Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1925-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 août 1925 01 août 1925
Description : 1925/08/01 (A18,N208)-1925/09/30. 1925/08/01 (A18,N208)-1925/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64623845
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/03/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
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- Renseignements divers:
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1090 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
alors qu'il y a des distances de 1 mètre et même moinS quand la
pente est forte. et
Enfin on procède au creusement des canaux teluporairob, et
permanents, les uns alimentant les autres. tr8#
Après quoi le rôle de la charrue est terminé et les autreS (1 la
D |a
vaux sont exécutés à la main. Ces derniers consisteD etiOIl'
confection d'une série de bassins destinés à permettre 1 *r
Pour cela le fellah ramène la terre des extrémités de Cdigue,
billon sur les bords de la rigole correspondante et sur la bilIoIlS
mais tous les cinq ou dix ou vingt billons il laisse des billons
intacts ; cela permettra d'envoyer l'eau simultanément a do
certain nombre de billons. , aratiOIl
M. SAMSON critique la méthode égyptienne de precetJre:
du sol à l'irrigation car elle exige beaucoup de malD
dans une terre un peu forte il faut trente-huit journées de D¡JJble
manuel par hectare pour la seule préparation du sol- Sv
que ce travail puisse s'effectuer mécaniquement.
INFILTRATIONS , t la q l1e'
M. SAMSON termine son intéressante étude en traltan 1» g ,.oSr
tion des infiltrations. ca~
«L'eau, écrit-il, peut s'écouler à travers les parois d C sol el
et s'étendre fort loin dans les couches superncielles dl 1 00, CI
même en surface. Ces infiltrations sont très préjudlClab) et 911
et
germination (refroidissement du sol, asphyxie des gral es) etge
développement des plantes (asphyxie des racines). En ,, e,le-
, ert8,l t
ramènent dans les couches superficielles du terrain C u'il eS ~4
qui peuvent être très nuisibles (chlorure de sodium 1° ,i l Ot
en excès, sulfate de soude, carbonate de soude, etc.)- g dee
On peut remédier à cela, soit en assurant l'étanc y
canaux, soit en recueillant les eaux d'infiltration, soit Cool
nant ces deux procédés. i!~
e el7 d 5
On relève les canaux suffisamment pour réduir® es
trations. D'autre part, canaux et rigoles sont éta blio àdes
niveaux différents : tout canal ou rigole déversant
dans un autre canal ou rigole a son plafond sur
apport à celui-ci. Cette disposition crée une pente <1 osefe
à l'eau un écoulement suffisamment rapide et e-OI'Plet, l'ejo
ne séjournant pas dans les canaux après une irriga il
a réduction des infiltrations. t Illtlet
Dans les régions salées du nord du delta où il falut ig
alors qu'il y a des distances de 1 mètre et même moinS quand la
pente est forte. et
Enfin on procède au creusement des canaux teluporairob, et
permanents, les uns alimentant les autres. tr8#
Après quoi le rôle de la charrue est terminé et les autreS (1 la
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vaux sont exécutés à la main. Ces derniers consisteD etiOIl'
confection d'une série de bassins destinés à permettre 1 *r
Pour cela le fellah ramène la terre des extrémités de Cdigue,
billon sur les bords de la rigole correspondante et sur la bilIoIlS
mais tous les cinq ou dix ou vingt billons il laisse des billons
intacts ; cela permettra d'envoyer l'eau simultanément a do
certain nombre de billons. , aratiOIl
M. SAMSON critique la méthode égyptienne de precetJre:
du sol à l'irrigation car elle exige beaucoup de malD
dans une terre un peu forte il faut trente-huit journées de D¡JJble
manuel par hectare pour la seule préparation du sol- Sv
que ce travail puisse s'effectuer mécaniquement.
INFILTRATIONS , t la q l1e'
M. SAMSON termine son intéressante étude en traltan 1» g ,.oSr
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«L'eau, écrit-il, peut s'écouler à travers les parois d C sol el
et s'étendre fort loin dans les couches superncielles dl 1 00, CI
même en surface. Ces infiltrations sont très préjudlClab) et 911
et
germination (refroidissement du sol, asphyxie des gral es) etge
développement des plantes (asphyxie des racines). En ,, e,le-
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ramènent dans les couches superficielles du terrain C u'il eS ~4
qui peuvent être très nuisibles (chlorure de sodium 1° ,i l Ot
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On peut remédier à cela, soit en assurant l'étanc y
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On relève les canaux suffisamment pour réduir® es
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dans un autre canal ou rigole a son plafond sur
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a réduction des infiltrations. t Illtlet
Dans les régions salées du nord du delta où il falut ig
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