cette année, c'est que la plus-value pour les importations eO
répartit sur un très grand nombre d'articles et affecte Ca quelque sorte l'ensemble du commerce. j.
Aucune importation exceptionnelle. On peut seulenj noter qu'en fin 1927, le commerce local, escomptant unerédle tion des tarifs d'entrée, avait différé ses approvisionnements, ce qi5 été cause, que le trafic de 1928 a été grossi de quelques t nt millions de marchandises qui, sans cette circonstance, aUl' '; porté sur 1927. de
Dans l'avance générale constatée dans les importations e 1928 les matériaux de construction occupent cependant une la spéciale qui est caractéristique elle-même de prospérité. M le bâtiment marche, tout marche, affirme un dicton popu et Durant les années précédentes, c'étaient surtout les machi~~ mécaniques, le matériel d'usine, les articles nécessaires a lont dustrie qui accusaient les grosses plus-values. Les uslDes riel aujourd'hui bien équipées et disposent en général d'un m g de premier ordre. L'activité se porte maintenant sur les rnal d'habitation et il faut reconnaître que l'industrie du bâtim ^t$ fait dans ces derniers temps des progrès considérables.
construction de l'Hôtel du Gouvernement a attiré dans la colO des architectes et des spécialistes qui ont beaucoup contribue à
modifier la technique locale. Le ciment armé s'avère deso le type de construction qui convient le mieux à notre g humide où très vite le mur de mœllons se désagrège, Ie te pourrit et le fer s'oxyde. Mais ce mode de construction colite cher et les maisons en bois et mur continuent à s'élever a COté lutter à la Martinique contre une spécialisation où le pay VS 3 classé en bon rang et qui lui assure une situation enviable. ne côté de certains inconvénients que l'on ne peut nier, la 0lllie présente l'avantage immense pour une région où les cycloneS lie 1 evable sont pas rares d'être une culture annuelle facilement re* après la tourmente. t ie Mais ce que l'on peut reprocher justement a l \11' rhumière c'est cette sorte de fascination qu'elle exerce tlte d'elle Elle absorbe à ce point les intelligences, les énergIeS, 1:1 initiatives, que rien n'existe à part elle. Le propriétaire de1, moindre parcelle de terrain se croit tenu d'avoir sa petite p l eV tation de canne, malgré le prix relativement peu élevé qcÓlte tirera et les risques nombreux qu'il court. En 1925, la re , les ayant été surabondante, les usines et distilleries ont refuse
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