Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 mai 1930 01 mai 1930
Description : 1930/05/01 (A23,N256)-1930/05/31. 1930/05/01 (A23,N256)-1930/05/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437638p
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/12/2012
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
- Études générales (Voir couverture).
- Informations:
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286 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES -
aux travaux, de la main-d'œuvre indigène précédemment réputée
inutilisable pour cette tâche ; constitué le matériel mécanique
dont la Colonie était dépourvue.
De 1925 à 1928, nous avons dépensé pour les routes neuves
13.572.000francs.
A l'ouverture de votre précédente session, je vous ai donné
les prix de revient moyen au kilomètre.
Parallèlement, nous avons considérablement amélioré la
vieille route de la côte ouest jusqu'à Bourail. Les entretiens, les
grosses réparations nous. ont coûté 3,391.000 francs et2.558.000fr.
La création des. circonscriptions de travaux publics, en
assurant la direction technique pour les municipalités de l'inté-
rieur, a permis, avec les larges subventions accordées aux
budgets communaux depuis quatre ans, l'amélioration de la voirie
secondaire, de sorte que de nombreux chemins municipaux sont
devenus routes carrossables, sur un développement d'au moins
250 kilomètres pour l'ensemble.
L'organisation des prestations indigènes a activement
concouru, tant sur la grande terre que dans les dépendances, à
l'entretien et à l'amélioration des routes et sentiers, même à
l'établissement de nouvelles vois secondaires,, sur un dévelop-
pement total de 1.980 kilomètres.
En même temps, le système des prestations et celui de
l'impôt personnel des indigènes ont été aménagés de façonà
assurer un régime de faveur aux familles nombreuses.
L'amélioration du port de Nouméa a pris place, dans nos
préoccupations, immédiatement après la construction des routes.
Ça a été la réorganisation domaniale et financière du Port;
exonérant la commune de Nouméa d'une charge qu'elle ne
pouvait assumer ; la création, en faveur de cette dernière, de
ressources nouvelles pour son édilité et son assainissement ;
la fructueuse mission JoKDETqui nous adonné, pour l'aménagement
définitif du port et l'assainissement complet de Nouméa, lasolution
de questions pendantes depuis plus de trente ans; le sauvetage du
grand quai, grâce aux directives techniques données par
M. JONDET; l'agrandissement et la construction de docks;
l'éclairage; l'organisation du service de propreté; la solution
du conflit pendant dépuis quinze ans, entre la Commune de
- Nouméa, la Colonie et la Société des Hauts-Fourneaux, pour
l'étabhssement d'emprises sur la mer et d'un wharf utiles à son
entreprise à la Pointe Doniambo ; solution qui a permis
aux travaux, de la main-d'œuvre indigène précédemment réputée
inutilisable pour cette tâche ; constitué le matériel mécanique
dont la Colonie était dépourvue.
De 1925 à 1928, nous avons dépensé pour les routes neuves
13.572.000francs.
A l'ouverture de votre précédente session, je vous ai donné
les prix de revient moyen au kilomètre.
Parallèlement, nous avons considérablement amélioré la
vieille route de la côte ouest jusqu'à Bourail. Les entretiens, les
grosses réparations nous. ont coûté 3,391.000 francs et2.558.000fr.
La création des. circonscriptions de travaux publics, en
assurant la direction technique pour les municipalités de l'inté-
rieur, a permis, avec les larges subventions accordées aux
budgets communaux depuis quatre ans, l'amélioration de la voirie
secondaire, de sorte que de nombreux chemins municipaux sont
devenus routes carrossables, sur un développement d'au moins
250 kilomètres pour l'ensemble.
L'organisation des prestations indigènes a activement
concouru, tant sur la grande terre que dans les dépendances, à
l'entretien et à l'amélioration des routes et sentiers, même à
l'établissement de nouvelles vois secondaires,, sur un dévelop-
pement total de 1.980 kilomètres.
En même temps, le système des prestations et celui de
l'impôt personnel des indigènes ont été aménagés de façonà
assurer un régime de faveur aux familles nombreuses.
L'amélioration du port de Nouméa a pris place, dans nos
préoccupations, immédiatement après la construction des routes.
Ça a été la réorganisation domaniale et financière du Port;
exonérant la commune de Nouméa d'une charge qu'elle ne
pouvait assumer ; la création, en faveur de cette dernière, de
ressources nouvelles pour son édilité et son assainissement ;
la fructueuse mission JoKDETqui nous adonné, pour l'aménagement
définitif du port et l'assainissement complet de Nouméa, lasolution
de questions pendantes depuis plus de trente ans; le sauvetage du
grand quai, grâce aux directives techniques données par
M. JONDET; l'agrandissement et la construction de docks;
l'éclairage; l'organisation du service de propreté; la solution
du conflit pendant dépuis quinze ans, entre la Commune de
- Nouméa, la Colonie et la Société des Hauts-Fourneaux, pour
l'étabhssement d'emprises sur la mer et d'un wharf utiles à son
entreprise à la Pointe Doniambo ; solution qui a permis
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