Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1905-10-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 octobre 1905 31 octobre 1905
Description : 1905/10/31 (A5,N52). 1905/10/31 (A5,N52).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64264518
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières289
- Sommaire
- ÉTUDES & DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
- .......... Page(s) .......... 306
- .......... Page(s) .......... 306
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 313
- .......... Page(s) .......... 313
- .......... Page(s) .......... 314
- .......... Page(s) .......... 314
- .......... Page(s) .......... 315
- .......... Page(s) .......... 315
- .......... Page(s) .......... 316
- .......... Page(s) .......... 314
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 319
- .......... Page(s) .......... 320
- .......... Page(s) .......... 320
- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- .......... Page(s) .......... XVII-XXI
- FIGURES
- .......... Page(s) .......... 299
No 52 — OCT. 1905 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 299
» Je reconnais cependant que, dans une
grande plantation, on ne peut pas, pour le
moment, tirer tout le parti qu'on voudrait
du nouveau procédé, vu que la fermenta-
tion par ce procédé est plus longue et sur-
tout demande beaucoup plus de main-
d'œuvre. Du reste, sur les grands marchés
mondiaux on classe malheureusement les
cacaos surtout par leurs pays d'origine,
sans tenir grand compte de la façon dont
tel ou tel lot a été traité ; on n'y paye donc
pas les cacaos de fermentation perfec-
tionnée plus cher que les autres; à moins
qu'un fabricant l'ayant une fois essayé
n'exige expressément la même qualité. Mais
en principe les cacaos très fins ne sont em-
ployés que pour les chocolats de luxe qui ne
représentent qu'une faible proportion de la
fabrication mondiale.
» J'admets donc une partie des critiques
de M. MONTET ; mais lorsqu'il dit que les
marchés d'Europe cotent la plupart du
temps ce qu'on pourrait appeler les cacaos
SCHULTE au-dessous des cacaos de fermen-
tation ordinaire, etc., je dois faire obserwr
que probablement les marchés d'Europe ne
connaissent même pas le cacao SCHVLTE,
ignorant jusqu'à son existence, à l'excep-
tion de quelques fabricants auxquels soit le
Dr SCHCLTE, soit le propriétaire du cacao, se
sont adressés directement. On ne saurait
donc tirer argument de l'absence de plus-
value ; il faudrait des essais de fabrication
nombreux et une réclame faite avec persé-
vérance, ce qui n'a pas été le cas.
» Je ne partage également pas l'opinion
de M. MONTET que le procédé en discussion
ne permet pas d'obtenir, dans les conditions
où l'on se trouve, de la marchandise uni-
forme, depuis que l'inventeur n'est plus là
pour diriger les manipulations. De petites
quantités de cacao de la propriété de M. DE
MENDONÇA, fermentées d'après le procédé
SCHULTE, arriventà Lisbonne tous les mois;
le cacao est parfaitement pareil à lui-même,
depuis que cela dure. »
La Machine à faire le « Worm-rubber »
Description de la machine à coaguler le caoutchouc, système MICHIE-GOLLEDGE
Par M. F. MAIN
Dans le n° 50 du « J.d'A. T. » il a été
donné des détails circonstanciés sur la coa-
gulation et la dessication du
caoutchouc d'après le procé-
dé le plus généralement ap-
pliqué à l'heure actuelle
dans les plantations d'Hevea
à Ccylan et en Malaisie ;
procédé qui fournit la quali-
té, en plaques, connue sur le
marché sous le nom de « bis-
cuits » de Ccylan. Comme
nous l'avons dit à cette occa-
sion, le procédé en question
est considérée par bien des
personnes comme beaucoup
trop fastidieux pour pouvoir
être employé avec avantage
dans une exploitation qui
comprendrait un grand
FIG. 32. — Machine MICHIE-GOLLEDGE
nombre d'arbres en rapport.On a donc pro-
posé d'y substituer, des procédés nouveaux
permettant l'emploi de ma-
chines et, partant,infiniment
plus expéditifs.
