Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1927-07-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 juillet 1927 01 juillet 1927
Description : 1927/07/01 (FASC2,VOL2)-1927/07/31. 1927/07/01 (FASC2,VOL2)-1927/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460512r
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE
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46 COTON i'/r CI'LTUTT: COTONNIKRK
les exportations de la Nigeria, et dans l'Ouganda et le Sou-
dan britannique, c'est le principal produit d'exportation.
Au bout de vingt années de travail, l'exportation du coton
atteint 440.000 balles par an.
Que le cotonnier ait toujours existé en Afrique, c'est un
point fort discuté; en tout cas, sa culture et l'art de le filer,
de le tisser et de le teindre remontent à une très haute antiquité
en Nigéria.
Il n'est guère de village qui ne possède ses fileurs, ses
tisseurs et ses teinturiers, produisant des étoffes excellentes.
Mais jusqu'à une époque très récente, on n'exportait pas de
coton.
C'est à l'année 1856 que paraît remonter la première
exportation : 100.000 livres de lint expédiées et vendues à
Manchester à raison de 6 pences la livre.
En 1869, les exportations atteignaient une valeur de
£ 76.957, par suite de la disette du coton où la guerre de
Sécession plongeait le Lancashire.
Avec la fin de cette guerre et la reprise des exportations
de coton par les Etats-Unis, le coton cessa d'être un produit
d'exportation pour la Nigéria jusqu'à l'arrivée de la
B. C. G. A. en Afrique Occidentale Anglaise.
Les problèmes scientifiques ou techniques soulevés par la
culture du cotonnier incombent aux Services agricoles des
Gouvernements coloniaux. Ils sont aidés par l'Empire Cotton
Growing Corporation; elle prépare des agronomes, qui
peuvent entrer par la suite dans les cadres du personnel
agricole des colonies. Dans plusieurs colonies, elle possède
ses propres experts, ses spécialistes du coton, ses entomolo-
gistes et ses sélectionneurs et à la suite d'un accord avec le
Gouvernement local, elle a établi des Stations expérimentales
dans différents centres.
Il y a 23 ans, lorsque l'Association dirigea ses premiers
efforts vers la Nigéria, on connaissait fort peu de chose sur
la colonie. Il n'existait pas de Département de l'Agriculture.
L'Association s'était d'abord proposé de créer des plantations
cultivées par une main-d' œuvre indigène salariée; dès 1905,
les exportations de la Nigeria, et dans l'Ouganda et le Sou-
dan britannique, c'est le principal produit d'exportation.
Au bout de vingt années de travail, l'exportation du coton
atteint 440.000 balles par an.
Que le cotonnier ait toujours existé en Afrique, c'est un
point fort discuté; en tout cas, sa culture et l'art de le filer,
de le tisser et de le teindre remontent à une très haute antiquité
en Nigéria.
Il n'est guère de village qui ne possède ses fileurs, ses
tisseurs et ses teinturiers, produisant des étoffes excellentes.
Mais jusqu'à une époque très récente, on n'exportait pas de
coton.
C'est à l'année 1856 que paraît remonter la première
exportation : 100.000 livres de lint expédiées et vendues à
Manchester à raison de 6 pences la livre.
En 1869, les exportations atteignaient une valeur de
£ 76.957, par suite de la disette du coton où la guerre de
Sécession plongeait le Lancashire.
Avec la fin de cette guerre et la reprise des exportations
de coton par les Etats-Unis, le coton cessa d'être un produit
d'exportation pour la Nigéria jusqu'à l'arrivée de la
B. C. G. A. en Afrique Occidentale Anglaise.
Les problèmes scientifiques ou techniques soulevés par la
culture du cotonnier incombent aux Services agricoles des
Gouvernements coloniaux. Ils sont aidés par l'Empire Cotton
Growing Corporation; elle prépare des agronomes, qui
peuvent entrer par la suite dans les cadres du personnel
agricole des colonies. Dans plusieurs colonies, elle possède
ses propres experts, ses spécialistes du coton, ses entomolo-
gistes et ses sélectionneurs et à la suite d'un accord avec le
Gouvernement local, elle a établi des Stations expérimentales
dans différents centres.
Il y a 23 ans, lorsque l'Association dirigea ses premiers
efforts vers la Nigéria, on connaissait fort peu de chose sur
la colonie. Il n'existait pas de Département de l'Agriculture.
L'Association s'était d'abord proposé de créer des plantations
cultivées par une main-d' œuvre indigène salariée; dès 1905,
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