Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1913-11-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 30 novembre 1913 30 novembre 1913
Description : 1913/11/30 (A13,N149). 1913/11/30 (A13,N149).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6418419d
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
No 149 - Nov. 1913 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 345
ment fertile, et surtout la main-d'œuvre
nécessaire à la mise en culture d'étendues
suffisantes.
IVe Exposition internationale des Caout-
choucs et des industries alliées (Londres,
24juin-9 juillet 1914) (1). — Nous avons
déjà, à plusieurs reprises, parlé à nos lec-
teurs de cette exposition qui promet d'être
très importante. Le bureau de la Section
française est maintenant constitué.
Le Ministre des Colonies, l'Administra-
tion centrale et le Comité national des Ex-
positions coloniales ont été d'accord pour
confier les fonctions de Commissaire géné-
ral à M. le Professeur E. PERROT, Profes-
seur a l'Ecole de Pharmacie.
Le bureau de la Section comprend
encore un Commissaire général adjoint,
M. FHANÇOIS, délégué de l'Afrique occiden-
tale, et un secrétaire, M. C.-L. GATIN,
docteur ès sciences, chef de travaux du
Laboratoire d'Agronomie coloniale.
Toutes les communications concernant
la parlicipation de la "France et des Colo-
nies françaises à l'exposition de Londres
devront être désormais adressées à M. le.
Commissaire général de la Section fran-
çaise (2).
L'Agriculture pratique des pays chauds.
— Avec son numéro de juillet dernier,
notre confrère, dont la fondation remonte
à 1901, vient de se transformer. Il est plus
exact de dire que, renonçant au patronage
officiel qui avait présidé à ses débuts, il
continue., sous la même forme matérielle,
et sans changement apparent, la publica-
tion des études intéressantes auxquelles il
nous a habitués, mais il sera désormais
publié sous la direction d'un certain nom-
bre de personnalités parmi lesquelles nous
(1) Rectifions à ce propos une erreur de typogra-
phie : le prix du pied carré brut n'est pas 1 sh. 4, mais
4 sh. Des prix spéciaux comprenant le gardiennage, le
transport des objets et les assurances, seront faits à
MM. les Exposants de la Section française.
(2) Comité des Expositions coloniales, 12, rue Saint-
Georges, à Paris. Ajoutons que depuis ledébut de no-
vembre, M. le Professeur PERROT se tient, 12, rue
Saint-Georges, à la disposition des intéressés, les lundis
de 4 1/2 à 6 heures, et M. GATIN, au même endroit,
les vendredis de 4 h. 1/2 à 6 heures.
sommes heureux de compter de nombreux
amis.
M. EDMOND PERRTER, Directeur du Mu-
séum, a bien voulu prendre la première
place de ce Comité, dans lequel nous rele-
vons entre autres le nom de notre excellent
collaborateur M. JUMELLE. M. FRANÇOIS
PELLEGRIN assume les fonctions de Secré-
taire de la Rédaction.
La publication du Journal est, comme
par le passé, assurée par M. CHALLAMEL, qui
lui continuera le caractère de publication
élégante que nous lui connaissons.
La culture
des légumes d'Europe à Madagascar
Dans le n° 147 du « J. d'A. T. ), j'ai
exposé l'état de l'arboriculture fruitière
dans le centre de Madagascar; pour com-
pléter cette étude horticole, il me paraît
utile de montrer succinctement les résul-
tats obtenus en culture potagère dans
notre grande colonie de l'océan Indien.
La culture des légumes d'Europe a pris
dans le centre de Madagascar une réelle
importance, principalement dans les envi-
rons de Tananarive, où il existe, à l'heure
actuelle, un certain nombre de maraîchers
indigènes fort habiles.
Le marché de Tananarive est presque
aussi bien approvisionné en légumes que
n'importe quel marché de France. Je dirai
même qu'il llest mieux, ou plutôt qu'il l'est
plus régulièrement, car le climat spécial
du centre de Madagascar permet de cul-
- tiver des légumes toute l'année, en sorte
que les maraîchers malgaches ne con-
naissent pas de morte-saison. -
Certains légumes : Choux, Carottes, Ha-
ricots, Navets, Pois, Poireaux, Betterave,
Céleri, Salsifis, etc., se cultivent avec une
grande facilité, et leur production régu-
lière a été assurée dès les premières
années qui suivirent l'occupation française.
