INFORMATIONS 401
X. g j Organisation économique du travail aux Colo-
f nies.
M. F (Traitera à son cours des extraits tannants et de
TM., - FLEURENT.. ( la technologie de la tannerie.
L'Institut colonial français fait une utile propagande.
L'Institut colonial français a décidé, pour réaliser, son
action, d'organiser dans toute la France une propagande
coloniale intense au moyen de conférences animées par des films
choisis. Il a dans ce but constitué un Comité de propagande colo-
niale par la conférence et par le film, dont le bureau est composé
de M. René BESNARD, ancien Ministre des Colonies, président ;
MM. CANDACE, député de la Guadeloupe ; You, directeur hono-
raire au Ministère des Colonies, vice-présidents ; M. PEILLET,
avocat à la Cour de Paris, secrétaire.
Ce comité a adopté un programme de propagande qui com-
porte notamment deux séries de conférences ; les unes scienti-
fiques et traitant de questions spéciales, les autres populaires à
la fois instructives et attrayantes. Une part très grande sera
faite à la propagande scolaire.
'(Le Courrier colonial.)
Ce que nous savons tirer de nos Colonies.
Dans le discours vivement applaudi que M. CANDACE pro-
nonça à la tribune de la Chambre, l'honorable député de la Gua-
deloupe donna des chiffres suggestifs sur la part de nos Colonies
dans nos importations.
Nous demandons à nos Colonies 7.635 quintaux de coton, sur
Une consommation générale de 3.288.000 quintaux. Nous leur
demandons 831 quintaux de soie sur une consommation totale
de 187.000 kilos ; 10.000 quintaux de café sur une consommation
générale de 1.140.000 quintaux ; 2.777.000 quintaux de graines
Oléagineuses sur une consommation générale de 6 mil-
ans 865.000 quintaux. Nous demandons à nos Colonies
100.000 quintaux de bois sur 20 millions de quintaux consom-
rnés. Alors que nos Colonies pourraient approvisionner tout le
Marché de la Métropole en bois, nous allons demander à l'étran-
ger ce bois que nous avons dans notre propre domaine. Nous
Mandons 23.000 quintaux de caoutchouc à nos Colonies, alors
Bull. 171 - 26
X. g j Organisation économique du travail aux Colo-
f nies.
M. F (Traitera à son cours des extraits tannants et de
TM., - FLEURENT.. ( la technologie de la tannerie.
L'Institut colonial français fait une utile propagande.
L'Institut colonial français a décidé, pour réaliser, son
action, d'organiser dans toute la France une propagande
coloniale intense au moyen de conférences animées par des films
choisis. Il a dans ce but constitué un Comité de propagande colo-
niale par la conférence et par le film, dont le bureau est composé
de M. René BESNARD, ancien Ministre des Colonies, président ;
MM. CANDACE, député de la Guadeloupe ; You, directeur hono-
raire au Ministère des Colonies, vice-présidents ; M. PEILLET,
avocat à la Cour de Paris, secrétaire.
Ce comité a adopté un programme de propagande qui com-
porte notamment deux séries de conférences ; les unes scienti-
fiques et traitant de questions spéciales, les autres populaires à
la fois instructives et attrayantes. Une part très grande sera
faite à la propagande scolaire.
'(Le Courrier colonial.)
Ce que nous savons tirer de nos Colonies.
Dans le discours vivement applaudi que M. CANDACE pro-
nonça à la tribune de la Chambre, l'honorable député de la Gua-
deloupe donna des chiffres suggestifs sur la part de nos Colonies
dans nos importations.
Nous demandons à nos Colonies 7.635 quintaux de coton, sur
Une consommation générale de 3.288.000 quintaux. Nous leur
demandons 831 quintaux de soie sur une consommation totale
de 187.000 kilos ; 10.000 quintaux de café sur une consommation
générale de 1.140.000 quintaux ; 2.777.000 quintaux de graines
Oléagineuses sur une consommation générale de 6 mil-
ans 865.000 quintaux. Nous demandons à nos Colonies
100.000 quintaux de bois sur 20 millions de quintaux consom-
rnés. Alors que nos Colonies pourraient approvisionner tout le
Marché de la Métropole en bois, nous allons demander à l'étran-
ger ce bois que nous avons dans notre propre domaine. Nous
Mandons 23.000 quintaux de caoutchouc à nos Colonies, alors
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