Titre : L'Agriculture pratique des pays chauds : bulletin du Jardin colonial et des jardins d'essai des colonies françaises
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : France. Inspection générale de l'agriculture coloniale. Auteur du texte
Éditeur : A. Challamel (Paris)
Éditeur : Société d'éditions géographiques, maritimes et colonialesSociété d'éditions géographiques, maritimes et coloniales (Paris)
Date d'édition : 1913-05-01
Contributeur : Perrier, Edmond (1844-1921). Directeur de publication
Contributeur : Wery, Georges Eugène (1861-1936). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34427633b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 14345 Nombre total de vues : 14345
Description : 01 mai 1913 01 mai 1913
Description : 1913/05/01 (A13,N122)-1913/05/31. 1913/05/01 (A13,N122)-1913/05/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64240496
Source : CIRAD, 2012-231834
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
CULTURE DU CITRONNIER 403
ment des clients importants, pour les planteurs Dominicains. On
peut constater en effet que, pendant les mois de juin-juillet les quais
de Roseau, aux jours de passage des paquebots des diverses com-
pagnies anglaises et américaines, faisant le service de New-York et
Liverpool, sont encombrés de barils, ou caisses pleines de citrons
verts, attendant leur embarquement.
Les premières exportations de citrons verts, faites à la Domi-
nique, datent de 1891, année pendant laquelle furent embarqués 99
barils. Depuis, les exportations ont augmenté considérablement.
surtout sur New-York, et l'exportation de ces fruits, pour 1911,
a été de 36.520 barils représentant une valeur de 368.121 francs.
Les emballages ne sont pas les mêmes, selon que les citrons sont
exportés sur les Etats-Unis ou l'Angleterre.
Le marché américain, demande en effet, un petit fruit emballé dans
de bons barils, bien ventilés. Ces barils, de la grandeur d'un baril à
bière, sont percés, sur leurs douelles et le fond, de nombreux trous,
d'un diamètre de 4 à 5 centimètres, assurant la libre circulation de
l'air dans la masse des citrons. Ceux-ci sont enveloppés dans du
papier, et rangés délicatement, les uns contre les autres, dans le
baril. Quand celui-ci est plein, on remet le fond. Les barils sont
alors mis en magasin, en attendant leur embarquement. Un baril
plein, peut contenir de 1.400 à 1.600 fruits, suivant leur grosseur.
(A suivre.)
C. CHALOT,
Professeur à l'Ecole Supérieure
d'agriculture coloniale.
R. DESLANDES,
Ingénieur d'agriculture coloniale,
Titulaire d'une bourse du voyage
aux Antilles, du Ministère des Colonie.
ment des clients importants, pour les planteurs Dominicains. On
peut constater en effet que, pendant les mois de juin-juillet les quais
de Roseau, aux jours de passage des paquebots des diverses com-
pagnies anglaises et américaines, faisant le service de New-York et
Liverpool, sont encombrés de barils, ou caisses pleines de citrons
verts, attendant leur embarquement.
Les premières exportations de citrons verts, faites à la Domi-
nique, datent de 1891, année pendant laquelle furent embarqués 99
barils. Depuis, les exportations ont augmenté considérablement.
surtout sur New-York, et l'exportation de ces fruits, pour 1911,
a été de 36.520 barils représentant une valeur de 368.121 francs.
Les emballages ne sont pas les mêmes, selon que les citrons sont
exportés sur les Etats-Unis ou l'Angleterre.
Le marché américain, demande en effet, un petit fruit emballé dans
de bons barils, bien ventilés. Ces barils, de la grandeur d'un baril à
bière, sont percés, sur leurs douelles et le fond, de nombreux trous,
d'un diamètre de 4 à 5 centimètres, assurant la libre circulation de
l'air dans la masse des citrons. Ceux-ci sont enveloppés dans du
papier, et rangés délicatement, les uns contre les autres, dans le
baril. Quand celui-ci est plein, on remet le fond. Les barils sont
alors mis en magasin, en attendant leur embarquement. Un baril
plein, peut contenir de 1.400 à 1.600 fruits, suivant leur grosseur.
(A suivre.)
C. CHALOT,
Professeur à l'Ecole Supérieure
d'agriculture coloniale.
R. DESLANDES,
Ingénieur d'agriculture coloniale,
Titulaire d'une bourse du voyage
aux Antilles, du Ministère des Colonie.
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