Il est juste de signaler que M. le Général
GALLIENI a exercé, sur le développement de
l'horticulture à Madagascar, et particuliè-
ment fertile, et surtout la main-d'œuvre
nécessaire à la mise en culture d'étendues
suffisantes.
IVe Exposition internationale des Caout-
choucs et des industries alliées (Londres,
24juin-9 juillet 1914) (1). — Nous avons
déjà, à plusieurs reprises, parlé à nos lec-
teurs de cette exposition qui promet d'être
très importante. Le bureau de la Section
française est maintenant constitué.
Le Ministre des Colonies, l'Administra-
tion centrale et le Comité national des Ex-
positions coloniales ont été d'accord pour
confier les fonctions de Commissaire géné-
ral à M. le Professeur E. PERROT, Profes-
seur a l'Ecole de Pharmacie.
Le bureau de la Section comprend
encore un Commissaire général adjoint,
M. FHANÇOIS, délégué de l'Afrique occiden-
tale, et un secrétaire, M. C.-L. GATIN,
docteur ès sciences, chef de travaux du
Laboratoire d'Agronomie coloniale.
Toutes les communications concernant
la parlicipation de la "France et des Colo-
nies françaises à l'exposition de Londres
devront être désormais adressées à M. le.
Commissaire général de la Section fran-
çaise (2).
L'Agriculture pratique des pays chauds.
— Avec son numéro de juillet dernier,
notre confrère, dont la fondation remonte
à 1901, vient de se transformer. Il est plus
exact de dire que, renonçant au patronage
officiel qui avait présidé à ses débuts, il
continue., sous la même forme matérielle,
et sans changement apparent, la publica-
tion des études intéressantes auxquelles il
nous a habitués, mais il sera désormais
publié sous la direction d'un certain nom-
bre de personnalités parmi lesquelles nous
(1) Rectifions à ce propos une erreur de typogra-
phie : le prix du pied carré brut n'est pas 1 sh. 4, mais
4 sh. Des prix spéciaux comprenant le gardiennage, le
transport des objets et les assurances, seront faits à
MM. les Exposants de la Section française.
(2) Comité des Expositions coloniales, 12, rue Saint-
Georges, à Paris. Ajoutons que depuis ledébut de no-
vembre, M. le Professeur PERROT se tient, 12, rue
Saint-Georges, à la disposition des intéressés, les lundis
de 4 1/2 à 6 heures, et M. GATIN, au même endroit,
les vendredis de 4 h. 1/2 à 6 heures.
sommes heureux de compter de nombreux
amis.
M. EDMOND PERRTER, Directeur du Mu-
séum, a bien voulu prendre la première
place de ce Comité, dans lequel nous rele-
vons entre autres le nom de notre excellent
collaborateur M. JUMELLE. M. FRANÇOIS
PELLEGRIN assume les fonctions de Secré-
taire de la Rédaction.
La publication du Journal est, comme
par le passé, assurée par M. CHALLAMEL, qui
lui continuera le caractère de publication
élégante que nous lui connaissons.
La culture
des légumes d'Europe à Madagascar
Dans le n° 147 du « J. d'A. T. ), j'ai
exposé l'état de l'arboriculture fruitière
dans le centre de Madagascar; pour com-
pléter cette étude horticole, il me paraît
utile de montrer succinctement les résul-
tats obtenus en culture potagère dans
notre grande colonie de l'océan Indien.
La culture des légumes d'Europe a pris
dans le centre de Madagascar une réelle
importance, principalement dans les envi-
rons de Tananarive, où il existe, à l'heure
actuelle, un certain nombre de maraîchers
indigènes fort habiles.
Le marché de Tananarive est presque
aussi bien approvisionné en légumes que
n'importe quel marché de France. Je dirai
même qu'il llest mieux, ou plutôt qu'il l'est
plus régulièrement, car le climat spécial
du centre de Madagascar permet de cul-
- tiver des légumes toute l'année, en sorte
que les maraîchers malgaches ne con-
naissent pas de morte-saison. -
Certains légumes : Choux, Carottes, Ha-
ricots, Navets, Pois, Poireaux, Betterave,
Céleri, Salsifis, etc., se cultivent avec une
grande facilité, et leur production régu-
lière a été assurée dès les premières
années qui suivirent l'occupation française.
Il est juste de signaler que M. le Général
GALLIENI a exercé, sur le développement de
l'horticulture à Madagascar, et particuliè-
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