Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 janvier 1930 01 janvier 1930
Description : 1930/01/01 (A23,N252)-1930/01/31. 1930/01/01 (A23,N252)-1930/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64376341
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/12/2012
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
ÉTUDES GÉNÉRALES 53
et la première publiée dans les périodiques traitant de questions
d'enseignement. Les maîtres et maîtresses en donneraient lec-
ture dans une leçon, au commencement de l'année scolaire
suivante.
Qu'il nous soit encore, et l'on nous en excusera, permis
de citer la Ligue maritime et coloniale française : pour la qua-
trième année, en 1922, la grande Association dirige vers le
Maroc, avec la haute et très éclairée collaboration de la résidence
générale, des caravanes de cette nature, dont le voyage a été,
convient-il d'ajouter, facilité par la bienveillance de la compa-
gnie générale transatlantique.
Jamais aucun de ces voyages n'a donné lieu à un incident
quelconque, et tous ont laissé dans les milieux pédagogiques la
plus profonde et la plus féconde impression.
L'expérience est donc faite, il s'agit maintenant de la
développer, de la généraliser et de lui donner, en quelque sorte,
un caractère à la fois définitif et officiel.
Parallèlement à ce'tte action pédagogique, devraient être
aussi largement multipliées que possible sur tous les points
du territoire des séances de propagande, à la fois instructives
et récréatives, de manière à ce que, ni pour les maîtres, ni
pour les élèves, elles ne présentent le caractère d'un cours
supplémentaire venant s'ajouter à tant d'autres obligés; ces
séances ne devant pas, en principe, durer plus d'une heure et
comporter, dans un grand vaisseau, à même de recevoir le
maximum d'élèves de toutes les écoles de chaque centre, une
courte allocution de 15 minutes, une partie récréative suivant
un programme soigneusement sélectionné et adapté au jeune
Public de 15 autres minutes, d'une 1/2 heure de projection de
films de vulgarisation et, si cela se peut, expliqués. Chaque
séance présidée soit par une personnalité municipale ou un
inspecteur de l'Enseignement.
Ce sont là des initiatives susceptibles d'être prises, dans
chaque centre, par les personnalités compétentes et pour la
Multiplication desquelles il suffira d'une impulsion venue d'en
haut.
Reste enfin l'enseignement supérieur
Ici, la propagande scolaire coloniale cesse de trouver un
terrain possible, l'enseignement supérieur comportant un cer-
tain nombre de compartiments spécialisés et qui absorbent non
seulement tout le temps disponible et toutes les facultés d'assi-
et la première publiée dans les périodiques traitant de questions
d'enseignement. Les maîtres et maîtresses en donneraient lec-
ture dans une leçon, au commencement de l'année scolaire
suivante.
Qu'il nous soit encore, et l'on nous en excusera, permis
de citer la Ligue maritime et coloniale française : pour la qua-
trième année, en 1922, la grande Association dirige vers le
Maroc, avec la haute et très éclairée collaboration de la résidence
générale, des caravanes de cette nature, dont le voyage a été,
convient-il d'ajouter, facilité par la bienveillance de la compa-
gnie générale transatlantique.
Jamais aucun de ces voyages n'a donné lieu à un incident
quelconque, et tous ont laissé dans les milieux pédagogiques la
plus profonde et la plus féconde impression.
L'expérience est donc faite, il s'agit maintenant de la
développer, de la généraliser et de lui donner, en quelque sorte,
un caractère à la fois définitif et officiel.
Parallèlement à ce'tte action pédagogique, devraient être
aussi largement multipliées que possible sur tous les points
du territoire des séances de propagande, à la fois instructives
et récréatives, de manière à ce que, ni pour les maîtres, ni
pour les élèves, elles ne présentent le caractère d'un cours
supplémentaire venant s'ajouter à tant d'autres obligés; ces
séances ne devant pas, en principe, durer plus d'une heure et
comporter, dans un grand vaisseau, à même de recevoir le
maximum d'élèves de toutes les écoles de chaque centre, une
courte allocution de 15 minutes, une partie récréative suivant
un programme soigneusement sélectionné et adapté au jeune
Public de 15 autres minutes, d'une 1/2 heure de projection de
films de vulgarisation et, si cela se peut, expliqués. Chaque
séance présidée soit par une personnalité municipale ou un
inspecteur de l'Enseignement.
Ce sont là des initiatives susceptibles d'être prises, dans
chaque centre, par les personnalités compétentes et pour la
Multiplication desquelles il suffira d'une impulsion venue d'en
haut.
Reste enfin l'enseignement supérieur
Ici, la propagande scolaire coloniale cesse de trouver un
terrain possible, l'enseignement supérieur comportant un cer-
tain nombre de compartiments spécialisés et qui absorbent non
seulement tout le temps disponible et toutes les facultés d'assi-
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