Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1905-06-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 30 juin 1905 30 juin 1905
Description : 1905/06/30 (A5,N48). 1905/06/30 (A5,N48).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6426447c
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières161
- Sommaire
- ÉTUDES & DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 185
- .......... Page(s) .......... 186
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 188
- .......... Page(s) .......... 188
- .......... Page(s) .......... 189
- .......... Page(s) .......... 190
- .......... Page(s) .......... 190
- .......... Page(s) .......... 190
- .......... Page(s) .......... 191
- .......... Page(s) .......... 191
- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- .......... Page(s) .......... XVII-XXI
- FIGURES
492 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE No 48 — JUIN 1905
serrée entre l'huile et les tourteaux de coton
indiens et les produits similaires égyptiens,
leurs principaux concurrents sur le marché
international. Quoique généralement tenus
pour inférieurs, les produits indiens, — huile
et tourteau, — arrivent cependant à concur-
rencer les produits égyptiens sur le marché
anglais, à cause de leur prix inférieur. Les
expériences prolongées, citées dans la bro-
chure, prouvent que la valeur alimentaire
est sensiblement la même dans les deux cas.
Il existe deux grandes huileriès de coton à
Lahore et à Akola; d'autre part, les usines
anglaises, et en particulier celles de Hull,
ont traité déjà des quantités considérables de
graines provenant de l'Inde, puisque ce pays
en a exporté, dansl'année 1902-1903,-près de
4.000.000 cwt. Il a été fait également d'im-
portants essais en Amérique. Malgré cela,
on n'est pas encore fixé sur la question de.
savoir jusqu'à quel point les machines mo-
dernes sont bien appropriées au travail des
graines de coton indiennes.
Sous ce rapport, il ne semble pas qu'il ait
été fait du chemin depuis la brochure de
M. SLY, analysée dans notre no 22, § 372 ;
mais on ne tardera pas à être renseigné, car
M. MOLLISON, — qui est le chef du service agro-
nomique de l'Inde, — vient d'ordonner deux
vastes expériences à cet effet, l'une à Hull,
l'autre en Amérique.; cette dernière sera
conduite pour le compte du Département
d'Agriculture de l'Inde, par celui de Washing-
ton.
A priori, M. MOLLISON est persuadé qu'une
étude attentive de la matière première amè-
nera les constructeurs à modifier certains
détails de leurs machines actuelles, car les
graines de l'Inde diffèrent trop, dit-il, de
celles d'Egypte et d'Amérique : en premier
lieu elles sont, en général, beaucoup plus
petites ; en outre, elles présentent aussi un
duvet beaucoup plus serré et beaucoup plus
adhérent.
Le commerce de graines de coton de
l'Inde, né d'hier, est encore susceptible d'une
très forte expansion. M. MOLLISON a repris
les calculs de M. SLY et évalue à 21.000.000
cwt. la production annuelle moyenne de
graines de coton dans le pays : l'exportation
de l'année 1902-1903 n'aurait donc tlrainé
que 20 environ. F. M.
AVIS IMPORTANT
Une partie de nos abonnements sont encore à échéance de fin juin. Sauf avis contraire
nous ferons recouvrer par la poste, dans la première quinzaine de juillet, le montant du
renouvellement de ces abonnements, pour six mois (soit 10 francs, plus 50 centimes
pour frais de recouvrement) de manière à les ramener à l'échéance de fin d'année. Les
1recouvrements étan.t malheureusement encore impossibles dans les colonies françaises et
clans la plupart des pays étrangers, nous serons obligés de suspendre le service aux abon-
nés coloniaux et étrangers 'qui n'auront pas renouvelé avant fin juillet.
Nous rappelons que nous avons renoncé aux abonnements semestriels qui compliquent
trop la comptabilité du Journal.
