Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 novembre 1930 01 novembre 1930
Description : 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30. 1930/11/01 (A23,N261)-1930/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748997
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 978
- .......... Page(s) .......... 999
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- .......... Page(s) .......... 1000
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- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 1007
046 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
parisienne et tout l'intérieur du pays sont les princip "1
facteurs de son succès. La présence sur ce point de noIl1
courtiers et commissionnaires avertis en bois de toutes sortes;
leur organisation puissante, font aussi du Havre, non seulee
le premier marché français de bois coloniaux, mais peut ois
le marché international le mieux approvisionné pour leS b
exotiques de toutes sortes.
Bordeaux s'est organisé plus récemment et cherche ega
à conquérir une place importante pour la réception et la v-el1 t
des bois coloniaux. Le marché de Bordeaux reste évi etn teS
très loin derrière celui du Havre. Néanmoins, les efforts te" et
depuis plusieurs années par la Chambre de Commerce de
l'Administration du port autonome, la création d'un Bureau
conditionnement des bois, sont amplement récompen
Bordeaux reçoit et distribue dès maintenant les bois colonlre
pour tout le Sud-Ouest de la France et fait en outre llOt11 re
d'expéditions sur Paris, sur la région lyonnaise et sur
Suisse. t
Marseille, par contre, ne paraît pas encore avoir réalisé, eo
obtenu tout ce qui est nécessaire pour assurer l'alimentation d it
marché suivi. Par sa situation exceptionnelle, cette place de
pouvoir prendre rapidement, tant pour l'écoulement deS bois
coloniaux dans la vallée du Rhône, que pour la réexporta
vers les pays méditerranéens, un développement intéressa
Marseille est d'autre part tout particulièrement désigné P
recevoir les bois provenant de Madagascar et d'Indochine- ,
Des efforts qui ne sont pas négligeables sont faits par d'atltre
ports pour attirer des bois coloniaux. Rouen notamment,cod1*16
à en recevoir directement des quantités appréciables ; Dunkerq tS
Nantes, en reçoivent également. Enfin, quelques chargsic
se répartissent exceptionnellement entre des ports secondaIt
Cherbourg, Brest, La Rochelle-Palice, Sète, etc.
L'industriel doit tendre, en effet, à réduire le plus possible 19
distante à faire parcourir par chemin de fer aux bois reçufl tlt
lui, surtout lorsqu'il achète par lots importants et directeJX1 t
aux exploitants. ,
Ajoutons que les conditions de réception, de garantIe des
marchés conclus avec les exploitants ou les importateurs
dès maintenant assez bien établies pour qu'il n'y ait au
crainte à avoir sur la régularité et la qualité defl livraisons,
parisienne et tout l'intérieur du pays sont les princip "1
facteurs de son succès. La présence sur ce point de noIl1
courtiers et commissionnaires avertis en bois de toutes sortes;
leur organisation puissante, font aussi du Havre, non seulee
le premier marché français de bois coloniaux, mais peut ois
le marché international le mieux approvisionné pour leS b
exotiques de toutes sortes.
Bordeaux s'est organisé plus récemment et cherche ega
à conquérir une place importante pour la réception et la v-el1 t
des bois coloniaux. Le marché de Bordeaux reste évi etn teS
très loin derrière celui du Havre. Néanmoins, les efforts te" et
depuis plusieurs années par la Chambre de Commerce de
l'Administration du port autonome, la création d'un Bureau
conditionnement des bois, sont amplement récompen
Bordeaux reçoit et distribue dès maintenant les bois colonlre
pour tout le Sud-Ouest de la France et fait en outre llOt11 re
d'expéditions sur Paris, sur la région lyonnaise et sur
Suisse. t
Marseille, par contre, ne paraît pas encore avoir réalisé, eo
obtenu tout ce qui est nécessaire pour assurer l'alimentation d it
marché suivi. Par sa situation exceptionnelle, cette place de
pouvoir prendre rapidement, tant pour l'écoulement deS bois
coloniaux dans la vallée du Rhône, que pour la réexporta
vers les pays méditerranéens, un développement intéressa
Marseille est d'autre part tout particulièrement désigné P
recevoir les bois provenant de Madagascar et d'Indochine- ,
Des efforts qui ne sont pas négligeables sont faits par d'atltre
ports pour attirer des bois coloniaux. Rouen notamment,cod1*16
à en recevoir directement des quantités appréciables ; Dunkerq tS
Nantes, en reçoivent également. Enfin, quelques chargsic
se répartissent exceptionnellement entre des ports secondaIt
Cherbourg, Brest, La Rochelle-Palice, Sète, etc.
L'industriel doit tendre, en effet, à réduire le plus possible 19
distante à faire parcourir par chemin de fer aux bois reçufl tlt
lui, surtout lorsqu'il achète par lots importants et directeJX1 t
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Ajoutons que les conditions de réception, de garantIe des
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dès maintenant assez bien établies pour qu'il n'y ait au
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