Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1902-10-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 octobre 1902 31 octobre 1902
Description : 1902/10/31 (A2,N16). 1902/10/31 (A2,N16).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6377668p
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
- Aller à la page de la table des matières289
- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 313
- .......... Page(s) .......... 315
- .......... Page(s) .......... 316
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 319
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- .......... Page(s) .......... 319
- .......... Page(s) .......... 320
- .......... Page(s) .......... 320
- LIVRES NOUVEAUX
- Annonces bibliographiques 233-248 sur papier bleu
- FIGURES
N° 1.6 — OCT. 1902-JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 3i5 1
a dirigé des Instituts bactériologiques en
Australie et en Tunisie. — Le choix de ce
peveu et élève de Pasteur est. une garantie
de l'intérêt et de l'utilité que présentera le
cours, conçu d'une manière fort large; il
comprend, entre autres, un petit paragraphe
concernant les épizooties.
Economie rurale appliquée aux colonies.
20 leçons par M. DANIÇL ZOLLA, professeur à
l'Ecole de Grignon, connu dans le monde
colonial par son livre sur la Tunisie et par
une série de conférences sur le Tonkin faites
dans lesdifférentes Écoles nationales d'Agri-
culture. — M. ZOLLA était allé étudier, dans
.cette colonie, il y a quelques années, les
bases d'une vaste entreprise de féculerie de
manioc, projet d'ailleurs abandonné depuis.
Ce voyage explique qu'il ait choisi, pour
cette première année de son cours, l'Indo-
Chine comme leçon de clôture destinée à
illustrer, par l'étude spéciale d'un type de
colonisation agricole, les principes ensei-
gnés dans les 19 leçons précédentes.
Administration coloniale. 20 leçons par
M. You, sous-directeur au Ministère des
Colonies, qui enseigne déjà cette matière à
l'Ecole coloniale.
On voit, par cet exposé très abrégé, que les
élèves auront de quoi profiter aux cours de
l'Ecole nationale supérieure d'Agriculture
coloniale.
Nous voudrions que le grand public, dis-
persé aux quatre coins du globe et dont ce
Journal représente plus particulièrement les
intérêts, en ait sa part, par le moyen de la
librairie. En effet, il nous semble que plu-
sieurs des cours annoncés pourraient être
facilement publiés en volumes à la fin de
l'année scolaire, au besoin, avec l'appui du
Ministère.
Les avantages de la décortication de
la ramie en vert, au moyen du broyeur à
sarments modifié.
Lettre de M. ED. DAZEY.
Dans notre cahier de mai (n° 11) nous avons
publié une notice concernant le procédé de décor-
tication en vert au moyen d'un broyeur de sar-
ments, préconisé par M .DAZEY. Cette notice t:ou iii
pour suite, dans notre cahier de juin (no 43),
deux lettres, dont l'une émanant de M. Jv KART
PELÉS, l'instigateur des grandes cultures de ramie
dans l'Inde anglaise, décrites dans le cahier dé
juillet, et l'autre de M. CH. RIVIÈRE, directeur du
Jardin d'Essai d'Alger et secrétaire général du
Congrès de la Ramie de 1900. Enfin, dans le
cahier d'août (no 14) nous avons donné, sur la
mémequestion, u ne lettre de M. GAVELLE.BR,IERRE,
de Lille, secrétaire générale du Comité Linier de
France.
M. DAZEY répond à la fois à ces trois contradic-
teurs. Voici les passages essentiels de sa lettre :
« Les critiques de M. GAVELLE-BRIERRE et
celles de M M. KARPELÈS et RIVIÈRE attaquent
mes lanières à un point de vue complètement
différent.
« En lisant le Compte-Rendu du Congrèç
de la Rarqie en igoo, j'ai vu que les lanières
déboisées étaient classées comme « lanières
brutes » ; c'était donc admettre le traitement
de la l'amie sous cette forme, et comme
de la ramie sous cette forme, et comme
planteur devant chercher la vente la plus
simple, j'ai produit des lanières dont j'ai
trouvé la vente, laissant à l'industrie tous les
perfectionnements de la matière première.
Il est tout naturel que M. GAVELLE-BRIERRE
fasse opposition à mon système de décorii-
cation: car il n'envisage d'autre solution pour
l'écoulement de la ramie que sur traitement
en tiges sèches. Les explications les plus
complètes à ce sujet m'ont été fournies par
lui-même et je les apprécie.
« La difficulté réside dans le séchage des
tiges, c'est une difficulté qui jusqu'à présent
a arrêté tous les colons qui avaient eu l'idée
de planter de la ramie. Pour décider le co-
lon, il importe qu'il connaisse complètement
les frais qui se rapportent à ce traitement,
jusqu'à la vente en filasse; qu'il sache com-
ment procéder, et si le prix offert est suf-
fisamment rémunérateur.
