Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 janvier 1932 01 janvier 1932
Description : 1932/01/01 (A25,N274)-1932/01/31. 1932/01/01 (A25,N274)-1932/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474882z
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
04 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
ployé en nouvelles parts du capital de la Caisse centrale. A la fin
des opérations et en tenant compte des plus-values déjà constatées
par la constitution de nombreuses caisses locales ayant en
quelque sorte devancé notre appel, ce dernier capital se trouvera
porté de 326.700 francs à 1.400.000 francs environ, tandis que
celui réuni des 34 caisses locales atteindra aux environs de
1.225.000 francs d'où les syndicats affiliés pourront tirer un
revenu global de plus de 50.0UO francs par an.
Quelques chiffres rapidement énoncés vous fixeront sur les
conditions favorables du fonctionnementde la Caisse centrale. Au
30 avril 1931, les effets de place s'élevaient à la somme totale de
2.778.822 francs dont 1.616.962 francs en prêts à moyen terme et
1.131.860 francs en prêts à court terme. Au 30 avril 1930, le
même compte se balançait à 927.352 francs seulement, ce qui
représente une augmentation de 200
Par contre, le capital, passant de 311 200 à 377.800 francs ne
s'est accru que de 66.600 francs (20 %) représentant, il faut le
remarquer, un effort individuel appréciable des membres des
syndicats. — Ajoutons que les frais généraux s'élèvent seule-
ment à 8.500 francs contre 4.446 en 1930 et que les effets en
souffrance se chiffrent à 537 fr. 50, contre 1.508 en 1930.
Le Crédit agricole, — dont il y a lieu d'attendre tant de
bienfaits pour la population rurale, au double point de vue
économique et social, — est donc, je le répète, en bonne voie
de prospérité. Nul doute que le produit des nouvelles taxes que
vous avez votées en sa faveur l'an dernier, ne vienne bientôt lui
imprimer un nouvel et puissant essor, en mettant la Caisse
centrale en mesure d'entrer enfin dans la voie des prêts à long
terme.
Là no s'arrêtera dailleurs pas la sollicitude de l'Administra-
tion qui, dans le même intérêt de l'émancipation économique et
sociale de la population rurale, envisage notamment l'acquisition
de terres à morceler et le morcellement de terres domaniales,
l'ouverture et lamélioration de chemins secondaires de pénétra-
tion dans les campagnes, la création de nouveaux moyens de
transport pour les produits agricoles, l'institution de sociétés
coopératives de vente, la construction de barrages-réservoirs et
de canaux d'irrigation, dans les zcnes assoiffées du Sud et de
l'Ouest, etc.,.
Tous ces projets sont subordonnés aux facteurs : temps,
finances, main-d'œuvre, d'où, pour en tenir compte, l'obligation
ployé en nouvelles parts du capital de la Caisse centrale. A la fin
des opérations et en tenant compte des plus-values déjà constatées
par la constitution de nombreuses caisses locales ayant en
quelque sorte devancé notre appel, ce dernier capital se trouvera
porté de 326.700 francs à 1.400.000 francs environ, tandis que
celui réuni des 34 caisses locales atteindra aux environs de
1.225.000 francs d'où les syndicats affiliés pourront tirer un
revenu global de plus de 50.0UO francs par an.
Quelques chiffres rapidement énoncés vous fixeront sur les
conditions favorables du fonctionnementde la Caisse centrale. Au
30 avril 1931, les effets de place s'élevaient à la somme totale de
2.778.822 francs dont 1.616.962 francs en prêts à moyen terme et
1.131.860 francs en prêts à court terme. Au 30 avril 1930, le
même compte se balançait à 927.352 francs seulement, ce qui
représente une augmentation de 200
Par contre, le capital, passant de 311 200 à 377.800 francs ne
s'est accru que de 66.600 francs (20 %) représentant, il faut le
remarquer, un effort individuel appréciable des membres des
syndicats. — Ajoutons que les frais généraux s'élèvent seule-
ment à 8.500 francs contre 4.446 en 1930 et que les effets en
souffrance se chiffrent à 537 fr. 50, contre 1.508 en 1930.
Le Crédit agricole, — dont il y a lieu d'attendre tant de
bienfaits pour la population rurale, au double point de vue
économique et social, — est donc, je le répète, en bonne voie
de prospérité. Nul doute que le produit des nouvelles taxes que
vous avez votées en sa faveur l'an dernier, ne vienne bientôt lui
imprimer un nouvel et puissant essor, en mettant la Caisse
centrale en mesure d'entrer enfin dans la voie des prêts à long
terme.
Là no s'arrêtera dailleurs pas la sollicitude de l'Administra-
tion qui, dans le même intérêt de l'émancipation économique et
sociale de la population rurale, envisage notamment l'acquisition
de terres à morceler et le morcellement de terres domaniales,
l'ouverture et lamélioration de chemins secondaires de pénétra-
tion dans les campagnes, la création de nouveaux moyens de
transport pour les produits agricoles, l'institution de sociétés
coopératives de vente, la construction de barrages-réservoirs et
de canaux d'irrigation, dans les zcnes assoiffées du Sud et de
l'Ouest, etc.,.
Tous ces projets sont subordonnés aux facteurs : temps,
finances, main-d'œuvre, d'où, pour en tenir compte, l'obligation
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