Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 avril 1927 01 avril 1927
Description : 1927/04/01 (A20,N223)-1927/04/30. 1927/04/01 (A20,N223)-1927/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6459224f
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
- Renseignements divers:
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ÉTUDES GÉNERALES 1 593
maximum). La question largeur des débits doit être également
à considérer. Si l'on peut employer des planches de 60 ou
70 centimètres, au lieu de planches de 20 à 30 centimètres, la
main-d'œuvre pour le clouage et le calfatage pourra être sensi-
blement réduite.
Le débitage des bois coloniaux, tout au moins de certaines
essences, est peut-être moins facile que celui de nos bois français ;
les. bois siliceux, comme l'azobé et l'iroko, 6 a chanvreux et
siliceux comme l'okoumé et l'ozigo, émoussent notamment assez
rapidement les dentures de scies. Le débitage est donc assez
lent ; à part cela, il n'est guère plus difficile que celui de nos
chênes, ormes ou peupliers ; c'est surtout une question de mise
au point, pour la denture et la vitesse à donner aux scies.
Cette question, est actuellement à l'étude. Un ingénieur,M. PETIT-
PAS, s'est attaché à la résoudre. Il étudie en même temps s'il
n'y a pas lieu d'utiliser des aciers spéciaux pour scier ou travailler
les bois coloniaux et quelle inclinaison doit être donnée de
préférence aux fers des rabots et machines-outijs Bref, ayant
peu, les bois coloniaux se débiteront et se travailleront tout
aussi facilement que nos bois indigènes.
Il n'est guère importé actuellement, sauf en ce qui concerne
l'okoumé, que de petites quantités des diverses essences préco-
nisées Mais celles-ci sont toutes assez abondantes dans les
Peuplements et le courant d'importation peut être créé en peu
de temps. *
C'est une question de demande. Nul doute quo si des pre-
mières commandes étaient passées aux exploitants et que ceux-ci
soient assurés, par la suite,. de débouchés réguliers et intéres-
sants, ils exploiteraient les essences demandées et les enverraient
en quantités croissantes sur nos marchés.
Je ne voudrais pas affirmer cependant que du jour au lende-
main il sera possible de suffire à la demande. Mais, nos indus-
triels feraient bien d'acheter, même en petites quantités, et de
faire des essais ; si ces essais sont concluants, et je suis persuadé
qu'ils le seront, il leur sera possible ensuite soit de développer
leurs achats, soit au besoin de se grouper pour envoyer un
acheteur sur place et entrer ainsi plus directement en relation
avec les exploitants ou même pour envisager aux colonies une
Ou plusieurs exploitations répondant à leurs besoins.
L'amélioration progressive des conditions d'embarquement
favorisera peu à peu l'exploitation et l'exportation des bois
maximum). La question largeur des débits doit être également
à considérer. Si l'on peut employer des planches de 60 ou
70 centimètres, au lieu de planches de 20 à 30 centimètres, la
main-d'œuvre pour le clouage et le calfatage pourra être sensi-
blement réduite.
Le débitage des bois coloniaux, tout au moins de certaines
essences, est peut-être moins facile que celui de nos bois français ;
les. bois siliceux, comme l'azobé et l'iroko, 6 a chanvreux et
siliceux comme l'okoumé et l'ozigo, émoussent notamment assez
rapidement les dentures de scies. Le débitage est donc assez
lent ; à part cela, il n'est guère plus difficile que celui de nos
chênes, ormes ou peupliers ; c'est surtout une question de mise
au point, pour la denture et la vitesse à donner aux scies.
Cette question, est actuellement à l'étude. Un ingénieur,M. PETIT-
PAS, s'est attaché à la résoudre. Il étudie en même temps s'il
n'y a pas lieu d'utiliser des aciers spéciaux pour scier ou travailler
les bois coloniaux et quelle inclinaison doit être donnée de
préférence aux fers des rabots et machines-outijs Bref, ayant
peu, les bois coloniaux se débiteront et se travailleront tout
aussi facilement que nos bois indigènes.
Il n'est guère importé actuellement, sauf en ce qui concerne
l'okoumé, que de petites quantités des diverses essences préco-
nisées Mais celles-ci sont toutes assez abondantes dans les
Peuplements et le courant d'importation peut être créé en peu
de temps. *
C'est une question de demande. Nul doute quo si des pre-
mières commandes étaient passées aux exploitants et que ceux-ci
soient assurés, par la suite,. de débouchés réguliers et intéres-
sants, ils exploiteraient les essences demandées et les enverraient
en quantités croissantes sur nos marchés.
Je ne voudrais pas affirmer cependant que du jour au lende-
main il sera possible de suffire à la demande. Mais, nos indus-
triels feraient bien d'acheter, même en petites quantités, et de
faire des essais ; si ces essais sont concluants, et je suis persuadé
qu'ils le seront, il leur sera possible ensuite soit de développer
leurs achats, soit au besoin de se grouper pour envoyer un
acheteur sur place et entrer ainsi plus directement en relation
avec les exploitants ou même pour envisager aux colonies une
Ou plusieurs exploitations répondant à leurs besoins.
L'amélioration progressive des conditions d'embarquement
favorisera peu à peu l'exploitation et l'exportation des bois
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