Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1913-05-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 mai 1913 31 mai 1913
Description : 1913/05/31 (A13,N143). 1913/05/31 (A13,N143).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6418413x
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
TREIZIÈME ANNÉE N° 143 31 MAI 1913
Journal d'Agriculture Tropicale
La culture mécanique du Riz en Indochine
Les résultats de la campagne 1912-1913.. Les essais de semis mécaniques.
Végétation des riz semés et repiqués. La récolte mécanique.
Fonctionnement de la lieuse. Rendement comparatif
des riz semés et repiqués. Conclusions.
Par M. F. MAIN.
Dans notre numéro de novembre 1912,
nous avons longuement examiné les résul-
tats obtenus par l'Association Rizicole
Indochinoise au cours de ses essais de
culture mécanique du riz en Cochinchine.
Nous avons exposé comment les divers
travaux entrepris n'ont pu, pour diffé-
rentes raisons, être complètement menés à
bien, soit par-suite d'une adaptation insuf-
fisante du matériel aux conditions spé-
ciales rencontrées par l'Ingénieur chargé
du travail, soit par suite de circonstances
accessoires, emplacement défectueux de la
parcelle d'essais, mauvais fonctionnement
du canal d'évacuation, invasion des
oiseaux, etc.
Les derniers rapports qui nous avaient
été communiqués au moment où nous écri-
vions cet article dataient de l'été de 1912,
et fort peu de temps après, nous appre-
nions de la bouche même de M. SAMBUC,
Secrétaire Général de l'Association, que
celle-ci, insuffisamment soutenue finan-
cièrement dans ses efforts, avait décidé de
liquider une situation à laquelle elle ne
pouvait plus faire face, quel que fût l'in-
térêt général du programme à la réalisa-
tion duquel elle avait patiemment travaillé
et consacré toutes ses ressources. Ce n'est
pas sans une profonde mélancolie que nous
avions accueilli cette nouvelle, venant au
moment où nous apprenions la création de
la Station Rizicole de Madagascar, et l'ac-
croissement considérable des crédits mis
par le Gouvernement des Indes Néerlan-
daises au service de recherches scienti-
fiques concernant cette culture, et il nous
-en coûtait personnellement de voir aban-
donner des travaux à l'élaboration desquels
nous avions été autrefois intimement
mêlé. Mais il était dit qu'une satisfaction
nous resterait, celle de voir au moins ter-
miner la campagne rizicole 1912-1913, et
c'est des résultats de cette campagne, que
M. SAMBUC a bien voulu, par une délicate
attention dont nous tenons à lui exprimer
ici notre gratitude, nous communiquer en
détail, que nous désirons à notre tour
entretenir nos lecteurs. Au surplus, et bien
que l'Association Rizicole Indochinoise ait
vécu, tous les planteurs lui sauront gré
d'avoir, par ses travaux, fixé un certain
nombre de points primordiaux pour la cul-
ture mécanique du riz.
Nous avons dit que M. ALAZARD, Ingé-
nieur de l'Association qui, en 1911, avait
entrepris des essais comparatifs sur des riz
repiqués et non repiqués, n'avait pu pous-
ser l'expérience jusqu'au bout, la récolte
ayant été détruite par les oiseaux avant lar
maturité. En 1912, tout fut recommencez-
les semis directs étant en même temps une
occasion d'expérimenter à nouveau les
semis mécaniques. De ce côté, les résultats
Journal d'Agriculture Tropicale
La culture mécanique du Riz en Indochine
Les résultats de la campagne 1912-1913.. Les essais de semis mécaniques.
Végétation des riz semés et repiqués. La récolte mécanique.
Fonctionnement de la lieuse. Rendement comparatif
des riz semés et repiqués. Conclusions.
Par M. F. MAIN.
Dans notre numéro de novembre 1912,
nous avons longuement examiné les résul-
tats obtenus par l'Association Rizicole
Indochinoise au cours de ses essais de
culture mécanique du riz en Cochinchine.
Nous avons exposé comment les divers
travaux entrepris n'ont pu, pour diffé-
rentes raisons, être complètement menés à
bien, soit par-suite d'une adaptation insuf-
fisante du matériel aux conditions spé-
ciales rencontrées par l'Ingénieur chargé
du travail, soit par suite de circonstances
accessoires, emplacement défectueux de la
parcelle d'essais, mauvais fonctionnement
du canal d'évacuation, invasion des
oiseaux, etc.
Les derniers rapports qui nous avaient
été communiqués au moment où nous écri-
vions cet article dataient de l'été de 1912,
et fort peu de temps après, nous appre-
nions de la bouche même de M. SAMBUC,
Secrétaire Général de l'Association, que
celle-ci, insuffisamment soutenue finan-
cièrement dans ses efforts, avait décidé de
liquider une situation à laquelle elle ne
pouvait plus faire face, quel que fût l'in-
térêt général du programme à la réalisa-
tion duquel elle avait patiemment travaillé
et consacré toutes ses ressources. Ce n'est
pas sans une profonde mélancolie que nous
avions accueilli cette nouvelle, venant au
moment où nous apprenions la création de
la Station Rizicole de Madagascar, et l'ac-
croissement considérable des crédits mis
par le Gouvernement des Indes Néerlan-
daises au service de recherches scienti-
fiques concernant cette culture, et il nous
-en coûtait personnellement de voir aban-
donner des travaux à l'élaboration desquels
nous avions été autrefois intimement
mêlé. Mais il était dit qu'une satisfaction
nous resterait, celle de voir au moins ter-
miner la campagne rizicole 1912-1913, et
c'est des résultats de cette campagne, que
M. SAMBUC a bien voulu, par une délicate
attention dont nous tenons à lui exprimer
ici notre gratitude, nous communiquer en
détail, que nous désirons à notre tour
entretenir nos lecteurs. Au surplus, et bien
que l'Association Rizicole Indochinoise ait
vécu, tous les planteurs lui sauront gré
d'avoir, par ses travaux, fixé un certain
nombre de points primordiaux pour la cul-
ture mécanique du riz.
Nous avons dit que M. ALAZARD, Ingé-
nieur de l'Association qui, en 1911, avait
entrepris des essais comparatifs sur des riz
repiqués et non repiqués, n'avait pu pous-
ser l'expérience jusqu'au bout, la récolte
ayant été détruite par les oiseaux avant lar
maturité. En 1912, tout fut recommencez-
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semis mécaniques. De ce côté, les résultats
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