Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1926-07-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 juillet 1926 01 juillet 1926
Description : 1926/07/01 (FASC2,VOL1)-1926/07/31. 1926/07/01 (FASC2,VOL1)-1926/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64605098
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
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- SOMMAIRE
- I.
- .......... Page(s) .......... 91
- .......... Page(s) .......... 117
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- .......... Page(s) .......... 151
- .......... Page(s) .......... 159
110 COTON ET CULTURE COTONNiÈRE
rons de Hama et de Homs, à Heidjani, au Sud-Est de Da
mas, et dans le Hauran.
Les premiers donnèrent des résultats encourageants, saas
présenter cependant un grand intérêt, étant donné qu , ils
furent effectués dans des conditions analogues à celles que
trouve le « Baladi » dans la région d'Idlib.
Ceux faits à Heidjani furent décevants; les semis furent
effectués à la volée, très denses, sans éclaircissement ultérieur,
les plantes, abondamment irriguées, poussèrent en hauteur,
s'affilèrent, ne produisant que fort peu de fleurs et de cap
suies.
L'essai du Hauran, fait à Herak, fut particulièrement
intéressant, d'une part, en démontrant la possibilité d'étendre
sur de vastes superficies, au sud de Damas, la culture de
cette variété; d'autre part, en attirant sur la culture du coton
l'attention des agriculteurs hauranais, qui se traduisit par une
forte demande de semences. Malheureusement, l'excessive
sécheresse qui se fit sentir sur le Hauran, au cours de 1 hiver
1924-1925, au point d'y ruiner la production des céréales,
empêcha que ces semences pussent être cultivées en 1925
La participation que l'Etat d'Alep apporta à l'expert'
mentation de 1924 se manifesta par la mise en culture de
quelque 25 hectares, qui furent ensemencés avec des graines
égyptiennes et avec de la graine d'origine locale, cultivée
en terrain irrigué, et par une active propagande entre,
prise par le Service de l'Agriculture en faveur de la culture
du coton « Baladi ». Cette propagande donna ses frUItS;
grâce à elle, la culture de cette variété s'étendit à presqu
tous les cazas de l'Etat d'Alep et la superficie ensemence
s accrut d' environ 50 sur les emblavements de 1
précédente, atteignant un chiffre un peu supérieur à 22-0
hectares.
Les cultures de coton égyptien et de coton « Baladi >
qu'à proprement parler on peut appeler « cultures experI
mentales » furent dues à l'initiative privée; cependant, !
Service de 1 Agriculture, en outre de la propagande qu
entreprit, des conseils qu'il donna aux cultivateurs, de 1 inS
pection des cultures qu'il exerça, participa effectivement au*
rons de Hama et de Homs, à Heidjani, au Sud-Est de Da
mas, et dans le Hauran.
Les premiers donnèrent des résultats encourageants, saas
présenter cependant un grand intérêt, étant donné qu , ils
furent effectués dans des conditions analogues à celles que
trouve le « Baladi » dans la région d'Idlib.
Ceux faits à Heidjani furent décevants; les semis furent
effectués à la volée, très denses, sans éclaircissement ultérieur,
les plantes, abondamment irriguées, poussèrent en hauteur,
s'affilèrent, ne produisant que fort peu de fleurs et de cap
suies.
L'essai du Hauran, fait à Herak, fut particulièrement
intéressant, d'une part, en démontrant la possibilité d'étendre
sur de vastes superficies, au sud de Damas, la culture de
cette variété; d'autre part, en attirant sur la culture du coton
l'attention des agriculteurs hauranais, qui se traduisit par une
forte demande de semences. Malheureusement, l'excessive
sécheresse qui se fit sentir sur le Hauran, au cours de 1 hiver
1924-1925, au point d'y ruiner la production des céréales,
empêcha que ces semences pussent être cultivées en 1925
La participation que l'Etat d'Alep apporta à l'expert'
mentation de 1924 se manifesta par la mise en culture de
quelque 25 hectares, qui furent ensemencés avec des graines
égyptiennes et avec de la graine d'origine locale, cultivée
en terrain irrigué, et par une active propagande entre,
prise par le Service de l'Agriculture en faveur de la culture
du coton « Baladi ». Cette propagande donna ses frUItS;
grâce à elle, la culture de cette variété s'étendit à presqu
tous les cazas de l'Etat d'Alep et la superficie ensemence
s accrut d' environ 50 sur les emblavements de 1
précédente, atteignant un chiffre un peu supérieur à 22-0
hectares.
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qu'à proprement parler on peut appeler « cultures experI
mentales » furent dues à l'initiative privée; cependant, !
Service de 1 Agriculture, en outre de la propagande qu
entreprit, des conseils qu'il donna aux cultivateurs, de 1 inS
pection des cultures qu'il exerça, participa effectivement au*
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