Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1925-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 mars 1925 01 mars 1925
Description : 1925/03/01 (A18,N204)-1925/03/31. 1925/03/01 (A18,N204)-1925/03/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6463797g
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
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- .......... Page(s) .......... 431
- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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- .......... Page(s) .......... 486
- .......... Page(s) .......... 487
- .......... Page(s) .......... 490
INFORMATIONS 381
par l'ampleur des transactions de la colonie. Elle est aussi
indispensable pour lui permettre de poursuivre son développement
économique. Mais elle revêt, en outre, dans les circonstances
présentes, le caractère d'une mesure particulièrement urgente,
étant donné la nécessité impérieuse, non seulement d'empê-
cher l'exode croissant des billets de la Banque de France
vers Madagascar, mais encore de récupérer, au bénéfice de
la circulation métropolitaine, la circulation de la Grande
lIe.
En présence de ces considérations et en raison, d'autre part,
des inconvénients graves qui pourraient résulter, tant pour les
intérêts de la Métropole que pour ceux de Madagascar, d'un
nouveau retard dans la création de l'institut depuis si longtemps
envisagé, nous avons estimé qu'il importait de reprendre la
question avec le ferme désir d'aboutir à très bref délai.
Quelque préférence que l'on puisse avoir, en théorie, pour
Un système d'émission directe par l'État, l'expérience démontre
que la circulation fiduciaire la plus saine est celle qui émane
d'une établissement privé unique, auquel l'État délègue, pour
un temps limité et sous un contrôle étroit, le droit régalien
d émission. L'étude des systèmes pratiqués tant en France
a l'étranger, démontre également que la concession de ce
droit régalien doit être accompagnée d'avantages de tous
ordres stipulés par l'autorité concédante, tant à son profit
*lu a celui des usagers.
Si, dans le passé, l'État français, pour doter nos possessions
Coloniales d'un régime monétaire et d'une organisation bancaire
Indispens'lble, s'est vu obligé d'accorder à certains établissements
des privilèges sans contre-partie sérieuse, il ne saurait plus en
être de même aujourd'hui. Laplupart de nos possessions coloniales
sont arrivées, en effet, à un degré de développement économique
tel que l'exercice de la profession de banquier y présente
beaucoup plus d'avantages que de risques. De toute évidence,
les contrats primitifs ne peuvent être maintenus et un tout
autre point de vue doit être envisagé.
, Le Gouvernement doit abandonner le terrain sur lequel les
C,Jrconstances historiques et les nécessités avaient placé la ques-
tIon. Il lui appartient, aujourd'hui que sa situation n'est plus
elle de solliciteur de concours, de fixer les conditions auxquelles
14 Puissance publique est disposée à concéder un privilège qui
Peut être rémunérateur pour celui qui l'accepte, mais qui, ne
par l'ampleur des transactions de la colonie. Elle est aussi
indispensable pour lui permettre de poursuivre son développement
économique. Mais elle revêt, en outre, dans les circonstances
présentes, le caractère d'une mesure particulièrement urgente,
étant donné la nécessité impérieuse, non seulement d'empê-
cher l'exode croissant des billets de la Banque de France
vers Madagascar, mais encore de récupérer, au bénéfice de
la circulation métropolitaine, la circulation de la Grande
lIe.
En présence de ces considérations et en raison, d'autre part,
des inconvénients graves qui pourraient résulter, tant pour les
intérêts de la Métropole que pour ceux de Madagascar, d'un
nouveau retard dans la création de l'institut depuis si longtemps
envisagé, nous avons estimé qu'il importait de reprendre la
question avec le ferme désir d'aboutir à très bref délai.
Quelque préférence que l'on puisse avoir, en théorie, pour
Un système d'émission directe par l'État, l'expérience démontre
que la circulation fiduciaire la plus saine est celle qui émane
d'une établissement privé unique, auquel l'État délègue, pour
un temps limité et sous un contrôle étroit, le droit régalien
d émission. L'étude des systèmes pratiqués tant en France
a l'étranger, démontre également que la concession de ce
droit régalien doit être accompagnée d'avantages de tous
ordres stipulés par l'autorité concédante, tant à son profit
*lu a celui des usagers.
Si, dans le passé, l'État français, pour doter nos possessions
Coloniales d'un régime monétaire et d'une organisation bancaire
Indispens'lble, s'est vu obligé d'accorder à certains établissements
des privilèges sans contre-partie sérieuse, il ne saurait plus en
être de même aujourd'hui. Laplupart de nos possessions coloniales
sont arrivées, en effet, à un degré de développement économique
tel que l'exercice de la profession de banquier y présente
beaucoup plus d'avantages que de risques. De toute évidence,
les contrats primitifs ne peuvent être maintenus et un tout
autre point de vue doit être envisagé.
, Le Gouvernement doit abandonner le terrain sur lequel les
C,Jrconstances historiques et les nécessités avaient placé la ques-
tIon. Il lui appartient, aujourd'hui que sa situation n'est plus
elle de solliciteur de concours, de fixer les conditions auxquelles
14 Puissance publique est disposée à concéder un privilège qui
Peut être rémunérateur pour celui qui l'accepte, mais qui, ne
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