856 BULLBTIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
et la récolte n'est elle-même, surtout au Tonkin et en Afrique,
qu'une faible partie de la production que les indigènes laissent
perdre. Les exportations d'Indochine ne dépassent pas cinquante
à soixante mille kilos par an. En Afrique, la production moyenne
donne 170 tonnes pour le Sénégal, la Guinée, la Côte d'Ivoire et
le Dahomey.
Aux peuplements de kapokiers poussant spontanément,
s'ajoutent d'ailleurs au Cambodge les plantations régulières qui,
en raison des applications de plus en plus nombreuses du produit
et de la valeur des sous produits : huiles et tourteaux, sont
appelés à prendre une importante extension. Les encouragements
à la culture et à la cueillette, le perfectionnement des procédés
indigènes d'égrenage, l'industrialisation, en un mot de la récolte,
permettraient à nos kapoks coloniaux de concurrencer chez
nous ceux de Java et de l'Inde anglaise.
(Annales de VInstitut colonial de Bordeaux.)
ÉTRANGER
L'inauguration du Musée colonial de Louvain.
Récemment a eu lieu l'inauguration de la section coloniale
annexée à l'École supérieure de commerce de l'Université de
Louvain.
Un musée colonial occupe le troisième étage de cette école.
Ce musée, organisé par le département des colonies, sera une
des quatre institutions du même genre créées dans les écoles de
commerce. Son installation a été dirigée par le lieutenant LOURDE
avec la collaboration de l'abbé MICHOTTE, directeur du Séminaire
de Géographie, et le P. MORTIER, membre du conseil colonial.
M. FRANCK, Ministre des colonies, présidait la cérémonie
d'inauguration. Il a été reçu à l'École par Mgr. LADEUZE, recteur
magnifique de l'Université, entouré des professeurs. Le ministre
était accompagné du général TOMBEUR, du général HENRY, ancien
gouverneur de la colonie, de MM. LEPLAE, directeur général,
VAN KESSEL, secrétaire au département ; BEERENDONCK, membre
du comité scolaire.
et la récolte n'est elle-même, surtout au Tonkin et en Afrique,
qu'une faible partie de la production que les indigènes laissent
perdre. Les exportations d'Indochine ne dépassent pas cinquante
à soixante mille kilos par an. En Afrique, la production moyenne
donne 170 tonnes pour le Sénégal, la Guinée, la Côte d'Ivoire et
le Dahomey.
Aux peuplements de kapokiers poussant spontanément,
s'ajoutent d'ailleurs au Cambodge les plantations régulières qui,
en raison des applications de plus en plus nombreuses du produit
et de la valeur des sous produits : huiles et tourteaux, sont
appelés à prendre une importante extension. Les encouragements
à la culture et à la cueillette, le perfectionnement des procédés
indigènes d'égrenage, l'industrialisation, en un mot de la récolte,
permettraient à nos kapoks coloniaux de concurrencer chez
nous ceux de Java et de l'Inde anglaise.
(Annales de VInstitut colonial de Bordeaux.)
ÉTRANGER
L'inauguration du Musée colonial de Louvain.
Récemment a eu lieu l'inauguration de la section coloniale
annexée à l'École supérieure de commerce de l'Université de
Louvain.
Un musée colonial occupe le troisième étage de cette école.
Ce musée, organisé par le département des colonies, sera une
des quatre institutions du même genre créées dans les écoles de
commerce. Son installation a été dirigée par le lieutenant LOURDE
avec la collaboration de l'abbé MICHOTTE, directeur du Séminaire
de Géographie, et le P. MORTIER, membre du conseil colonial.
M. FRANCK, Ministre des colonies, présidait la cérémonie
d'inauguration. Il a été reçu à l'École par Mgr. LADEUZE, recteur
magnifique de l'Université, entouré des professeurs. Le ministre
était accompagné du général TOMBEUR, du général HENRY, ancien
gouverneur de la colonie, de MM. LEPLAE, directeur général,
VAN KESSEL, secrétaire au département ; BEERENDONCK, membre
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