Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1928-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 novembre 1928 01 novembre 1928
Description : 1928/11/01 (A21,N238)-1928/11/30. 1928/11/01 (A21,N238)-1928/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64735030
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- Statistiques - Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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1142 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
t-il que des lots de ce thé lui soient envoyés ; il compte en obtenir
une vente intére3sante. Et, cependant, y a-t-il un marché plus
difficile que le marché anglais, où les produits des Dominions et
des colonies britanniques sont généralement préférés à tous
autres ?
(La Journée industrielle.)
AMÉRIQUE :
L'élevage à la Guadeloupe.
L'importance du cheptel de la Guadeloupe est encore loin
d'être en rapport avec les besoins locaux, et il serait désirable que
son développement en quantité et en qualité fit l'objet des préoc-
cupations de tous les intéressés. Les statistiques les plus récentes
l'évaluent à 122.000 têtes, qui comprennent 26.000 bovidés,
16.000 équidés (chevaux, mulets, ânes), 29.000 ovidés (moutons
et chèvres) et plus de 51.000 suidés.
Le cheval créole, de petite taille, sobre et robuste, rappelle 13
cheval arabe, dont il descend. Les animaux de plus grande taille
introduits n'ont jamais pu, dans les mêmes conditions d'entretien,
rivaliser d'endurance avec lui. Des sujets améliorés ont été obte-
nus par le croisement avec des étalons français Des sujets très
intéressants qui en étaient issus ont été présentés à un concours
agricole organisé à Basse-Terre en juin 1927.
Le cheval est employé presque uniquement à la locomotion-
Il est le seul animal qui, dans l'île, jouisse de quelques soinS,
encore que sa nourriture soit, dans la plupart des cas, trop exclu-
sivement herbacée. Le développement de l'automobilisme Pour-
rait sérieusement compromettre l'amélioration de la race; d
la fréquentation des quelques champs de courses de la colOllle
constitue encore pour les propriétaires un encouragement
précieux.
L'industrie mulassière, à laquelle s'intéressent quelques ele.
veurs des Vieux-Habitants et de Saint-Martin, donne déjà des
résultats appréciables. Il n'est qu'un point de la Guadeloupe t1
l'élevage constitue une industrie : c'est la petite dépendance e
Saint-Marti n, qui fournit encore des chevaux recherches, deS
mulets, des bœufs. Malheureusement, cette industrie n'y est paS
prospère, parce que les pâturages y sont assez maigres et que
l'eau y manque bien souvent.
t-il que des lots de ce thé lui soient envoyés ; il compte en obtenir
une vente intére3sante. Et, cependant, y a-t-il un marché plus
difficile que le marché anglais, où les produits des Dominions et
des colonies britanniques sont généralement préférés à tous
autres ?
(La Journée industrielle.)
AMÉRIQUE :
L'élevage à la Guadeloupe.
L'importance du cheptel de la Guadeloupe est encore loin
d'être en rapport avec les besoins locaux, et il serait désirable que
son développement en quantité et en qualité fit l'objet des préoc-
cupations de tous les intéressés. Les statistiques les plus récentes
l'évaluent à 122.000 têtes, qui comprennent 26.000 bovidés,
16.000 équidés (chevaux, mulets, ânes), 29.000 ovidés (moutons
et chèvres) et plus de 51.000 suidés.
Le cheval créole, de petite taille, sobre et robuste, rappelle 13
cheval arabe, dont il descend. Les animaux de plus grande taille
introduits n'ont jamais pu, dans les mêmes conditions d'entretien,
rivaliser d'endurance avec lui. Des sujets améliorés ont été obte-
nus par le croisement avec des étalons français Des sujets très
intéressants qui en étaient issus ont été présentés à un concours
agricole organisé à Basse-Terre en juin 1927.
Le cheval est employé presque uniquement à la locomotion-
Il est le seul animal qui, dans l'île, jouisse de quelques soinS,
encore que sa nourriture soit, dans la plupart des cas, trop exclu-
sivement herbacée. Le développement de l'automobilisme Pour-
rait sérieusement compromettre l'amélioration de la race; d
la fréquentation des quelques champs de courses de la colOllle
constitue encore pour les propriétaires un encouragement
précieux.
L'industrie mulassière, à laquelle s'intéressent quelques ele.
veurs des Vieux-Habitants et de Saint-Martin, donne déjà des
résultats appréciables. Il n'est qu'un point de la Guadeloupe t1
l'élevage constitue une industrie : c'est la petite dépendance e
Saint-Marti n, qui fournit encore des chevaux recherches, deS
mulets, des bœufs. Malheureusement, cette industrie n'y est paS
prospère, parce que les pâturages y sont assez maigres et que
l'eau y manque bien souvent.
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