Dans la note précitée,nous
mentionnions deux de ces
machines : celle de BURGESS-
qui fait du « crêpe-rubber »
et celle de MICHIE - GOLLED-
GE, plus récente, qui fait
du « worm-rubber ». Nous
sommes heureux de pouvoir
donner aujourd'hui à nos
lecteurs une idée générale
de cette dernière machine
Nous reproduisons l'une des
figures de notre excellent
confrère « India Rubber Jour-
nal », nOtl u 25 septem bre 1905.
» Je reconnais cependant que, dans une
grande plantation, on ne peut pas, pour le
moment, tirer tout le parti qu'on voudrait
du nouveau procédé, vu que la fermenta-
tion par ce procédé est plus longue et sur-
tout demande beaucoup plus de main-
d'œuvre. Du reste, sur les grands marchés
mondiaux on classe malheureusement les
cacaos surtout par leurs pays d'origine,
sans tenir grand compte de la façon dont
tel ou tel lot a été traité ; on n'y paye donc
pas les cacaos de fermentation perfec-
tionnée plus cher que les autres; à moins
qu'un fabricant l'ayant une fois essayé
n'exige expressément la même qualité. Mais
en principe les cacaos très fins ne sont em-
ployés que pour les chocolats de luxe qui ne
représentent qu'une faible proportion de la
fabrication mondiale.
» J'admets donc une partie des critiques
de M. MONTET ; mais lorsqu'il dit que les
marchés d'Europe cotent la plupart du
temps ce qu'on pourrait appeler les cacaos
SCHULTE au-dessous des cacaos de fermen-
tation ordinaire, etc., je dois faire obserwr
que probablement les marchés d'Europe ne
connaissent même pas le cacao SCHVLTE,
ignorant jusqu'à son existence, à l'excep-
tion de quelques fabricants auxquels soit le
Dr SCHCLTE, soit le propriétaire du cacao, se
sont adressés directement. On ne saurait
donc tirer argument de l'absence de plus-
value ; il faudrait des essais de fabrication
nombreux et une réclame faite avec persé-
vérance, ce qui n'a pas été le cas.
» Je ne partage également pas l'opinion
de M. MONTET que le procédé en discussion
ne permet pas d'obtenir, dans les conditions
où l'on se trouve, de la marchandise uni-
forme, depuis que l'inventeur n'est plus là
pour diriger les manipulations. De petites
quantités de cacao de la propriété de M. DE
MENDONÇA, fermentées d'après le procédé
SCHULTE, arriventà Lisbonne tous les mois;
le cacao est parfaitement pareil à lui-même,
depuis que cela dure. »
La Machine à faire le « Worm-rubber »
Description de la machine à coaguler le caoutchouc, système MICHIE-GOLLEDGE
Par M. F. MAIN
Dans le n° 50 du « J.d'A. T. » il a été
donné des détails circonstanciés sur la coa-
gulation et la dessication du
caoutchouc d'après le procé-
dé le plus généralement ap-
pliqué à l'heure actuelle
dans les plantations d'Hevea
à Ccylan et en Malaisie ;
procédé qui fournit la quali-
té, en plaques, connue sur le
marché sous le nom de « bis-
cuits » de Ccylan. Comme
nous l'avons dit à cette occa-
sion, le procédé en question
est considérée par bien des
personnes comme beaucoup
trop fastidieux pour pouvoir
être employé avec avantage
dans une exploitation qui
comprendrait un grand
FIG. 32. — Machine MICHIE-GOLLEDGE
nombre d'arbres en rapport.On a donc pro-
posé d'y substituer, des procédés nouveaux
permettant l'emploi de ma-
chines et, partant,infiniment
plus expéditifs.
Dans la note précitée,nous
mentionnions deux de ces
machines : celle de BURGESS-
qui fait du « crêpe-rubber »
et celle de MICHIE - GOLLED-
GE, plus récente, qui fait
du « worm-rubber ». Nous
sommes heureux de pouvoir
donner aujourd'hui à nos
lecteurs une idée générale
de cette dernière machine
Nous reproduisons l'une des
figures de notre excellent
confrère « India Rubber Jour-
nal », nOtl u 25 septem bre 1905.
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