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- SOMMAIRE
- I. - PARTIE DOCUMENTAIRE
- II. - NOTES ET RENSEIGNEMENTS
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- III. - PARTIE COMMERCIALE
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- IV. - CHRONIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
— 62-
L'Heterodera parasite
dans le système radiculaire du caféier
La Quinzaine coloniale, dans son numéro du 25 janvier dernier, donne,
d'après la « Commission de parasitologie agricole » du Mexique, les moyens de
combattre ce nématode qui cause, dans la plupart des plantations de caféiers,
des dégâts considérables.
Ces procédés consistent: soit 1° à injecter sur la surface du sol, à l'aide
d'une seringue Vermorel à 4 pouces, de la gazoline ou de la benzine, à la dose
de 1/5 à 1/4 d'once par arbre et de recommencer au bout de deux mois ; soit
2° à répandre du sulfate de fer à la dose de 1 1/2 à 3 onces autour des arbres
atteints; ou bien à injecter dans le sol du sulfure de carbone à la dose de un
peu moins d'une once par yard carré—en trois applications—procédé très efficace
mais coûteux.
Enfin, on peut employer le carbure de calcium à la dose de 1 pour 250
d'eau. Il suffit d'injecter le sol à raison de 1 once 1/2 par yard carré en quatre
ou cinq injections.
Semoirs à riz
M. Main, ingénieur agronome, publie, dans le Journal d'Agriculture tropi-
cale du 31 janvier 1908, une assez longue étude sur les semoirs à riz.
L'auteur, après avoir constaté l'intérêt qu'il y aurait, en riziculture, à faire
usage de semoirs mécaniques, constate qu'il n'existe pas à l'heure actuelle
d'appareils de ce genre présentant des conditions de bon fonctionnement.
D'après lui, le problème du semis mécanique se réduit à ceci : chercher un
bon modèle de semoirs à blé, à cuillère de préférence, et l'étudier surtout au
point de vue des distributeurs, du réglage et de la forme des socs.
M. Main admet, en effet, que pour les semailles du riz, le semis dans l'eau
ne s'impose pas. Il suffit, à son avis, de semer en terrain très humide, mais
cependant consistant, puis d'inonder la rizière sous quelques centimètres d'eau.
La question qui se pose uniquement pour lui est donc de transformer en
semoir à riz un appareil déjà employé dans une autre culture et notamment
dans celle des céréales. Pour effectuer cette transformation, il suffira d'élargir
les jantes de l'appareil choisi au moyen de bandes de tôle rapportées à chaud ou
rivées, de supprimer le nombre de socs et de distributeurs voulus, pour donner
aux lignes l'écartement nécessaire. Les semoirs à céréales sont généralement
construits pour laisser 15 centimètres ou 17 centimètres entre les lignes. En
supprimant un distributeur sur deux, cela donne les lignes à 0 m. 30 ou
0 m. 35, dimensions convenables pour le riz ; la suppression de deux distributeurs
sur trois donnerait 0 m. 45 et 0 m. 52, chiffres qui peuvent être avantageux dans
certains pays.
Dans tous les cas, l'auteur pense qu'au lieu de construire un appareil
délicat pour des conditions très spéciales (semis effectués dans l'eau), il est
plus économique et moins hasardeux de modifier ces conditions, dans la mesure
du possible, pour les rapprocher de la normale, puis de partir d'un instrument
existant, bien étudié et éprouvé auquel il n'y a plus que quelques retouches à
apporter pour en faire un instrument utilisable.
L'Heterodera parasite
dans le système radiculaire du caféier
La Quinzaine coloniale, dans son numéro du 25 janvier dernier, donne,
d'après la « Commission de parasitologie agricole » du Mexique, les moyens de
combattre ce nématode qui cause, dans la plupart des plantations de caféiers,
des dégâts considérables.
Ces procédés consistent: soit 1° à injecter sur la surface du sol, à l'aide
d'une seringue Vermorel à 4 pouces, de la gazoline ou de la benzine, à la dose
de 1/5 à 1/4 d'once par arbre et de recommencer au bout de deux mois ; soit
2° à répandre du sulfate de fer à la dose de 1 1/2 à 3 onces autour des arbres
atteints; ou bien à injecter dans le sol du sulfure de carbone à la dose de un
peu moins d'une once par yard carré—en trois applications—procédé très efficace
mais coûteux.
Enfin, on peut employer le carbure de calcium à la dose de 1 pour 250
d'eau. Il suffit d'injecter le sol à raison de 1 once 1/2 par yard carré en quatre
ou cinq injections.
Semoirs à riz
M. Main, ingénieur agronome, publie, dans le Journal d'Agriculture tropi-
cale du 31 janvier 1908, une assez longue étude sur les semoirs à riz.
L'auteur, après avoir constaté l'intérêt qu'il y aurait, en riziculture, à faire
usage de semoirs mécaniques, constate qu'il n'existe pas à l'heure actuelle
d'appareils de ce genre présentant des conditions de bon fonctionnement.
D'après lui, le problème du semis mécanique se réduit à ceci : chercher un
bon modèle de semoirs à blé, à cuillère de préférence, et l'étudier surtout au
point de vue des distributeurs, du réglage et de la forme des socs.
M. Main admet, en effet, que pour les semailles du riz, le semis dans l'eau
ne s'impose pas. Il suffit, à son avis, de semer en terrain très humide, mais
cependant consistant, puis d'inonder la rizière sous quelques centimètres d'eau.
La question qui se pose uniquement pour lui est donc de transformer en
semoir à riz un appareil déjà employé dans une autre culture et notamment
dans celle des céréales. Pour effectuer cette transformation, il suffira d'élargir
les jantes de l'appareil choisi au moyen de bandes de tôle rapportées à chaud ou
rivées, de supprimer le nombre de socs et de distributeurs voulus, pour donner
aux lignes l'écartement nécessaire. Les semoirs à céréales sont généralement
construits pour laisser 15 centimètres ou 17 centimètres entre les lignes. En
supprimant un distributeur sur deux, cela donne les lignes à 0 m. 30 ou
0 m. 35, dimensions convenables pour le riz ; la suppression de deux distributeurs
sur trois donnerait 0 m. 45 et 0 m. 52, chiffres qui peuvent être avantageux dans
certains pays.
Dans tous les cas, l'auteur pense qu'au lieu de construire un appareil
délicat pour des conditions très spéciales (semis effectués dans l'eau), il est
plus économique et moins hasardeux de modifier ces conditions, dans la mesure
du possible, pour les rapprocher de la normale, puis de partir d'un instrument
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