Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 janvier 1930 01 janvier 1930
Description : 1930/01/01 (A23,N252)-1930/01/31. 1930/01/01 (A23,N252)-1930/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64376341
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/12/2012
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
36 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
de nier l'attrait qu'exercerait sur la clientèle touristique la
mention 'dans le programme de Tomhouctou-la-Mystériense
encore qu'elle ne mérite plus ce surnom et que son attrait, sa
curiosité sioent bien discutés de qui la connaît. Mais, « offi-
ciellement », il faut quatre jours de bateau de Kolikoro à
Kabora, port de Tombouctou, encore que j'en aie mis autant de
Kouroussa à Bamako pour accomplir un parcours de moitié plus
court; et il en faut huit, toujours officiellement, pour remonter
de Kabora à Kolikoro, plus le séjour dans la Mystérieuse : soit
en tout, au minimum, treize ou quatorze jours, durant lesquels
matériel et personnel restent en débord à Kolikoro : impraticable
ne fut-ce que par les frais mutiles que coûterait une telle
immobilisation et la répercussion plus que gênante qu'elle
apporterait à la périodicité successive .des caravanes de tou-
ristes, alors qu'on peut se demander s'il n'y aurait pas intérêt
à inscrire celles-ci dans un laps de temps tel qu'elles retrouvent
à Grand-Bassam ou à Konakry le bateau, retour de Matadi, qui
'les aura amenées d'Europe, ainsi que je l'ai fait moi-même, et
dut-on, pour cela, raccourcir un peu la randonnée. : ne fut-ce
qu'en supprimant Sassandra, que près de 500 kilomètres sé-
parent de Grand-Bassam.
Quant à la randonnée Bamako-Tombouctou et retour par la
route, s'il se trouve des touristes aimant dépenser beaucoup
pour faire un voyage fastidieux, il ne faut pas manquer de la
leur recommander.
Tombouctou, c'est, au surplus, un autre voyage, soit qu'on
parte de Dakar, soit, comme y avait songé notre ami DAL PIAZ,
qu'on y accède par le nord.
Quant aux modalités de transport, voici comment il est
permis de les entrevoir :
Parlant de Conakry en train spécial, tout le matériel fi se
et roulant, embarqué sur wagons, la caravane ferait un premier
arrêt d'un jour aux Grandes-Chutes. Puis, un autre, d'un ou de
deux jours à Kindia pour la visite des bananeraies et de l'Ins-
titut Pastoria. Troisième arrêt de deux jours au moins, sinon
trois, à Mamou, d'où départ en auto sur Pita et Labé, avec
camping en Fouta-Djalon. De là, Kouroussa, un jour et Kankan
autant. Retour sur Kouroussa, d'où départ en auto sur Bamako
par Siguiri et Bouré, par étapes en auto, à déterminer sui-
vant étude du kilomètre et des horaires.
de nier l'attrait qu'exercerait sur la clientèle touristique la
mention 'dans le programme de Tomhouctou-la-Mystériense
encore qu'elle ne mérite plus ce surnom et que son attrait, sa
curiosité sioent bien discutés de qui la connaît. Mais, « offi-
ciellement », il faut quatre jours de bateau de Kolikoro à
Kabora, port de Tombouctou, encore que j'en aie mis autant de
Kouroussa à Bamako pour accomplir un parcours de moitié plus
court; et il en faut huit, toujours officiellement, pour remonter
de Kabora à Kolikoro, plus le séjour dans la Mystérieuse : soit
en tout, au minimum, treize ou quatorze jours, durant lesquels
matériel et personnel restent en débord à Kolikoro : impraticable
ne fut-ce que par les frais mutiles que coûterait une telle
immobilisation et la répercussion plus que gênante qu'elle
apporterait à la périodicité successive .des caravanes de tou-
ristes, alors qu'on peut se demander s'il n'y aurait pas intérêt
à inscrire celles-ci dans un laps de temps tel qu'elles retrouvent
à Grand-Bassam ou à Konakry le bateau, retour de Matadi, qui
'les aura amenées d'Europe, ainsi que je l'ai fait moi-même, et
dut-on, pour cela, raccourcir un peu la randonnée. : ne fut-ce
qu'en supprimant Sassandra, que près de 500 kilomètres sé-
parent de Grand-Bassam.
Quant à la randonnée Bamako-Tombouctou et retour par la
route, s'il se trouve des touristes aimant dépenser beaucoup
pour faire un voyage fastidieux, il ne faut pas manquer de la
leur recommander.
Tombouctou, c'est, au surplus, un autre voyage, soit qu'on
parte de Dakar, soit, comme y avait songé notre ami DAL PIAZ,
qu'on y accède par le nord.
Quant aux modalités de transport, voici comment il est
permis de les entrevoir :
Parlant de Conakry en train spécial, tout le matériel fi se
et roulant, embarqué sur wagons, la caravane ferait un premier
arrêt d'un jour aux Grandes-Chutes. Puis, un autre, d'un ou de
deux jours à Kindia pour la visite des bananeraies et de l'Ins-
titut Pastoria. Troisième arrêt de deux jours au moins, sinon
trois, à Mamou, d'où départ en auto sur Pita et Labé, avec
camping en Fouta-Djalon. De là, Kouroussa, un jour et Kankan
autant. Retour sur Kouroussa, d'où départ en auto sur Bamako
par Siguiri et Bouré, par étapes en auto, à déterminer sui-
vant étude du kilomètre et des horaires.
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