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- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- .......... Page(s) .......... 144
- .......... Page(s) .......... 145
- .......... Page(s) .......... 146
- .......... Page(s) .......... 147
- VAQUIN & SCHWEITZER: Chronique des fibres de corderie et similaires. - En raison des fêtes de la Pentecôte, renvoyée au cahier de juin.
- .......... Page(s) .......... 149
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 150
- .......... Page(s) .......... 151
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- .......... Page(s) .......... 159
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- .......... Page(s) .......... 160
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- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- Livres Nouveaux, §§ 543-560. Inde. Ceylan. Malaisie. Java. Sumatra. Afrique Occidentale. Congo. Madagascar. Etats-Unis. Vénézuéla. - Coton. Caoutchouc. Café. Cultures potagères et fruitières. Chameau. Tiques. - Guides
- FIGURES
160 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 35 — MAI 1904
soigneusement pris, prouve que, dans cette
région, le rendement moyen du cacao frais
en cacao marchand, prêt à embarquer, e,st
de 37 Or, on prétend que, dans les terres
basses de la même île, le rendement atteint
souvent jusqu'à 5o%; voilà une affirmation
qu'il serait bien intéressant de voir con-
trôler. »
L'industrie du manioc en Malaisie.
D'après M. J. J. HVLSKAMP.
Le dernier Rapport annuel de M. J. J. HULS-
KAMP, consul des Pays-Bas à Penang, contient
des passages intéressants sur l'exploitation indus-
trielle du manioc; nous en donnons la traduc-
tion, d'après le « Indische Mercuur » du 16 avril
1904. Nous supposons que le picul de l'auteur est
de 1331/3 livres anglaises et son unité monétaire,
le dollar mexicain. Les prix qu'il cite, s'entendent
évidemment au picul. — N. D. L. R.
*
* *
« Le manioc est cultivé principalement
dans le Kedah, la Province de Wellesley, le
Negri-Sembilan et la région de Malacca. De
ces 4 pays, les deux premiers exportent par
Penang, les deux derniers par Singapour.
La production totale de l'année 1903 est es-
timée comme suit, en tenant compte du ta-
pioca seul :
Malacca et Negri Sembilan. 260.000 piculs.
Province Wellesley:
a) Plantations européennes. 24.000 »
b) » chinoises. 6.000 »
Kedah. 200.000 »
« Le produit de beaucoup le meilleur, est
celui des deux usines européennes de la
Province de Wellesley, qui livrent du « flake
tapioca» de première qualité. Ces deux mar-
ques sont bien connues en Europe et font
prime sur le marché, se vendant sensi ble-
ment plus cher que la qualité « prima M des
usines chinoises.
« La farine de manioc est fréquemment
produite par les Chinois en laissant simple-
ment fermenter les tubercules entassés dans
des fosses. Cet article est accaparé par cer-
taines maisons de Londres qui le revendent
à des glucoseries.
« Le manioc intéressant depuis quelque
temps les planteurs de Java, je me fais un
devoir de donner quelques détails sur la
manière dont sa culture est pratiquée ici:
« Elle a lieu principalement sur les terres
basses. On défriche la forêt vierge, on y met
le feu, et on peut alors faire trois récoltes
successives de manioc, avant d'être obligé
de fumer. Les engrais préférés sont : le ni-
trate de potasse et les phosphates.
« Depuis 1895, les frais de production ont
augmenté de 25 ; la culture du manioc n'en
reste pas moins une bonne affaire, surtout
lorsqu'on dispose de bonnes variétés. Il a
été calculé que, pour rendre cette culture
ici rémunératrice, il suffit que les prix du
« pearl tapioca » et du « flake tapioca » dé-
passent respectivement S 4,25 et S 4,50.
« Dans la Province de Wellesley, un acre
(— hect. 0,4) produit, en moyenne, 8 tonnes
de racines, la teneur en farine étant de
18 On compte, d'autre part, à l'acre,
19 piculs de « flake tapioca, n° 1 ».
« La machinerie employée pour la fabri-
cation est des plus simples, et se compose es-
sentiellement d'un « pulper » (dépulpeur) et
d'un « crusher » (broyeur). La qualité de la
marchandise paraît dépendre surtout des
soins apportés à la fabrication. Il faut aussi,
de toute nécessité, de l'eau en abondance, et
de qualité irréprochable ».
