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- SOMMAIRE
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- CONTENTS
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- TABLE DES MATIÈRES
- .......... Page(s) .......... 79
- II
- BIOLOGIE DES RIZ.
- VARIÉTÉS DE RIZ.
- HYBRIDATION.
- .......... Page(s) .......... 121
- GÉNÉTIQUE.
- S. DHARMALINGAM. - Cf. K. RAMIAH.
- P.-M. GANGULI. - Cf. S.-K. MITRA.
- .......... Page(s) .......... 194
- P. JUACHON. - Cf. T. MERCADO.
- .......... Page(s) .......... 196
- .......... Page(s) .......... 125
- .......... Page(s) .......... 124
- .......... Page(s) .......... 58
- .......... Page(s) .......... 58
- N. PARTHARASATHI. - Cf. K. RAMIAH.
- S. RAMANUJAM. - Cf. K. RAMIAH.
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 196
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 195
- .......... Page(s) .......... 197
- .......... Page(s) .......... 125
- CHIMIE DU RIZ ET DE SES DÉRIVÉS.
- .......... Page(s) .......... 125
- INFLUENCES MÉTÉOROLOGIQUES.
- GÉNÉRALITÉS SUR LA CULTURE DU RIZ DANS DIVERSES RÉGIONS.
- REPIQUAGE.
- IRRIGATION.
- ENGRAIS VERTS.
- ENGRAIS MINÉRAUX, ENGRAIS COMPOSÉS, FUMIER.
- ASSOLEMENTS.
- PLANTES NUISIBLES AUX RIZIÈRES.
- .......... Page(s) .......... 202
- MALADIES PARASITAIRES ET AUTRES.
- BERTUS. - Cf. PARK.
- D.-G. CARTER. - Cf. E.-C.
- .......... Page(s) .......... 66
- .......... Page(s) .......... 67
- I. KOVACHEVSKI. - Cf. D.-N. DODOV.
- H. MATSUMOTO. Cf. Y. NISIKADO.
- .......... Page(s) .......... 136
- .......... Page(s) .......... 203
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 136
- .......... Page(s) .......... 66
- J.-B. WOODS. - Cf. E.-C. TULLIS.
- K. YAMAUTI. - Cf. Y. NISIKADO.
- INSECTES ET ANIMAUX NUISIBLES.
- .......... Page(s) .......... 205
- .......... Page(s) .......... 203
- G.-H. CORBETT. - Cf. N.-C.-E. MILLER et H. -T. PAGDEN.
- W. D'ISRAELI-BIRD. - Cf. A.-E. COLEMAN-DOSCAS.
- .......... Page(s) .......... 138
- K. MISAKA. - Action du sulfate de nicotine sur le développement des embryons de Chilo simplex Butler.......... Page(s) .......... 67
- K. MISAKA. - Sur le mouvement péristaltique du Chilo simplex Butler: sa dépendance de la température.......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 204
- PRÉPARATION ET USINAGE DU RIZ.
- LE RIZ ET SES SOUS-PRODUITS DANS L'ALIMENT AT ION.
- UTILISATION DES SOUS-PRODUITS.
- .......... Page(s) .......... 209
- CONSERVATION ET MANUTENTION DES RIZ.
- III
- FRANCE ET COLONIES FRANÇAISES.
- AFRIQUE.
- AMÉRIQUE.
- ASIE.
- OCÉAN IE.
- .......... Page(s) .......... 78
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- .......... Page(s) .......... 157
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- .......... Page(s) .......... 216
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LA CULTURE DU RIZ AU TONKIN 95
nivellement et l'évacuation de l'eau, sinon le sol se tasserait
trop et les radicelles mettraient plus de temps à s'y enfoncer;
s'il pleuvait avant, les graines seraient accumulées dans un
coin de la pépinière.
En terres argileuses, on laisse les limons se déposer pour
évacuer l'eau, et on attend encore 3 à 5 heures, et même une
nuit dans les terres les plus vaseuses, pour que le sol s'affer-
misse au moins en surface. Sinon, les graines s'y enfonceraient
dans la boue trop fluide, les plants seraient plus difficiles à
arracher et on risquerait plus de les briser.
