auxiliaires de l'homme. Leur connaissance serait précieuse.
Observations qu'il serait utile de faire. -— Il y aurait un vif intérêt à
faire les observations suivantes :
1° date d'apparition sensible du parasite ;
2° habitat de ce dernier, aspect des dégâts, appréciation de leur im-
portance ;
a relevés météorologiques pour cette époque de l'année (température,
insolation, humidité relative de l'air, pluies, vents) ; .-
*
4° si possible, indication de la présence éventuelle du parasite dans la
région et, dans l'affirmative, son ancienneté ;
0° si possible également, indication de la présence d'hyperparasites.
Prélèvement et envoi d'échantillons, — Il serait également très sou-
haitable de pouvoir centraliser les matériaux relatifs aux parasites ani-
1113ux des plantes cultivées afin de faciliter la détermination de ceux-ci
et leur étude ultérieure. Les envois seront faits à l'Institut de Recherches
Agronomiques, Division de Phytopathologie. Les insectes parasites dévo-
rent ou piquent les feuilles, vivent dans les boutons floraux ou dans les
fruits, attaquent les racines ou creusent des galeries dans les tiges. Ils
déterminent parfois des tumeurs sur l'un ou l'autre de ces organes.
Lorsque l'attaque est généralisée ou lorsque les tiges sont atteintes, les
feuilles - jaunissent, se flétrissent, les fleurs avortent et tombent ou les
j, Ults n'arrivent pas à maturité: Toutes les fois que l'on constate des
dégâts de cette nature, on doit penser à l'action possible d'insectes. Lors-
que le végétal dépérit très rapidement, il peut se trouver sur les racines
des nématodes ou des larves de mélolonthides. Déterrer pour examen l
plat'le malade. • ••*
mousson précoces et la présence d'hyperparasites. S'il y a des pluies de
son en juin-juillet, les générations précoces sont plus ou moins
anéanties, car les fleurs et les boutons parasités tombent à terre. ».
Vel~t. Le vent, qui ne sem ble pas avoir une grande influence dans
la V:nt: L vent, qui ne smbe pas avoir une grande influence dans
la dissémination des gros coléoptères, doit en avoir une non négligeable
lorsqu'il s'agit de lépidoptères, de diptères et d'hémiptères. Parmi ces
delIiers certains sont des agents de propagation de maladies cryptoga-
hIqUes des plantes de nos régions (ex. : pucerons dans les maladies de
la canne, dans l'helminthosporiose de l'hévéa, etc.).
Remarque; -— Tous les facteurs qui viennent d'être passés en revue
ont également une grosse importance dans l'élevage des hyperparasites
auxiliaires de l'homme. Leur connaissance serait précieuse.
Observations qu'il serait utile de faire. -— Il y aurait un vif intérêt à
faire les observations suivantes :
1° date d'apparition sensible du parasite ;
2° habitat de ce dernier, aspect des dégâts, appréciation de leur im-
portance ;
a relevés météorologiques pour cette époque de l'année (température,
insolation, humidité relative de l'air, pluies, vents) ; .-
*
4° si possible, indication de la présence éventuelle du parasite dans la
région et, dans l'affirmative, son ancienneté ;
0° si possible également, indication de la présence d'hyperparasites.
Prélèvement et envoi d'échantillons, — Il serait également très sou-
haitable de pouvoir centraliser les matériaux relatifs aux parasites ani-
1113ux des plantes cultivées afin de faciliter la détermination de ceux-ci
et leur étude ultérieure. Les envois seront faits à l'Institut de Recherches
Agronomiques, Division de Phytopathologie. Les insectes parasites dévo-
rent ou piquent les feuilles, vivent dans les boutons floraux ou dans les
fruits, attaquent les racines ou creusent des galeries dans les tiges. Ils
déterminent parfois des tumeurs sur l'un ou l'autre de ces organes.
Lorsque l'attaque est généralisée ou lorsque les tiges sont atteintes, les
feuilles - jaunissent, se flétrissent, les fleurs avortent et tombent ou les
j, Ults n'arrivent pas à maturité: Toutes les fois que l'on constate des
dégâts de cette nature, on doit penser à l'action possible d'insectes. Lors-
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