AVIS IMPORTANT
Nous prions instamment ivos abonnés, pour éviter tout retard dans la réception du
Journal, de bien vouloir renouveler leur abonnement avant son expiration ou de refuser le
premier numéro qui leur parviendra après cette expiration.
Sauf avis contraire, nous ferons recouvrer par la poste, dans la quinzaine qui suivra,
les abonnements non renouvelés de nos abonnés français, en en augmentant le montant d'une
somme de 50 centimes pour frais de recouvrement. — Nous serons obligés de suspendre
le service aux abonnés coloniaux et étrangers qui n'auront pas renouvelé en temps utile.
Nouv. Imp. Ed. Lasnier, Direct. Ji. rue St-Lazare. l'aria. :.c Ccianr : H. Boivin
soigneusement pris, prouve que, dans cette
région, le rendement moyen du cacao frais
en cacao marchand, prêt à embarquer, e,st
de 37 Or, on prétend que, dans les terres
basses de la même île, le rendement atteint
souvent jusqu'à 5o%; voilà une affirmation
qu'il serait bien intéressant de voir con-
trôler. »
L'industrie du manioc en Malaisie.
D'après M. J. J. HVLSKAMP.
Le dernier Rapport annuel de M. J. J. HULS-
KAMP, consul des Pays-Bas à Penang, contient
des passages intéressants sur l'exploitation indus-
trielle du manioc; nous en donnons la traduc-
tion, d'après le « Indische Mercuur » du 16 avril
1904. Nous supposons que le picul de l'auteur est
de 1331/3 livres anglaises et son unité monétaire,
le dollar mexicain. Les prix qu'il cite, s'entendent
évidemment au picul. — N. D. L. R.
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* *
« Le manioc est cultivé principalement
dans le Kedah, la Province de Wellesley, le
Negri-Sembilan et la région de Malacca. De
ces 4 pays, les deux premiers exportent par
Penang, les deux derniers par Singapour.
La production totale de l'année 1903 est es-
timée comme suit, en tenant compte du ta-
pioca seul :
Malacca et Negri Sembilan. 260.000 piculs.
Province Wellesley:
a) Plantations européennes. 24.000 »
b) » chinoises. 6.000 »
Kedah. 200.000 »
« Le produit de beaucoup le meilleur, est
celui des deux usines européennes de la
Province de Wellesley, qui livrent du « flake
tapioca» de première qualité. Ces deux mar-
ques sont bien connues en Europe et font
prime sur le marché, se vendant sensi ble-
ment plus cher que la qualité « prima M des
usines chinoises.
« La farine de manioc est fréquemment
produite par les Chinois en laissant simple-
ment fermenter les tubercules entassés dans
des fosses. Cet article est accaparé par cer-
taines maisons de Londres qui le revendent
à des glucoseries.
« Le manioc intéressant depuis quelque
temps les planteurs de Java, je me fais un
devoir de donner quelques détails sur la
manière dont sa culture est pratiquée ici:
« Elle a lieu principalement sur les terres
basses. On défriche la forêt vierge, on y met
le feu, et on peut alors faire trois récoltes
successives de manioc, avant d'être obligé
de fumer. Les engrais préférés sont : le ni-
trate de potasse et les phosphates.
« Depuis 1895, les frais de production ont
augmenté de 25 ; la culture du manioc n'en
reste pas moins une bonne affaire, surtout
lorsqu'on dispose de bonnes variétés. Il a
été calculé que, pour rendre cette culture
ici rémunératrice, il suffit que les prix du
« pearl tapioca » et du « flake tapioca » dé-
passent respectivement S 4,25 et S 4,50.
« Dans la Province de Wellesley, un acre
(— hect. 0,4) produit, en moyenne, 8 tonnes
de racines, la teneur en farine étant de
18 On compte, d'autre part, à l'acre,
19 piculs de « flake tapioca, n° 1 ».
« La machinerie employée pour la fabri-
cation est des plus simples, et se compose es-
sentiellement d'un « pulper » (dépulpeur) et
d'un « crusher » (broyeur). La qualité de la
marchandise paraît dépendre surtout des
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