Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 avril 1932 01 avril 1932
Description : 1932/04/01 (A25,N277)-1932/04/30. 1932/04/01 (A25,N277)-1932/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748856
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
- Aller à la page de la table des matières561
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 631
- Statistiques - Rapports:
- .......... Page(s) .......... 660
- .......... Page(s) .......... 666
- Guyane française: La population en 1931
- .......... Page(s) .......... 670
- Colonies françaises à gouvernement autonome: Importations de produits lainiers, bruts et manufacturés, au cours desannées 1912, 1913, 1925, 1926, 1927, 1928 et 1929
- .......... Page(s) .......... 678
- .......... Page(s) .......... 679
- .......... Page(s) .......... 682
- .......... Page(s) .......... 685
- .......... Page(s) .......... 689
- .......... Page(s) .......... 689
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 723
- .......... Page(s) .......... 724
- .......... Page(s) .......... 727
561, BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
au Conseil municipal, au Conseil général, au Conseil local.
Depuis 1906, m'a-t-on affirmé, l'on avait pas vu les magasin
du chef-lieu rester ouverts le jour d'une élection. Il y a donc
quelque chose de changé! J'en suis heureux et tous mes efior
tendront à ce que toujours dure cette atmosphère de sérénité
et de confiance.
Au cours de cette année 1931, qui s'éteindra bientôt, ail
lendemain même de la clôture de vos délibérations, il s'est
produit divers événements dont l'importance, pour nos éta
blissemeuts est capitale. Ce sont d'abord les inlassables iw
terventions de M. le docteur MOIGNIC, le si dévoué sénateur (le
l'Inde française, dont l'activité vigilante à la Haute AssCJW
blée a obtenu du Ministre des Colonies et du Ministre au
Budget la promesse que la moitié au moins le la « Rente du
sel » serait rendue à son normal et légitime bénéficiaire:
l'Inde française. C'est, ensuite, le voyage en Indochine de
M. Paul REYNAUD, -Ministre des Colonies, qui a permis à une
délégation de votre assemblée de prendre contact avec l'holn'
me d'Etat averti qui préside avec tant d'autorité aux destlneer
de la France d'outre-mer, en même temps qu'au Gouverneu
de l'Inde française de s'entretenir avec son chef.
Au cours des conversations que j'avais eu l'honneur d' avOIr
avec M. le Ministre des Colonies, celui-ci m'avait assuré 1
grâce à son insistance, son collègue du Budget avait conseJ
à rendre à l'Inde française la moitié au moins de la « neJl e
du sel » et que je pouvais considérer cette remise comme faite-
Puis, des nouvelles me parvenaient de sources autoflIl
qui me donnaient la quasi certitude que ce ne serait paS se ue
lement la moitié mais la totalité de la rente de l'Inde q S
le Gouvernement de la République demanderait aux Chambre
de rendre à l'Inde française. Je m'en réjouissais. $
Enfin, à Chandernagor, M. Paul REYNAUD, s'adressant ail te
nombreux notables venus le saluer, a pu déclarer que la
prochaine loi de finances rendrait à l'Inde française la tota,
lité de la « Rente du sel ».
Soyons profondément reconnaissants\ aux artisans de i1
à ceux qui obtiennent enfin pour l'Inde française, cette re
l
dont, durant des années et. des années, votre assemblee ^,a
cessé de revendiquer la propriété. ,
Que notre respectueuse reconnaissance soit expri. rlole 11
lement à un colonial, à un homme d'Etat que la France
au Conseil municipal, au Conseil général, au Conseil local.
Depuis 1906, m'a-t-on affirmé, l'on avait pas vu les magasin
du chef-lieu rester ouverts le jour d'une élection. Il y a donc
quelque chose de changé! J'en suis heureux et tous mes efior
tendront à ce que toujours dure cette atmosphère de sérénité
et de confiance.
Au cours de cette année 1931, qui s'éteindra bientôt, ail
lendemain même de la clôture de vos délibérations, il s'est
produit divers événements dont l'importance, pour nos éta
blissemeuts est capitale. Ce sont d'abord les inlassables iw
terventions de M. le docteur MOIGNIC, le si dévoué sénateur (le
l'Inde française, dont l'activité vigilante à la Haute AssCJW
blée a obtenu du Ministre des Colonies et du Ministre au
Budget la promesse que la moitié au moins le la « Rente du
sel » serait rendue à son normal et légitime bénéficiaire:
l'Inde française. C'est, ensuite, le voyage en Indochine de
M. Paul REYNAUD, -Ministre des Colonies, qui a permis à une
délégation de votre assemblée de prendre contact avec l'holn'
me d'Etat averti qui préside avec tant d'autorité aux destlneer
de la France d'outre-mer, en même temps qu'au Gouverneu
de l'Inde française de s'entretenir avec son chef.
Au cours des conversations que j'avais eu l'honneur d' avOIr
avec M. le Ministre des Colonies, celui-ci m'avait assuré 1
grâce à son insistance, son collègue du Budget avait conseJ
à rendre à l'Inde française la moitié au moins de la « neJl e
du sel » et que je pouvais considérer cette remise comme faite-
Puis, des nouvelles me parvenaient de sources autoflIl
qui me donnaient la quasi certitude que ce ne serait paS se ue
lement la moitié mais la totalité de la rente de l'Inde q S
le Gouvernement de la République demanderait aux Chambre
de rendre à l'Inde française. Je m'en réjouissais. $
Enfin, à Chandernagor, M. Paul REYNAUD, s'adressant ail te
nombreux notables venus le saluer, a pu déclarer que la
prochaine loi de finances rendrait à l'Inde française la tota,
lité de la « Rente du sel ».
Soyons profondément reconnaissants\ aux artisans de i1
à ceux qui obtiennent enfin pour l'Inde française, cette re
l
dont, durant des années et. des années, votre assemblee ^,a
cessé de revendiquer la propriété. ,
Que notre respectueuse reconnaissance soit expri. rlole 11
lement à un colonial, à un homme d'Etat que la France
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