Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 avril 1927 01 avril 1927
Description : 1927/04/01 (A20,N223)-1927/04/30. 1927/04/01 (A20,N223)-1927/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6459224f
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
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- Statistiques. Rapports commerciaux:
- Renseignements divers:
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ÉTUDES GÉNÉRALES 587
régularité désirable ; en outre, les exploitants continueront à en
demander des prix relativement élevés, de façon à couvrir tous
leurs frais d'exploitation et de transport et obtenir pour leurs
capitaux et leur travail une rémunération convenable.
Ces bois communs susceptibles de remplacer chêne, sapin et peu-
plier et auxquels je viens de faire allusion, commencent pourtant
à nous être envoyés. Les envois restent timides , les acheteurs
lesontplus encore ; mais la pénurie des bois français aidant, ces
acheteurs sortent peu à peu de l'expectative; ils se font plus
nombreux, plus pressants. Dès maintenant, j'ai la conviction
qu'il y aurait preneurs pour plusieurs dizaines de milliers de
mètres cubes mensuellement, si l'on trouvait ces quantités sur
le marché.
Si les quantités envoyées sont réduites, elles comprennent
néanmoins un choix assez varié d'essences. Ce choix, est-il
besoin de le dire, doit rester limité, car il nuirait momenta-
nément plus qu'il ne favoriserait la vulgarisation des bois
coloniaux dans notre pays. Tant pis si les exploitants doivent, par
suite du grand nombre d'essences mêlées pied à. pied, se livrer
à des coupes sporadIques, au lieu de pouvoir abattre à tout
venant, ce qui serait incontestablement beaucoup moins onéreux
pour eux. Tant pis, aussi, si l'aménagement forestier en est
retardé. Par la suite, on pourra faire mieux. Par la coupe d'un
plus grand nombre d'essences, par la sélection et la régénération
des peuplements en essences de choix, on arrivera peu à peu,
comme en France, à une exploitation rationnelle. Pour l'instant,
il n'y faut point songer et, sans négliger complètement la ques-
tion du repeuplement en bonnes espèces, on ne doit exploiter
que ce qui est pratiquement utilisable.
Les missions d'études qui ont parcouru ces forêts, puis fait
étudier techniquement les bois retenus par elles, ont signalé,
comme utilisables dans diverses industries, plus de 200 essences
différentes. Bien entendu, il ne peut être question de vouloir
importer immédiatement CtS deux cents variétés, car même
si toutes sont excellentes et répondent parfaitement à certains
Usages, l'importation d'une si grande quantité de bois nouveaux,
dont beaucoup présentent entre eux des analogies d'aspect,
jetterait, je le répète, une confusion telle sur le marché qu'au-
Clln industriel ne voudrait employer de bois coloniaux, car il ne
serait jamais absolument certain d'obtenir l'essence demandée,
exPérimentée ou non par lui. La pratique a du reste révélé,
régularité désirable ; en outre, les exploitants continueront à en
demander des prix relativement élevés, de façon à couvrir tous
leurs frais d'exploitation et de transport et obtenir pour leurs
capitaux et leur travail une rémunération convenable.
Ces bois communs susceptibles de remplacer chêne, sapin et peu-
plier et auxquels je viens de faire allusion, commencent pourtant
à nous être envoyés. Les envois restent timides , les acheteurs
lesontplus encore ; mais la pénurie des bois français aidant, ces
acheteurs sortent peu à peu de l'expectative; ils se font plus
nombreux, plus pressants. Dès maintenant, j'ai la conviction
qu'il y aurait preneurs pour plusieurs dizaines de milliers de
mètres cubes mensuellement, si l'on trouvait ces quantités sur
le marché.
Si les quantités envoyées sont réduites, elles comprennent
néanmoins un choix assez varié d'essences. Ce choix, est-il
besoin de le dire, doit rester limité, car il nuirait momenta-
nément plus qu'il ne favoriserait la vulgarisation des bois
coloniaux dans notre pays. Tant pis si les exploitants doivent, par
suite du grand nombre d'essences mêlées pied à. pied, se livrer
à des coupes sporadIques, au lieu de pouvoir abattre à tout
venant, ce qui serait incontestablement beaucoup moins onéreux
pour eux. Tant pis, aussi, si l'aménagement forestier en est
retardé. Par la suite, on pourra faire mieux. Par la coupe d'un
plus grand nombre d'essences, par la sélection et la régénération
des peuplements en essences de choix, on arrivera peu à peu,
comme en France, à une exploitation rationnelle. Pour l'instant,
il n'y faut point songer et, sans négliger complètement la ques-
tion du repeuplement en bonnes espèces, on ne doit exploiter
que ce qui est pratiquement utilisable.
Les missions d'études qui ont parcouru ces forêts, puis fait
étudier techniquement les bois retenus par elles, ont signalé,
comme utilisables dans diverses industries, plus de 200 essences
différentes. Bien entendu, il ne peut être question de vouloir
importer immédiatement CtS deux cents variétés, car même
si toutes sont excellentes et répondent parfaitement à certains
Usages, l'importation d'une si grande quantité de bois nouveaux,
dont beaucoup présentent entre eux des analogies d'aspect,
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Clln industriel ne voudrait employer de bois coloniaux, car il ne
serait jamais absolument certain d'obtenir l'essence demandée,
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