Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
1510 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIÉS
Les semis donnent seulement lieu à un travail de e. JleS sement. L'indigène recherche de préférence le terrain d ancie g termitières où la plante vient particulièrement bien. Grâce au service de propagande les plantations deviennent plus iInpoItiJ}, et l'on voit, maintenant, des champs de coton assez étendus,^ digène, peu travailleur et négligent, donne peu de soins leS plantations et enlève assez irrégulièrement l'herbe qui gen les plants.. Da Pour améliorer les méthodes de culture, l'Ad, mi• rn-«®t1r1 atio* a poussé les chefs indigènes à ensemencer de vastes c^alïl^ coton où les soins donnés à la plante peuvent être sur g et où la sélection des graines sera obtenue. Des charrueS ont été commandées pour remuer le sol plus profondément et Ille en culture de plus vastes étendues. etits Le coton est filé à la main en se servant de deux P bâtonnets, Le fil de coton s'enroulant autour du bâtonnet pc e 11 de la masselotte. Les femmes apportent à cette besogue Urie grande dextérité. Le tissage est fait au moyen de 10e main des plus simples. Le coton est tissé en bandes, assez e ept de 4 à 9 centimètres appelées gabaggas. Le travail est s très soigné. 1 L'exploitation forestière au Cameroun.
L'exploitation forestière s'est à la fois développée et re' larisée. Les efforts, peu coordonnés du début, sont remplaces Ple des mises en coupe méthodiques et les procédés industriels gocc dent peu à peu aux manières de faire primitives. Une se de s'opère, d'autre part, entre les exploitants et ceux qui upe, moyens pécuniaires, n'ont su améliorer la tenue de leur aD n'ont pas obtenu le renouvellement de leurs permis. .gg L'exploitation forestière occupe au 31 décembre à peu "oif toute la superficie susceptible d'un rendement immédiat, a sa urc, les abords du chemin de fer du nord et dans une moindre Ines dU du chemin de fer du centre, les rives de la Dibombé, celleS eI1 Bas-Sanaga et du Wuri. Quatre-vingt-onze permis sont el, exploitation.
Une maladie de l'arachide. tel 1 e La culture de l'arachide a fait la fortune du Sénégal e elle peut contribuer grandement à la prospérité de nos autres P° sions d'Afrique. Il est de la plus haute importance de veillet"
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.89%.
