RENSEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES 8?3
Colonies qui puisse remplacer le genévrier de Virginie, générale-
ment appelé cèdre dans le commerce, qui nous vient d'Amérique
à des prix élevés, et le tilleul sylvestre de nos forêts métropoli-
taines qui devient rare, la papeterie en faisant une consommation
de plus en plus grande.
La culture du coton au Cambodge.
En 1921-1922, les conditions ont été mauvaises pour la récolte
du coton : la maturation des capsules a été gênée par l'accrois-
sement continu des cotonniers qui ont eu une production exagérée
de feuilles et de bois ; d'autres part les indigènes découragés
par la mauvaise récolte précédente due aux attaques de la chenille
rose et par l'avilissement des prix avaient réduit leurs surfaces
cultivées..
Les terres rouges ont fourni, surla rive droite du Mékong, une
production dérisoire, en raison de la préparation insuffisante du
sol et des conditions climatériques défavorables ; le rendement
a été d'environ 300 kilos de coton non égrené à l'hectare. Les
cultures sur berges qui s'annonçaient fort bien ont été contrariées
par les trombes d'eau de mars. Aussi la production n'a atteint
que 2.500 tonnes de coton brut, représentant une valeur de près
de 300.000 piastres.
La récolte du poivre au Cambodge.
Les cours du poivre noir ayant baissé de plus de moitié, les
cultivateurs, qui ont de gros frais, ont réduit leurs surfaces
cultivées, et la production de 1921-19-22 n'a été que de
2.200 tonnes contre une moyenne de 3.500 tonnes durant les
trois campagnes précédentes.
Les services d'agriculture du Dahomey.
D'après les propositions inscrites au budget de la Colonie, pour
1923, les stations agricoles doivent être organisées dans le but
d'intensifier la production de certains produits qui réussissent
particulièrement au Dahomey, en fournissant notamment des
plants ou des graines sélectionnées aux producteurs.
Une station pour des recherches scientifiques et pratiques de
l'amélioration du palmier à huile et de la fabrication de l'huile
Colonies qui puisse remplacer le genévrier de Virginie, générale-
ment appelé cèdre dans le commerce, qui nous vient d'Amérique
à des prix élevés, et le tilleul sylvestre de nos forêts métropoli-
taines qui devient rare, la papeterie en faisant une consommation
de plus en plus grande.
La culture du coton au Cambodge.
En 1921-1922, les conditions ont été mauvaises pour la récolte
du coton : la maturation des capsules a été gênée par l'accrois-
sement continu des cotonniers qui ont eu une production exagérée
de feuilles et de bois ; d'autres part les indigènes découragés
par la mauvaise récolte précédente due aux attaques de la chenille
rose et par l'avilissement des prix avaient réduit leurs surfaces
cultivées..
Les terres rouges ont fourni, surla rive droite du Mékong, une
production dérisoire, en raison de la préparation insuffisante du
sol et des conditions climatériques défavorables ; le rendement
a été d'environ 300 kilos de coton non égrené à l'hectare. Les
cultures sur berges qui s'annonçaient fort bien ont été contrariées
par les trombes d'eau de mars. Aussi la production n'a atteint
que 2.500 tonnes de coton brut, représentant une valeur de près
de 300.000 piastres.
La récolte du poivre au Cambodge.
Les cours du poivre noir ayant baissé de plus de moitié, les
cultivateurs, qui ont de gros frais, ont réduit leurs surfaces
cultivées, et la production de 1921-19-22 n'a été que de
2.200 tonnes contre une moyenne de 3.500 tonnes durant les
trois campagnes précédentes.
Les services d'agriculture du Dahomey.
D'après les propositions inscrites au budget de la Colonie, pour
1923, les stations agricoles doivent être organisées dans le but
d'intensifier la production de certains produits qui réussissent
particulièrement au Dahomey, en fournissant notamment des
plants ou des graines sélectionnées aux producteurs.
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l'amélioration du palmier à huile et de la fabrication de l'huile
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