Nous n'acceptons plus d'abonnements nouveaux autres qu'à l'échéance de fin décembre
et pour l'année entière. - Cette échéance unique coïncide d'ailleurs avec la publication
de notre Table des Matières, qui est annuelle. Prière donc, à ceux de nos abonnés dont
l'abonnement expire ce mois-ci, de renouveler soit pour 6 mois, soit pour 18 mois, de ma-
nière à ce que leur prochaine échéance tombe à fin décembre 1905 ou à fin décembre
1906.
Imprimerie J. B. ACHARD, 10, rue de F-landre, Dreux. Le Gérant : J. B. ACHARD.
serrée entre l'huile et les tourteaux de coton
indiens et les produits similaires égyptiens,
leurs principaux concurrents sur le marché
international. Quoique généralement tenus
pour inférieurs, les produits indiens, — huile
et tourteau, — arrivent cependant à concur-
rencer les produits égyptiens sur le marché
anglais, à cause de leur prix inférieur. Les
expériences prolongées, citées dans la bro-
chure, prouvent que la valeur alimentaire
est sensiblement la même dans les deux cas.
Il existe deux grandes huileriès de coton à
Lahore et à Akola; d'autre part, les usines
anglaises, et en particulier celles de Hull,
ont traité déjà des quantités considérables de
graines provenant de l'Inde, puisque ce pays
en a exporté, dansl'année 1902-1903,-près de
4.000.000 cwt. Il a été fait également d'im-
portants essais en Amérique. Malgré cela,
on n'est pas encore fixé sur la question de.
savoir jusqu'à quel point les machines mo-
dernes sont bien appropriées au travail des
graines de coton indiennes.
Sous ce rapport, il ne semble pas qu'il ait
été fait du chemin depuis la brochure de
M. SLY, analysée dans notre no 22, § 372 ;
mais on ne tardera pas à être renseigné, car
M. MOLLISON, — qui est le chef du service agro-
nomique de l'Inde, — vient d'ordonner deux
vastes expériences à cet effet, l'une à Hull,
l'autre en Amérique.; cette dernière sera
conduite pour le compte du Département
d'Agriculture de l'Inde, par celui de Washing-
ton.
A priori, M. MOLLISON est persuadé qu'une
étude attentive de la matière première amè-
nera les constructeurs à modifier certains
détails de leurs machines actuelles, car les
graines de l'Inde diffèrent trop, dit-il, de
celles d'Egypte et d'Amérique : en premier
lieu elles sont, en général, beaucoup plus
petites ; en outre, elles présentent aussi un
duvet beaucoup plus serré et beaucoup plus
adhérent.
Le commerce de graines de coton de
l'Inde, né d'hier, est encore susceptible d'une
très forte expansion. M. MOLLISON a repris
les calculs de M. SLY et évalue à 21.000.000
cwt. la production annuelle moyenne de
graines de coton dans le pays : l'exportation
de l'année 1902-1903 n'aurait donc tlrainé
que 20 environ. F. M.
AVIS IMPORTANT
Une partie de nos abonnements sont encore à échéance de fin juin. Sauf avis contraire
nous ferons recouvrer par la poste, dans la première quinzaine de juillet, le montant du
renouvellement de ces abonnements, pour six mois (soit 10 francs, plus 50 centimes
pour frais de recouvrement) de manière à les ramener à l'échéance de fin d'année. Les
1recouvrements étan.t malheureusement encore impossibles dans les colonies françaises et
clans la plupart des pays étrangers, nous serons obligés de suspendre le service aux abon-
nés coloniaux et étrangers 'qui n'auront pas renouvelé avant fin juillet.
Nous rappelons que nous avons renoncé aux abonnements semestriels qui compliquent
trop la comptabilité du Journal.
Nous n'acceptons plus d'abonnements nouveaux autres qu'à l'échéance de fin décembre
et pour l'année entière. - Cette échéance unique coïncide d'ailleurs avec la publication
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l'abonnement expire ce mois-ci, de renouveler soit pour 6 mois, soit pour 18 mois, de ma-
nière à ce que leur prochaine échéance tombe à fin décembre 1905 ou à fin décembre
1906.
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