Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1928-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 septembre 1928 01 septembre 1928
Description : 1928/09/01 (A17,N129)-1928/09/30. 1928/09/01 (A17,N129)-1928/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748767
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
SUR LE PARASOLIER ET L'HERBE A ÉtÉPHANTS
EN AFRIQUE OCCIDETALE (1)
PAR
M. ÉTESSE,
Ingénieur agronome,
Inspecteur général d'agriculture coloniale,
Conseiller technique agricole du Ministère des Colonies.
A diverses reprises il est paru, dans VAgronomie coloniale, des
travaux émanant de divers auteurs et relatifs à l'emploi, comme
matière première pour la fabrication de la pâte à papier, de
certaines plantes des régions équatoriales et tropicales de la
région ouest africaine. Ces travaux techniques concluaient en
général à la possibilité d'emploi de ces plantes. Il était dès lors
nécessaire de connaître si les peuplements des essences étudiées
étaient suffisamment importants pour permettre d'envisager leur
exploitation par l'industrie privée et quelles étaient les facilités
qu'il serait possible de rencontrer dans les régions productrices.
Cette dernière étude a été entreprise par les soins de la Direction
des Affaires économiques en ce qui concerne le « parasolier»
et «l'herbe à éléphant" dans la région du golfe de Guinée; elle
a conduit aux résultats suivants, qu'il est intéressant de faire
connaître aux personnes qui s'occupent de cette question.
I0 EN CÔTE D'IVOIRE.
Les peuplements de et parasoliers", situés principalement dans
la basse côte, sont assez disséminés et en général peu importants.
Les champs d' (herbe à éléphant" sont par contre très nom-
breux et très étendus dans le centre de la colonie. Mais par
suite de la distance les frais de transport seraient assez élevés.
Les chutes d'eau sont également fréquentes, notamment dans
le cours inférieur de la Bia, du Comoe, du Bandama et du Sas-
sandra.
(1) Renseignements fournis par les colonies intéressées à la Direction des Affaires
économiques, Ministère des Colonies.
EN AFRIQUE OCCIDETALE (1)
PAR
M. ÉTESSE,
Ingénieur agronome,
Inspecteur général d'agriculture coloniale,
Conseiller technique agricole du Ministère des Colonies.
A diverses reprises il est paru, dans VAgronomie coloniale, des
travaux émanant de divers auteurs et relatifs à l'emploi, comme
matière première pour la fabrication de la pâte à papier, de
certaines plantes des régions équatoriales et tropicales de la
région ouest africaine. Ces travaux techniques concluaient en
général à la possibilité d'emploi de ces plantes. Il était dès lors
nécessaire de connaître si les peuplements des essences étudiées
étaient suffisamment importants pour permettre d'envisager leur
exploitation par l'industrie privée et quelles étaient les facilités
qu'il serait possible de rencontrer dans les régions productrices.
Cette dernière étude a été entreprise par les soins de la Direction
des Affaires économiques en ce qui concerne le « parasolier»
et «l'herbe à éléphant" dans la région du golfe de Guinée; elle
a conduit aux résultats suivants, qu'il est intéressant de faire
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Les peuplements de et parasoliers", situés principalement dans
la basse côte, sont assez disséminés et en général peu importants.
Les champs d' (herbe à éléphant" sont par contre très nom-
breux et très étendus dans le centre de la colonie. Mais par
suite de la distance les frais de transport seraient assez élevés.
Les chutes d'eau sont également fréquentes, notamment dans
le cours inférieur de la Bia, du Comoe, du Bandama et du Sas-
sandra.
(1) Renseignements fournis par les colonies intéressées à la Direction des Affaires
économiques, Ministère des Colonies.
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