Quand on a plusieurs pépinières voisines à des niveaux
différents, on commence par les plus hautes, l'eau évacuée
servant à la préparation des parcelles plus basses.
On sème quand on pense avoir 2 ou 3 jours de beau
temps; s'il fait chaud on préfère semer le soir ou à la fin de
l' après-midi, ou très tôt le matin, jamais en plein midi, pour
que les racines soient déjà capables d'absorber l'eau quand
l'évaporation devient intense.
Les semences germées sont secouées légèrement dans un
van pour isoler les grains entremêlés par leurs radicelles, ou
bien le semeur démêle chaque poignée avant de la projeter
devant lui, et non comme en Europe par un geste circulaire.
La plus grande densité de semis en facilite d'ailleurs la régu-
larité, on peut jeter des grains à plusieurs reprises vers le
même point en uniformisant la répartition.
L'ouvrier sème d'abord de la diguette tout le pourtour,
sur une largeur d'environ 4 mètres ; on n'a pas besoin de des-
cendre dans la boue pour celles qui n'ont pas plus de 7 à
8 mètres de large. Pour les autres, le semeur marche ensuite
à reculons en suivant l'axe de la parcelle, ou, rarement, deux
axes parallèles, projetant quelques poignées à chaque pas;
ces pas seront autant de petites dépressions où l'eau entra-
vera la germination, aussi en fait-il le moins possible. L'ou-
vrier soigneux les rebouche à la main et arrive à semer 8 sao
par jour, en arrêtant pendant les heures les plus chaudes.
Si l'agriculteur s'est trompé dans ses prévisions et qu'il
pleut après le semis, on obture les coupures faites dans les di-
nivellement et l'évacuation de l'eau, sinon le sol se tasserait
trop et les radicelles mettraient plus de temps à s'y enfoncer;
s'il pleuvait avant, les graines seraient accumulées dans un
coin de la pépinière.
En terres argileuses, on laisse les limons se déposer pour
évacuer l'eau, et on attend encore 3 à 5 heures, et même une
nuit dans les terres les plus vaseuses, pour que le sol s'affer-
misse au moins en surface. Sinon, les graines s'y enfonceraient
dans la boue trop fluide, les plants seraient plus difficiles à
arracher et on risquerait plus de les briser.
Quand on a plusieurs pépinières voisines à des niveaux
différents, on commence par les plus hautes, l'eau évacuée
servant à la préparation des parcelles plus basses.
On sème quand on pense avoir 2 ou 3 jours de beau
temps; s'il fait chaud on préfère semer le soir ou à la fin de
l' après-midi, ou très tôt le matin, jamais en plein midi, pour
que les racines soient déjà capables d'absorber l'eau quand
l'évaporation devient intense.
Les semences germées sont secouées légèrement dans un
van pour isoler les grains entremêlés par leurs radicelles, ou
bien le semeur démêle chaque poignée avant de la projeter
devant lui, et non comme en Europe par un geste circulaire.
La plus grande densité de semis en facilite d'ailleurs la régu-
larité, on peut jeter des grains à plusieurs reprises vers le
même point en uniformisant la répartition.
L'ouvrier sème d'abord de la diguette tout le pourtour,
sur une largeur d'environ 4 mètres ; on n'a pas besoin de des-
cendre dans la boue pour celles qui n'ont pas plus de 7 à
8 mètres de large. Pour les autres, le semeur marche ensuite
à reculons en suivant l'axe de la parcelle, ou, rarement, deux
axes parallèles, projetant quelques poignées à chaque pas;
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vera la germination, aussi en fait-il le moins possible. L'ou-
vrier soigneux les rebouche à la main et arrive à semer 8 sao
par jour, en arrêtant pendant les heures les plus chaudes.
Si l'agriculteur s'est trompé dans ses prévisions et qu'il
pleut après le semis, on obture les coupures faites dans les di-
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