Revue des cultures coloniales

1901
1902
1903
1904

Jan.
Fev.
Mars
Avr.
Mai
Juin
Juil.
Août
Sept.
Oct.
Nov.
Dec.

Presse et revues

32 pages

Titre : Revue des cultures coloniales

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1904-04-20

Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r

Type : texte texte

Type : publication en série imprimée publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134

Description : 20 avril 1904 20 avril 1904

Description : 1904/04/20 (A8,N147,T14). 1904/04/20 (A8,N147,T14).

Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad

Droits : Consultable en ligne

Identifiant : ark:/12148/bpt6k6432179b

Source : CIRAD, 2012-231823

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 12/08/2013

238 REVUE DES CULTURES COLONIALES

résultat; nous ne nous sommes donc plus occupé de cette variété du Levant.

Même pour la variété de Chine, d'ailleurs, le développement a été assez irré-
gulier et difficile; les pieds sont toujours restés clairsemés.

La floraison a commencé le 31 juillet, soit après deux mois de végétation, pen-
dant lesquels la température moyenne a été de 20°.

Les fleurs ont été surtout nombreuses vers le 15 août.

A la fin de ce mois et en septembre, les capsules mûrissent peu à peu, et un
certain nombre sont cueillies.

Nous avons ainsi récolté 450 grammes de graines, c'est-à-dire un poids certai-
nement bien inférieur à celui que nous aurions obtenu si notre culture avait
mieux réussi et avait été plus touffue.

Mais le principal fait à retenir est que le développement complet de la plante
a pu s'effectuer en trois mois, à une température moyenne de 2005, qui semble
avoir été juste la température minima suffisante pour permettre ce dévelop-
pement.

JUMELLE.

(A suivre.)

VARIÉTÉS

ÉGRENAGK DU COTON (1)

LES ÉGRENEUSES DE COTON A ROULEAUX

L'apparition de l'égreneuse à scies ne supprima pas du coup les machines à
rouleaux, ainsi qu'on l'avait un moment supposé. Cette machine, en effet, d'un
rendement beaucoup plus élevé et d'une conduite plus facile que l'égreneuse à
rouleaux, avait le gros inconvénient de faire un travail plus violent qui brisait
la fibre. Cet inconvénient, déjà sensible pour les cotons à soies courtes (moins
de 20 à 22 millimètres), est capital pour les cotons à longues soies, de qualité
supérieure, dont la valeur marchande est déterminée surtout par la longueur des
fibres (plus de 30 millimètres). Beaucoup de types de machines à rouleaux furent
donc créés, l'idée dominant dans l'établissement de chacun étant l'augmentation
du rendement, dont la faiblesse constitue la seule infériorité de ce type.

On peut diviser ces égreneuses en deux grandes catégories; dans la première,
nous trouvons deux rouleaux en contact ; les machines basées sur ce principe ont
disparu complètement ; la deuxième catégorie comprend des machines où le rou-
leau travaille contre une plane, sorte de couteau ou de racloir. A ce principe se
rattachent les seules machines à rouleaux en usage aujourd'hui.

(1) Voir Revue, nO 146.

Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.

Auteurs similaires

Page

chiffre de pagination vue 14/32