Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 juin 1929 01 juin 1929
Description : 1929/06/01 (A22,N245)-1929/06/30. 1929/06/01 (A22,N245)-1929/06/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64370769
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/12/2012
- Aller à la page de la table des matières569
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ:
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- Informations:
- .......... Page(s) .......... 673
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- .......... Page(s) .......... 680
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- .......... Page(s) .......... 685
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- .......... Page(s) .......... 688
- .......... Page(s) .......... 689
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- .......... Page(s) .......... 691
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- .......... Page(s) .......... 692
- .......... Page(s) .......... 696
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 710
- .......... Page(s) .......... 712
- .......... Page(s) .......... 713
ÉTUDES GÉNÉRALES 635
nombre d'essences ou de chutes inutilisées actuellement, soit que
leur valeur industrielle soit trop faible pour supporter les tarifs
actuelsde frêt, soit que ces essences soient sujettes à échauffement
rapide ou soient attaquées, en cours de transport, par des insectes
xylophages. D'importantes scieries pourront donc être installées
à proximité des ports d'embarquement ou des zones exploitables
de forêts et l'emploi d'engins mécaniques pour l'exploitation et
l'évacuation des bois sur ces scieries se vulgarisera d'autant plus
rapidement que la proportion d'arbres abattus dans une zone
déterminée sera plus grande et permettra une exploitation plus
industrielle et moderne.
Tant que ces conditions d'embarquement ne seront pas réel-
lement améliorées, les exportations de bois coloniaux ne pourront
donc prendre tout le développement dont elles sont susceptibles ;
les Colonies continueront à nous envoyer des bois en billes dont
le prix de vente devra être assez élevé, de façon à couvrir tous
les frais d'exploitation et de transport, à rémunérer convena-
blement les capitaux investis et les énergies employées dans les
exploitations forestières. Les envois de bois resteront limités
comme variétés, ce qui n'est peut-être pas un grand mal (car un
trop grand nombre pourrait jeter la confusion chez les employeurs)
et comme quantités, ce qui est plus regrettable, en raisun des
difficultés d'écoulement de nombre d'essences à prix
rémunérateurs.
On saisit quelle importance prendra, pour la mise en valeur
des forêts coloniales, la construction d'ouvrages destinés à faci-
liter les embarquements de bois sur les navires. Les dépenses
engagées par les Colonies intéressées dans ces travaux consti-
tueront pour elles, on peut l'affirmer, le meilleur des placements
Principales essences exploitées.
Dès maintenant, en dehors de l'acajou, dont les variétés sont
nombreuses, et de l'okoumé, il est une quarantaine d'essences
coloniales considérées en quelque sorte comme accréditées dans
nos industries et qui parviennent en plus ou moins grandes
quantités, mais assez régulièrement sur nos marchés.
Je n'en donnerai pas l'énumération, laquelle pourrait paraitre
fastidieuse. Une vingtaine d'essences africaines, une douzaine de
la Guyane, deux ou trois de Madagascar et autant d'Indochine.
Le groupe africain nous envoie avec le plus grand nombre de
variétés, les stocks les plus importants.
nombre d'essences ou de chutes inutilisées actuellement, soit que
leur valeur industrielle soit trop faible pour supporter les tarifs
actuelsde frêt, soit que ces essences soient sujettes à échauffement
rapide ou soient attaquées, en cours de transport, par des insectes
xylophages. D'importantes scieries pourront donc être installées
à proximité des ports d'embarquement ou des zones exploitables
de forêts et l'emploi d'engins mécaniques pour l'exploitation et
l'évacuation des bois sur ces scieries se vulgarisera d'autant plus
rapidement que la proportion d'arbres abattus dans une zone
déterminée sera plus grande et permettra une exploitation plus
industrielle et moderne.
Tant que ces conditions d'embarquement ne seront pas réel-
lement améliorées, les exportations de bois coloniaux ne pourront
donc prendre tout le développement dont elles sont susceptibles ;
les Colonies continueront à nous envoyer des bois en billes dont
le prix de vente devra être assez élevé, de façon à couvrir tous
les frais d'exploitation et de transport, à rémunérer convena-
blement les capitaux investis et les énergies employées dans les
exploitations forestières. Les envois de bois resteront limités
comme variétés, ce qui n'est peut-être pas un grand mal (car un
trop grand nombre pourrait jeter la confusion chez les employeurs)
et comme quantités, ce qui est plus regrettable, en raisun des
difficultés d'écoulement de nombre d'essences à prix
rémunérateurs.
On saisit quelle importance prendra, pour la mise en valeur
des forêts coloniales, la construction d'ouvrages destinés à faci-
liter les embarquements de bois sur les navires. Les dépenses
engagées par les Colonies intéressées dans ces travaux consti-
tueront pour elles, on peut l'affirmer, le meilleur des placements
Principales essences exploitées.
Dès maintenant, en dehors de l'acajou, dont les variétés sont
nombreuses, et de l'okoumé, il est une quarantaine d'essences
coloniales considérées en quelque sorte comme accréditées dans
nos industries et qui parviennent en plus ou moins grandes
quantités, mais assez régulièrement sur nos marchés.
Je n'en donnerai pas l'énumération, laquelle pourrait paraitre
fastidieuse. Une vingtaine d'essences africaines, une douzaine de
la Guyane, deux ou trois de Madagascar et autant d'Indochine.
Le groupe africain nous envoie avec le plus grand nombre de
variétés, les stocks les plus importants.
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