« Le traitement en vert assure un premier
débouché, en attendant, et c'est une première
facilité donnée à la culture, et qui engage le
planteur à s'intéresser à la ramie.
« M. KARPELÈS n'est pas partisan du traite-
ment en sec; je me serais donc attendu a
voir critiquer le procédé GAVELLE-BRIERRE
plutôt que le mien; aussi sa critique me sur-
prend. La seule différence qui nous divise
a dirigé des Instituts bactériologiques en
Australie et en Tunisie. — Le choix de ce
peveu et élève de Pasteur est. une garantie
de l'intérêt et de l'utilité que présentera le
cours, conçu d'une manière fort large; il
comprend, entre autres, un petit paragraphe
concernant les épizooties.
Economie rurale appliquée aux colonies.
20 leçons par M. DANIÇL ZOLLA, professeur à
l'Ecole de Grignon, connu dans le monde
colonial par son livre sur la Tunisie et par
une série de conférences sur le Tonkin faites
dans lesdifférentes Écoles nationales d'Agri-
culture. — M. ZOLLA était allé étudier, dans
.cette colonie, il y a quelques années, les
bases d'une vaste entreprise de féculerie de
manioc, projet d'ailleurs abandonné depuis.
Ce voyage explique qu'il ait choisi, pour
cette première année de son cours, l'Indo-
Chine comme leçon de clôture destinée à
illustrer, par l'étude spéciale d'un type de
colonisation agricole, les principes ensei-
gnés dans les 19 leçons précédentes.
Administration coloniale. 20 leçons par
M. You, sous-directeur au Ministère des
Colonies, qui enseigne déjà cette matière à
l'Ecole coloniale.
On voit, par cet exposé très abrégé, que les
élèves auront de quoi profiter aux cours de
l'Ecole nationale supérieure d'Agriculture
coloniale.
Nous voudrions que le grand public, dis-
persé aux quatre coins du globe et dont ce
Journal représente plus particulièrement les
intérêts, en ait sa part, par le moyen de la
librairie. En effet, il nous semble que plu-
sieurs des cours annoncés pourraient être
facilement publiés en volumes à la fin de
l'année scolaire, au besoin, avec l'appui du
Ministère.
Les avantages de la décortication de
la ramie en vert, au moyen du broyeur à
sarments modifié.
Lettre de M. ED. DAZEY.
Dans notre cahier de mai (n° 11) nous avons
publié une notice concernant le procédé de décor-
tication en vert au moyen d'un broyeur de sar-
ments, préconisé par M .DAZEY. Cette notice t:ou iii
pour suite, dans notre cahier de juin (no 43),
deux lettres, dont l'une émanant de M. Jv KART
PELÉS, l'instigateur des grandes cultures de ramie
dans l'Inde anglaise, décrites dans le cahier dé
juillet, et l'autre de M. CH. RIVIÈRE, directeur du
Jardin d'Essai d'Alger et secrétaire général du
Congrès de la Ramie de 1900. Enfin, dans le
cahier d'août (no 14) nous avons donné, sur la
mémequestion, u ne lettre de M. GAVELLE.BR,IERRE,
de Lille, secrétaire générale du Comité Linier de
France.
M. DAZEY répond à la fois à ces trois contradic-
teurs. Voici les passages essentiels de sa lettre :
« Les critiques de M. GAVELLE-BRIERRE et
celles de M M. KARPELÈS et RIVIÈRE attaquent
mes lanières à un point de vue complètement
différent.
« En lisant le Compte-Rendu du Congrèç
de la Rarqie en igoo, j'ai vu que les lanières
déboisées étaient classées comme « lanières
brutes » ; c'était donc admettre le traitement
de la l'amie sous cette forme, et comme
de la ramie sous cette forme, et comme
planteur devant chercher la vente la plus
simple, j'ai produit des lanières dont j'ai
trouvé la vente, laissant à l'industrie tous les
perfectionnements de la matière première.
Il est tout naturel que M. GAVELLE-BRIERRE
fasse opposition à mon système de décorii-
cation: car il n'envisage d'autre solution pour
l'écoulement de la ramie que sur traitement
en tiges sèches. Les explications les plus
complètes à ce sujet m'ont été fournies par
lui-même et je les apprécie.
« La difficulté réside dans le séchage des
tiges, c'est une difficulté qui jusqu'à présent
a arrêté tous les colons qui avaient eu l'idée
de planter de la ramie. Pour décider le co-
lon, il importe qu'il connaisse complètement
les frais qui se rapportent à ce traitement,
jusqu'à la vente en filasse; qu'il sache com-
ment procéder, et si le prix offert est suf-
fisamment rémunérateur.
« Le traitement en vert assure un premier
débouché, en attendant, et c'est une première
facilité donnée à la culture, et qui engage le
planteur à s'intéresser à la ramie.
« M. KARPELÈS n'est pas partisan du traite-
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