Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1911-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 décembre 1911 31 décembre 1911
Description : 1911/12/31 (A11,N126). 1911/12/31 (A11,N126).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63838440
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
354 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 126 DEC. 1911
Le coton, qui, ailleurs, eùt occupé la pre-
mière place, n'était là que pour faire con-
naître quelques outils plus ou moins per-
fectionnés. - L'Exposition avait plutôt pour
objet d'apporter plus de lumière sur les
textiles relativement nouveaux pour les
planteurs tropicaux.
Les produits exposés n'offraient pour
nous rien de très particulier, si ce n'est les
FIG; 42. Un stand de Machines a l'Exposition de Soerabaya.
produits divers, tissus et costumes obtenus
avec le kapok. Ce n'était peut-être qu'un
tour de force, mais, bien curieux. Admirable,
la superbe et complète collection de cha-
peaux tressés avec les fibres des plantes
les plus diverses. Bien présentée, bien éti-
quetée, cette collection, exposée par le
Département de l'Agriculture de Manille,
était une belle leçon de choses et prouvait
combien l'ingéniosité et l'adresse manuelle
peuvent donner de valeur économique aux
plantes les plus délaissées.
Personnellement, l'outillage nous attirait
davantage; nous regrettons de ne pouvoir
décrire en détail le bel ensemble de ma-
chines concernant le traitement du coir
exposé au complet par la grande maison
de mécanique LINDETEVES-STOIVIS, qui a des
agences à Semarang, Soerabaya, llatavia7-
Tegal et Amsterdam. Nous pûmes nous
rendre compte du travail parfait et rapide
de leur machine à séparer toute la fibre
dans la coque de la noix de coco, travail dont
la vue nous fut refusée autrefois à Ceylan.
Une autre maison importante de l'île,
CARL SCHLŒPER AND CO, présentait plusieurs
spécimens de doubles raspadors à moteurs
mécaniques pour l'agave dont le débit ne
nous a pas paru proportionné à l'effort,
c'est-à-dire à la force employée et au coût
des machines. En outre, le produit sort
quelque peu emmêlé et le déchet est impor-
tant.
La « Nederlandisch-Indische Industrie ».
de Soerabaya, dirigée par M. G. J. HUPKES,
Le coton, qui, ailleurs, eùt occupé la pre-
mière place, n'était là que pour faire con-
naître quelques outils plus ou moins per-
fectionnés. - L'Exposition avait plutôt pour
objet d'apporter plus de lumière sur les
textiles relativement nouveaux pour les
planteurs tropicaux.
Les produits exposés n'offraient pour
nous rien de très particulier, si ce n'est les
FIG; 42. Un stand de Machines a l'Exposition de Soerabaya.
produits divers, tissus et costumes obtenus
avec le kapok. Ce n'était peut-être qu'un
tour de force, mais, bien curieux. Admirable,
la superbe et complète collection de cha-
peaux tressés avec les fibres des plantes
les plus diverses. Bien présentée, bien éti-
quetée, cette collection, exposée par le
Département de l'Agriculture de Manille,
était une belle leçon de choses et prouvait
combien l'ingéniosité et l'adresse manuelle
peuvent donner de valeur économique aux
plantes les plus délaissées.
Personnellement, l'outillage nous attirait
davantage; nous regrettons de ne pouvoir
décrire en détail le bel ensemble de ma-
chines concernant le traitement du coir
exposé au complet par la grande maison
de mécanique LINDETEVES-STOIVIS, qui a des
agences à Semarang, Soerabaya, llatavia7-
Tegal et Amsterdam. Nous pûmes nous
rendre compte du travail parfait et rapide
de leur machine à séparer toute la fibre
dans la coque de la noix de coco, travail dont
la vue nous fut refusée autrefois à Ceylan.
Une autre maison importante de l'île,
CARL SCHLŒPER AND CO, présentait plusieurs
spécimens de doubles raspadors à moteurs
mécaniques pour l'agave dont le débit ne
nous a pas paru proportionné à l'effort,
c'est-à-dire à la force employée et au coût
des machines. En outre, le produit sort
quelque peu emmêlé et le déchet est impor-
tant.
La « Nederlandisch-Indische Industrie ».
de Soerabaya, dirigée par M. G. J. HUPKES,
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