Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1931-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 février 1931 01 février 1931
Description : 1931/02/01 (A20,N158)-1931/02/28. 1931/02/01 (A20,N158)-1931/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6381120j
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
63
BIBLIOGRAPHIE.
N° 206. R. COMMUN et H. BARAT. Travaux d'entomologie et de crypto-
gamie.
Ces deux auteurs, anciens élèves de L'Institut national d'Agronomie coloniale
présentent, le premier ses recherches sur les insectes qui se sont spécialisés en
phytopathologie, ennemis des plantes cultivées et le second ses études sur quelques
grandes cultures de l'Indochine. Avec beaucoup d'esprit de suite il n'est pas douteux
que des travaux de ce genre, ne pourront, avec l'aide du temps, que contribuer à
augmenter et à améliorer les rendements en réduisant les pertes dues aux nom-
breux parasites de l'agriculture.
N° 207. R. DUMONT et R. JEANNIN. Travaux d'engrais en rizière. :
Anciens élèves de Nogent, eux aussi, ces techniciens font connaître les résultats
de leurs tt essais d'engrais en rizière". La culture du riz - il n'est peut être pas
inutile de le répéter est la grande richesse de la Cochinchine et du delta du
Tonkin. Pratiquée depuis un grand nombre de siècles, sur les mêmes terrains,
elle n'a pas bénéficié, jusqu'ici, de l'action bienfaisante de certains engrais chi-
miques.
Pourtant, comme le faisait remarquer un jour M. le gouverneur général Pasquier:
A-t-on songé à ce que pourrait être la richesse de la Cochinchine si l'on arrivait
à doubler seulement les rendements en riz?" C'est-à-dire à obtenir, ce qui n'a
rien de bien exagéré, 2000 kilos de paddy à l'hectare. Pour y parvenir en dehors
des travaux de sélection, qui ont leur importance, il est bien évident que l'influence
d'engrais appropriés se ferait sentir rapidement. En ce qui concerne la culture du
riz dans son ensemble, M. R. Dumont a publié dans le tt Bulletin économique"
Section B, de mars 1930, une série d'observations très instructives faites au Tonkin.
C'est une contribution des plus intéressantes à la culture du riz dans le nord de
l'Indochine.
N° 208. J. de COURTEVILLB. La culture du cotonnier en Tunisie.
ln-Bo de kh pages. (Extrait de la « Revue économique internatio-
nale". juin 1930.) Bruxelles, Golmaore, imprimeur du Roi, édi-
teur, ai, rue de la Limite. ig3o.
L'auteur, M. J. de Courteville est ingénieur d'agriculture coloniale et directeur
du groupe textile coopératif de Tunisie. Il connaît bien le milieu et la question qu'il
a eu raison de traiter. En effet, un certain nombre de personnes se demandent, de
temps à autre, si la culture du coton est intéressante pour la Tunisie.
BIBLIOGRAPHIE.
N° 206. R. COMMUN et H. BARAT. Travaux d'entomologie et de crypto-
gamie.
Ces deux auteurs, anciens élèves de L'Institut national d'Agronomie coloniale
présentent, le premier ses recherches sur les insectes qui se sont spécialisés en
phytopathologie, ennemis des plantes cultivées et le second ses études sur quelques
grandes cultures de l'Indochine. Avec beaucoup d'esprit de suite il n'est pas douteux
que des travaux de ce genre, ne pourront, avec l'aide du temps, que contribuer à
augmenter et à améliorer les rendements en réduisant les pertes dues aux nom-
breux parasites de l'agriculture.
N° 207. R. DUMONT et R. JEANNIN. Travaux d'engrais en rizière. :
Anciens élèves de Nogent, eux aussi, ces techniciens font connaître les résultats
de leurs tt essais d'engrais en rizière". La culture du riz - il n'est peut être pas
inutile de le répéter est la grande richesse de la Cochinchine et du delta du
Tonkin. Pratiquée depuis un grand nombre de siècles, sur les mêmes terrains,
elle n'a pas bénéficié, jusqu'ici, de l'action bienfaisante de certains engrais chi-
miques.
Pourtant, comme le faisait remarquer un jour M. le gouverneur général Pasquier:
A-t-on songé à ce que pourrait être la richesse de la Cochinchine si l'on arrivait
à doubler seulement les rendements en riz?" C'est-à-dire à obtenir, ce qui n'a
rien de bien exagéré, 2000 kilos de paddy à l'hectare. Pour y parvenir en dehors
des travaux de sélection, qui ont leur importance, il est bien évident que l'influence
d'engrais appropriés se ferait sentir rapidement. En ce qui concerne la culture du
riz dans son ensemble, M. R. Dumont a publié dans le tt Bulletin économique"
Section B, de mars 1930, une série d'observations très instructives faites au Tonkin.
C'est une contribution des plus intéressantes à la culture du riz dans le nord de
l'Indochine.
N° 208. J. de COURTEVILLB. La culture du cotonnier en Tunisie.
ln-Bo de kh pages. (Extrait de la « Revue économique internatio-
nale". juin 1930.) Bruxelles, Golmaore, imprimeur du Roi, édi-
teur, ai, rue de la Limite. ig3o.
L'auteur, M. J. de Courteville est ingénieur d'agriculture coloniale et directeur
du groupe textile coopératif de Tunisie. Il connaît bien le milieu et la question qu'il
a eu raison de traiter. En effet, un certain nombre de personnes se demandent, de
temps à autre, si la culture du coton est intéressante pour la Tunisie.
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